Manoir de Myrianna Faelivryn et sa fille Laurelys Sireila

- Sam, Lysandra vit à l'intérieur du manoir, si vraiment elle a eu un oeuf, il se trouvera à l'intérieur pour le protéger d'éventuelles menaces extérieures. Si tu veux, je peux te montrer où elle dort. Il se peut très bien que ce soit un oeuf, il n'est pas rare qu,elle en aille là où on vivait avant, car il y a beaucoup de dragons, pas exactement comme nous, mais semblable. Aller, vient, rentrons à la maison et je te montrerai où elle dort.
-Il n'est pas de Lysandra. Je sens la différence, il n'y a aucun lien avec elle. Et j'ai bien l'intention de trouver cet oeuf.

En suivant la direction prise, il suivait un sentier difficile a voir avec la végétation autour. Pour arriver a une clairère. Où l'oeuf se tenait au milieu, immobile. Un oeuf argenté. Qui l'attendait.

Samuel s'en approcha lentement, voulant pas effrayer le petit qui le sentait. Un moindre geste brusque et le petit n'oserait pas sortir de là. Il s'en arrêta a seulement quelques pas et l'oeuf commenca a se fracasser. Pour en sortir un dragonneau argent.

Le petit s'en approcha lentement tout en le sentant. Puis, il toucha son torse de son museau. La douleur fusa au même moment que le Gedwëy ignasia apparut au milieu de son torse.

-Tonerre...

Le dragonneau ronronna doucement. Il semblait aimé le nom. Prudemment, Sam le prit dans ses mains et le caressa. Ce qui fit ronronner Tonerre de plus belle.

-Je pourrais voir le monde a nouveau... Voir le monde comme un dragon certe, mais mieux que ce que je vois maintenant.

Il se tourna vers Laure et sourit doucement. Samu en avait finit ici.

-Nous pouvons maintenant rentrer.

-Il n'est pas de Lysandra. Je sens la différence, il n'y a aucun lien avec elle. Et j'ai bien l'intention de trouver cet oeuf.

Laurelys regarda Sam et fronca les sourciles. Que faisait un oeuf de dragon dans cette clairière, si près de chez elle? Ce n'était pas normal et Laure n'aimait pas cela. Après tout, ca signifiait qu'il y avait un autre dragon aux alentours, voir-même un dragonnier. Au moins, ils étaient chez les elfes, donc c'était forcément quelqu'un du bon coté, mais sait-on jamais.

-Tonerre...

Laure regardait de loin cette scène touchante, se rapellant à son tour la première fois qu'elle avait vu l'oeuf de son propre dragonneau. C'était un moment tellement magique, tellement beau. Elle en avait presque la larme à l'oeil.

-Je pourrais voir le monde a nouveau... Voir le monde comme un dragon certe, mais mieux que ce que je vois maintenant.
-Nous pouvons maintenant rentrer.

L'elfe des eaux regarda son bien-aimé et sourit tristement. Elle aurait voulu lui rendre la vue, sa vraie vue à lui, mais elle doutait fort que sa mère l'y aide un jour. La cécité de Samuel le rendait vulnérable et sa mère devait s'en réjouir, elle qui ne l'aimait pas de par le fait qu'il était un ombre. Elle prit Sam par la main, celle qui n'était pas occupé avec le dragonneau, et ils marchèrent tous les deux... pardon tous les trois, vers le manoir. une fois arrivée, Laure se tourna vers Sam.

- Si tu veux, je te trouve une jolie chambre près de la mienne pour toi et ton dragonneau. C'est d'ailleurs un joli nom, Tonerre. Je suis contente pour toi et si tu veux, je pourrais t'aider avec lui. Melkior est un bébé, mais il est plus vieux et j'ai appris beaucoup depuis. Ma mère m'a entrainé avec les armes et j'ai appris avec Melkior pour le reste, mais rien n'est mieux qu'une aide extérieure. Si tu l'accepte, bien entendu.

- Si tu veux, je te trouve une jolie chambre près de la mienne pour toi et ton dragonneau. C'est d'ailleurs un joli nom, Tonerre. Je suis contente pour toi et si tu veux, je pourrais t'aider avec lui. Melkior est un bébé, mais il est plus vieux et j'ai appris beaucoup depuis. Ma mère m'a entrainé avec les armes et j'ai appris avec Melkior pour le reste, mais rien n'est mieux qu'une aide extérieure. Si tu l'accepte, bien entendu.
-Pourquoi je ne voudrais pas de ton aide? Bien sûr que je l'accepte. Et je suis sûr que Tonerre va aimer avoir une sorte de grand frère.

Tonerre ronronna sous le compliment de Laure. Il commencait a l'apprécier. Puis il monta sur l'épaule de Sam et s'enroula autour de son cou. Pour s'endormir là. Samu en profita pour embrasser Laurëlys passionément. Samuel l'adorait tout simplement trop.

Ensuite, il rentra avec elle lentement dans la demeure, heureux. Très heureux d'être avec elle. Pour une fois dans sa vie, il se sentait entier. C'était tout simplement trop beau pour durer.

Le tout fut gâché par l'arrivé de Myrianna.

Dernière édition par Laurëlys Siréïla le 22.12.09 3:23, édité 1 fois

-Pourquoi je ne voudrais pas de ton aide? Bien sûr que je l'accepte. Et je suis sûr que Tonerre va aimer avoir une sorte de grand frère.

Laurelys sourit lorsque Tonerre ronronna et s'endormit auprès de Sam. Il était mignon le bébé dragon, il lui rapellait Melkior lorsqu'il était sortit de son oeuf. Elle regarda Sam et fut contente de voir à quel point il était heureux d'avoir trouvé un dragon. Lorsqu'il l'embrassa passionnément, elle lui retourna son baiser avec fougue. Elle aimait tellement Sam, même si elle le connaissait peu. Ils entrèrent tous les deux dans la demeure et au moment où Laure allait monter les escaliers pour trouver une chambre près de la sienne pour Sam et Tonerre, sa mère entra dans la maison. Avant même que cette dernière eu le temps de parler, Laure s'adressa à elle.

- Qu'importe ce que tu pourrais dire ou faire, cela attendra que j'ai attribué une chambre à Sam et à son dragon.

Elle prit Sam par la main et n'attendit pas de réponse de sa mère. Elle monta tout de suite au premier et alla du coté de sa chambre. elle ouvrit plusieurs portes avant d'en ouvrir une qui était en face de sa chambre a elle. Elle conviendrait parfaitement à son bien-aimé et son nouvel ami.

- J'ai trouvé une chambre pour toi et Tonerre, elle est juste en face de la mienne, elle est grande et conviendra parfaitement. tu la veux?

- J'ai trouvé une chambre pour toi et Tonerre, elle est juste en face de la mienne, elle est grande et conviendra parfaitement. Tu la veux?

Avant même qu'il aille le temps de répondre, Tonerre se réveilla a moitié, se dirigea vers le lit et s'endormit dessus. Ce qui fit rire Samuel.

-Je crois que je n'ai pas besoin de répondre a ta question. Tonerre c'est occupé de répondre lui-même. En plus, je serais très proche de toi. C'est tout ce qui importe.

Lentement, il se retourna et caressa la joue de Laure de sa main. Avant de l'embrasser longuement et passa un bras autour de sa taille pour la coller contre lui pendant le baiser. Un long frisson de plaisir le parcourut et il sourit. L'Ombre était content, Ryos ne l'agassait pas. Et en plus, il semblait reprendre du poil de la bête. Tant mieux, il durerait plus longtemps ainsi. Samuel sussurra tendrement:

-Je ne t'aime pas, je t'adore. Je t'adore encore plus que ma propre vie. C'est a en devenir fou.

Laure éclata de rire en voyant Tonerre aller se coucher dans le lit de la chambre qu'elle voulait justement donner à Sam et à lui. Elle semblait donc convenir au dragonneau, mais conviendrait-elle à l'homme de sa vie?

-Je crois que je n'ai pas besoin de répondre a ta question. Tonerre c'est occupé de répondre lui-même. En plus, je serais très proche de toi. C'est tout ce qui importe.

Laurelys sourit, elle était contente de savoir qu'il voulait être proche d'elle. C'Était la première fois qu'elle ressentait des sentiments aussi fort pour quelqu'un. Elle répondit à son baiser et resta dans ses bras par la suite. Elle se sentait tellement bien avec lui, comme si tout le reste n'avait plus aucune importance.

-Je ne t'aime pas, je t'adore. Je t'adore encore plus que ma propre vie. C'est a en devenir fou.

L'elfe regarda sonn bien-aimé et sourit. Elle l'embrassa tendrement et ensuite elle s'adressa à lui de sa voix douce.

- Je suis amoureuse de toi, Samuel. Je t'aimerai jusqu'à ma mort et même au delà. Ma vie ne vaudrait plus la peine d'être vécue si je devais ne pas t'avoir à mes cotés. Je t'ai donné mon coeur, il t'appartient maintenant, alors prends en soin. Je suis folle moi aussi, folle de ton être tout entier. Folle d'amour et de passion. Je t'aime tellement...

- Je suis amoureuse de toi, Samuel. Je t'aimerai jusqu'à ma mort et même au delà. Ma vie ne vaudrait plus la peine d'être vécue si je devais ne pas t'avoir à mes cotés. Je t'ai donné mon coeur, il t'appartient maintenant, alors prends en soin. Je suis folle moi aussi, folle de ton être tout entier. Folle d'amour et de passion. Je t'aime tellement...

Sans dire un mot, il l'embrassa langoureusement tout en la collant encore plus contre lui. Samuel passa une main dans ses cheveux et frémit en sentant son corps chaud contre le sien. Avant de l'embrasser a nouveau, l'Ombre chuchota:

-Tu n'as pas mon coeur, car tu es mon coeur. Tu n'es pas belle, tu es magnigique. Et le soleil ne pourra jamais égaler ta beauté.

Sam ferma les yeux de bonheur, heureux qu'elle soit là avec lui. De la sentir tout contre lui. Et de savoir que rien ne pourrait les séparer.

-Tu n'as pas mon coeur, car tu es mon coeur. Tu n'es pas belle, tu es magnifique. Et le soleil ne pourra jamais égaler ta beauté.

LAure sourit et soupira de bonheur. Elle était tellement bien, elle se sentait mieux lorsqu'elle était dans ses bras. Les compliments de son bien-aimé la faisait rougir, mais elle appréciait ce qu'il lui disait. Au moins elle pouvait alors savoir ce qu'il pensait d'elle. Il l'embrassait langoureusement et chaque fois elle répondait à ses baisers avec ardeur. Lorsqu'il chuchotait, son être entier frémissait et être ainsi près de lui la remplissait d'un désir qu'elle n'avait jamais connu jusqu'à maintenant.

elle finit par l'attirer doucement dans sa chambre, vers son lit. Puis l'embrassa tendrement, voulant soudainement laisser-aller ses désirs et ses pulsions. Elle finit par l'attirer totalement dans son lit et alors qu'ils s'embrassaient, Myrianna entra dans la chambre. Laure sursauta et soupira. Elle sentait venir les ennuis...

- Qu'importe ce que tu pourrais dire ou faire, cela attendra que j'ai attribué une chambre à Sam et à son dragon.

Myrianna avait regardé sa fille monter les escaliers et disparaitre de sa vue sans rien dire. Trop étonnée. Laure venait-elle de dire que l'ombre avait un dragon? Oh la la. Misère de misère. Cela compliquait les plans de l'elfe, qui refusait de devoir blesser un dragonneau. Elle devrait attendre qu'il soit plus grand pour au moins s'assurer qu'il était mauvais, même si elle n'en doutait pas. après un moment, la colère prit place. Sa fille avait décidément changé. Jamais elle ne lui aurait parlé de cette façon avant sa rencontre avec cet horrible ombre. elle monta les escaliers rageusement et entra dans la chambre de Laurelys. Elle la vit coucher dans son lit, son ombre par dessus elle, en train de s'embrasser.

- LAurelys Kementari Faelivryn-Sireila!

Mauvaise augure quand Myrianna appelait sa fille par son nom complet. Habituellement, elle prenait son premier prénom, Laurelys, et le nom de famille de son père, Sireila. Mais quand elle ajoutait Kementari, son deuxième prénom en l'honneur de sa grand-mère, et Faelivryn, qui .était son nom de famille à elle. cela ne présageait rien de bon.

- Tu as beau être amoureuse, cela ne te donne pas le droit de me parler ainsi. Je reste ta mère! que ton ombre de petit ami reste ici, c'est une chose, mais je refuse que quoique se soit se passe entre vous deux sous mon toit, c'est bien compris?

Puis elle regarda Samuel

- Quant'à toi, j'espère pour toi que tu sais te défendre, parce que tu devras te trouver un maitre dragonnier pour parfaire ton éducation et comme je suis certaine qu'aucun ne voudra de toi, je devrai t'apprendre. Et ce ne sera pas une partie de plaisir, croit-moi. Une fois que je t'aurai appri, il ne te restera qu'à trouver un dragonnier qui est toujours considéré comme tel, ce qui n,est pas mon cas vu ma longue absence, et qui acceptera de te faire passer l'examen.

Myrianna souriait, elle tenait enfin le moyen de ridiculiser et de faire souffrir l'ombre.

- Tu t'entraineras tous les jours et tu ne pourras donc pas voir ma fille quand cela te tentera.

- Quant'à toi, j'espère pour toi que tu sais te défendre, parce que tu devras te trouver un maitre dragonnier pour parfaire ton éducation et comme je suis certaine qu'aucun ne voudra de toi, je devrai t'apprendre. Et ce ne sera pas une partie de plaisir, croit-moi. Une fois que je t'aurai appri, il ne te restera qu'à trouver un dragonnier qui est toujours considéré comme tel, ce qui n,est pas mon cas vu ma longue absence, et qui acceptera de te faire passer l'examen. Tu t'entraineras tous les jours et tu ne pourras donc pas voir ma fille quand cela te tentera.
-Myrianna, je vais vous dire une chose très clairement: il est hors de question que je devienne votre apprenti. Même si sa doit prendre mille ans de ma vie pour trouver un maître, j'en trouverais un. Et ce ne sera pas vous. Alors je ne vois pas comment vous pourrez m'empécher de voir votre fille. J'ai du respect pour vous Myrianna, mais il existe une limite a ne pas dépasser. Un Ombre vous a blesser dans le passé, soit. Mais l'histoire ne ce répétera pas. Car je suis différent des autres.

Il prit une grande inspiration avant de s'asseoir sur le lit, a côté de Laurelys.

-Si votre objectif est d'essayer de protéger Laure de moi, je peux le comprendre. Mais de passer la douleur que vous avez au coeur sur moi, par simple raison que je suis un Ombre, c'est inadimissible Myrianna. Je n'ai pas choisi ce que je suis, pas plus que vous avez choisi d'être une elfe, une reine ou une dragonnière. Alors arrêter de vous en prendre a moi et a Laure. Vous vous attaquer presque sans remord sur votre propre fille pour me blesser. Ce que je n'accepterais JAMAIS.

Pendant qu'il parlait, Samuel s'était levé et approcher de Myrianna. Puis il sussurra méchamment pour lui faire comprendre qu'elle avait dépasser les bornes.

-De plus, si vous voulez me tuer, aller y. Par contre, ce ne sera pas moi que vous blesserez, maus Laurëlys. Je suis prêt a faire des serments en ancien language pour ne rien lui faire qu'elle ne souhaite pas. Je suis prêt a tout pour le bonheur de votre fille. Et le mien par la même occasion. De plus, si Laure veux qu'un jour, je parte, je partirais sans me retourner. Car sa sera SON choix. Vous m'aurez dans les pattes Myrianna, je vous empécherais de lui faire mal. Et si vous ne changez pas, vous risquez de vous retrouver a jamais SEULE.

Puis il se retourna et alla s'asseoir a côté de son coeur, calmant la rage qui l'animait. La rage et la colère que s'il ne contrôlait pas, risquait de tout détruire sous son passage. Ryos attendait. Si l'action de le tuer se fesait ici, il se battrait. Jusqu'à son dernier souvenir.

-Myrianna, je vais vous dire une chose très clairement: il est hors de question que je devienne votre apprenti. Même si sa doit prendre mille ans de ma vie pour trouver un maître, j'en trouverais un. Et ce ne sera pas vous. Alors je ne vois pas comment vous pourrez m'empécher de voir votre fille. J'ai du respect pour vous Myrianna, mais il existe une limite a ne pas dépasser. Un Ombre vous a blesser dans le passé, soit. Mais l'histoire ne ce répétera pas. Car je suis différent des autres.

Myrianna regarda l'ombre, étonnée. Comment osait-il s'adresser à elle ainsi? Elle allait lui répondre d'une manière encore plus glaciale, mais Samuel ne lui en laissant pas le temps, car aussitôt assis près de Laurelys, qui d'ailleurs n'en menait pas large, il reparla.

-Si votre objectif est d'essayer de protéger Laure de moi, je peux le comprendre. Mais de passer la douleur que vous avez au coeur sur moi, par simple raison que je suis un Ombre, c'est inadimissible Myrianna. Je n'ai pas choisi ce que je suis, pas plus que vous avez choisi d'être une elfe, une reine ou une dragonnière. Alors arrêter de vous en prendre a moi et a Laure. Vous vous attaquer presque sans remord sur votre propre fille pour me blesser. Ce que je n'accepterais JAMAIS.

Il s'était levé et s'était approcher d'elle. Sur ses gardes, elle n'osa toutefois rien faire, trop percutée par les paroles de l'ombre. C'était bien la première fois que quelqu'un osait l'affronter ainsi, en dehors de sa famille, bien sûr. Il n'avait pas tord dans ce qu'il disait, mais il était hors de question pour l'ancienne membre de la confrérie des dragonniers de l'avouer. Elle était trop orgueuilleuse pour cela et de plus, elle refusait de faire ce plaisir à l'ombre.

-De plus, si vous voulez me tuer, aller y. Par contre, ce ne sera pas moi que vous blesserez, maus Laurëlys. Je suis prêt a faire des serments en ancien language pour ne rien lui faire qu'elle ne souhaite pas. Je suis prêt a tout pour le bonheur de votre fille. Et le mien par la même occasion. De plus, si Laure veux qu'un jour, je parte, je partirais sans me retourner. Car sa sera SON choix. Vous m'aurez dans les pattes Myrianna, je vous empécherais de lui faire mal. Et si vous ne changez pas, vous risquez de vous retrouver a jamais SEULE.

La dragonnière bouillait et sa dragonne, qui était dehors, pouvait ressentir sa colère. elle tentait de l'apaiser, en vain. Luttant entre la crise de larme et la crise de rage, Myrianna décida de se taire. Par contre, elle regarda Samuel de haut et bien vite ce dernier put gouter de son crochet du gauche. Vlan, elle lui envoya son point dans la figure et cracha qu'une seule phrase à l'intention de l'ombre.

- Ne me reparle plus jamais ainsi, devant ma fille ou pas, ou il t'arrivera malheur, je t'en fais le serment.

Puis, elle tourna les talons et sortit du manoir. Elle embarqua sur sa dragonne et s'éleva dans les airs. Nul ne savait où elle allait et c'était mieux ainsi...

- LAurelys Kementari Faelivryn-Sireila!
Tu as beau être amoureuse, cela ne te donne pas le droit de me parler ainsi. Je reste ta mère! que ton ombre de petit ami reste ici, c'est une chose, mais je refuse que quoique se soit se passe entre vous deux sous mon toit, c'est bien compris?
Quant'à toi, j'espère pour toi que tu sais te défendre, parce que tu devras te trouver un maitre dragonnier pour parfaire ton éducation et comme je suis certaine qu'aucun ne voudra de toi, je devrai t'apprendre. Et ce ne sera pas une partie de plaisir, croit-moi. Une fois que je t'aurai appri, il ne te restera qu'à trouver un dragonnier qui est toujours considéré comme tel, ce qui n,est pas mon cas vu ma longue absence, et qui acceptera de te faire passer l'examen.
Tu t'entraineras tous les jours et tu ne pourras donc pas voir ma fille quand cela te tentera.

Laurelys avait frissonner lorsque sa mère l'avait appelé par son nom complet. Elle était au courant que cela n'augurait jamais rien de bon. Il fallait qu'elle soit sacrément en colère pour l'appeler ainsi. Habituellement, son deuxième prénom était douloureux à dire pour sa mère, puisque cela lui rappelait sa propre mère à elle, qui était décédée il y a bien des années. Elle écouta tout le bla bla qu'elle racontait et elle ne parlait ni ne réagissait. Elle avait compris qu'il ne fallait pas répondre à sa mère lorsqu'elle était dans un tel état, car cela ne ferait qu'empirer jusqu'à ce qu'elle explose et risque de blesser quelqu'un.

-Myrianna, je vais vous dire une chose très clairement: il est hors de question que je devienne votre apprenti. Même si sa doit prendre mille ans de ma vie pour trouver un maître, j'en trouverais un. Et ce ne sera pas vous. Alors je ne vois pas comment vous pourrez m'empécher de voir votre fille. J'ai du respect pour vous Myrianna, mais il existe une limite a ne pas dépasser. Un Ombre vous a blesser dans le passé, soit. Mais l'histoire ne ce répétera pas. Car je suis différent des autres.
Si votre objectif est d'essayer de protéger Laure de moi, je peux le comprendre. Mais de passer la douleur que vous avez au coeur sur moi, par simple raison que je suis un Ombre, c'est inadimissible Myrianna. Je n'ai pas choisi ce que je suis, pas plus que vous avez choisi d'être une elfe, une reine ou une dragonnière. Alors arrêter de vous en prendre a moi et a Laure. Vous vous attaquer presque sans remord sur votre propre fille pour me blesser. Ce que je n'accepterais JAMAIS.
De plus, si vous voulez me tuer, aller y. Par contre, ce ne sera pas moi que vous blesserez, maus Laurëlys. Je suis prêt a faire des serments en ancien language pour ne rien lui faire qu'elle ne souhaite pas. Je suis prêt a tout pour le bonheur de votre fille. Et le mien par la même occasion. De plus, si Laure veux qu'un jour, je parte, je partirais sans me retourner. Car sa sera SON choix. Vous m'aurez dans les pattes Myrianna, je vous empécherais de lui faire mal. Et si vous ne changez pas, vous risquez de vous retrouver a jamais SEULE.

Oups. Laure avait oublié de prévenir son bien-aimé de ne jamais répondre ainsi quand sa mère était en colère. Toutefois, elle ne put s'empêcher de penser qu,elle était contente qu'il ose l'affronter. Toutefois, l'issu de cet affrontement ne serait pas sans blessure, l'elfe le pressentait.

- Ne me reparle plus jamais ainsi, devant ma fille ou pas, ou il t'arrivera malheur, je t'en fais le serment.

Lorsque sa mère mit un coup de poing dans le visage de son bien-aimé, Laure se leva d'un bond, malheureusement sa mère s'adressa à Sam et partit avant même qu'elle n'ai put réagir. Par la suite, elle se jeta sur son bien-aimé et regarda pour voir s'Il n'était pas blessé.

- Je suis désolée mon bel amour. J'avais oublié de te prévenir de ne jamais l'affronter quand elle était en colère au risque d'être blessé. Tu as été super, je suis fière de toi, mais s'il-te-plait, ne recommence plus. Je n'aime pas être entre vous deux comme ça, c'est insupportable. Est-ce qu'elle t'a fait mal, tu veux que j'aille chercher quelque chose de froid?

Un coup douleureux et il s'affaissa a genoux, gromellant légèrement. Ce n'était pas agréable du tout. Mais peu importe. Puis Laure vérifia qu'il n'avait rien.

- Je suis désolée mon bel amour. J'avais oublié de te prévenir de ne jamais l'affronter quand elle était en colère au risque d'être blessé. Tu as été super, je suis fière de toi, mais s'il-te-plait, ne recommence plus. Je n'aime pas être entre vous deux comme ça, c'est insupportable. Est-ce qu'elle t'a fait mal, tu veux que j'aille chercher quelque chose de froid?
-Sa va Laure, je n'ai rien. Juste que sa résonne un peu mais sa va.

Il reprit rapidement ses esprits. Aïe, il n'avait qu'encore plus détterrer la hache de guerre. Très mauvais. Ce qui lui donna un air vaincu.

-Je risque de toute façon ne pas avoir la chance de recommencer... La prochaine fois que je la croise, je risque de finir en bouillie pour bébé. Alors prépare toi pour un deuil suivit d'une nouvelle recherche pour l'amour de ta vie, qui ne soit pas un Ombre...

Il rit mais son rire sonnait faux. Sa n'allait pas du tout. Samuel c'était rendu compte qu'il avait fait mal a Laure dans cette situation et sa l'avait mit mal à l'aise. Surtout qu'il présentait que bientôt, il devrait partir pour laisser Laure vivre une vie beaucoup plus joyeuse et harmonieuse avec sa mère. Ce qui mit son humeur encore plus sombre.

*Faut pas voyons! C'est laissé la victoire a cette chipie et lui donné raison!*
*Mais ce n'est pas toi qui a blessé Laure. Ce n'est pas toi qui est de trop. Ce n'est pas toi qui va bientôt mourir. Et surtout, ce n'est pas toi qui devra laissé son coeur en arrière alors que tu sais parfaitement que cela fera que plus mal a chaque battement de coeur... Je ne veux pas la laisser, non. Mais je devrais pour ne plus lui causé d'ennuis...*

-Je ne veux pas la laisser, non. Mais je devrais pour ne plus lui causé d'ennuis...

Sans s'en rendre compte, il avait finit sa pensée a voix haute. Pauvre lui.

-Sa va Laure, je n'ai rien. Juste que sa résonne un peu mais sa va.
-Je risque de toute façon ne pas avoir la chance de recommencer... La prochaine fois que je la croise, je risque de finir en bouillie pour bébé. Alors prépare toi pour un deuil suivit d'une nouvelle recherche pour l'amour de ta vie, qui ne soit pas un Ombre...

Laurelys avait bien vu que le rire de son bien-aimé sonnait faux et que son humeur s'était assombrit. Elle s'en voulait, elle aurait du prendre le partie de Sam, affronter sa mère, mais jamais elle n'aurait cru que Sam parlerait ainsi à une dragonnière. Si elle s'en était doutée, elle aurait parlé elle-même à sa mère et aurait empêché Samuel de dire quoique se soit. C'était sa faute, au final.

-Je ne veux pas la laisser, non. Mais je devrais pour ne plus lui causé d'ennuis...

Laure regarda Sam, scandalisée. Elle avait deviné qu'il parlait à Ryos et qu'il n'avait sans doute pas voulu dire la phrase à haute voix. Toutefois, elle eu une crise de panique. Elle se mit à trembler et s'effrondra sur le sol. Il voulait partir? Il n'avait pas le droit de faire une telle chose. C'était hors de question! elle ne put réprimer un couinement plaintif et des larmes coulèrent lentement sur ses joues.

- TU... tu... vas quand... même...pas me qui... quitter?

Tentant de reprendre contenance, elle se calma un peu afin de ne pas bégayer de nouveau. Étrangement, elle se lanca dans un discours énorme.

- Tu n'as pas le droit de partir sans moi. Aie au moins le courage de m'amener avec toi! Je me fiche de ma mère, tu as raison. Elle finira seule si elle continue ainsi et elle l'aura amplement mérité. Mais je refuse que tu me laisse tomber. Tu m'as fais tombée amoureuse de toi et maintenatn que je n'imagine plus ma vie sans toi, tu voudrais me laisser? Tu n'as pas le droit Samuel! Je te jure que plus jamais ma mere ne te touchera, je ten fait le serment.

La voyant s'effondrer, il la prit dans ses bras en criant presque:

-Laure! Qu'est-ce que tu as?
- TU... tu... vas quand... même...pas me qui... quitter?

Il écarquilla les yeux. Samuel venait de se rendre compte qu'il avait parlé a voix haute! Désemparé, il essuya ses larmes de ses lèvres en tremblant. Il avait terriblement peur de sa réaction.

- Tu n'as pas le droit de partir sans moi. Aie au moins le courage de m'amener avec toi! Je me fiche de ma mère, tu as raison. Elle finira seule si elle continue ainsi et elle l'aura amplement mérité. Mais je refuse que tu me laisse tomber. Tu m'as fais tombée amoureuse de toi et maintenant que je n'imagine plus ma vie sans toi, tu voudrais me laisser? Tu n'as pas le droit Samuel! Je te jure que plus jamais ma mère ne te touchera, je t'en fait le serment.
-Laure je... je ne veux pas de ce serment. Ont ne m'en a déjà assez fait pour aujourd'hui. Surtout un serment que tu risques de ne pouvoir respecter. Je ne veux pas partir loin de toi ma belle, oh non. Je ne le pourrais pas. Par contre... cela te faciliterais l'existence. Je ne suis que le trouble fête ici, que la personne en trop. Quelqu'un qui te fait MAL Laure. Et je ne peux me le permettre. Si... si partir loin de toi serais la seule manière d'éviter de te faire du mal et de ramener la paix chez toi, je le ferais. Mais je ne pourrais jamais m'y résoudre. J'arriverais jamais a commettre cet acte.

L'Ombre la prit dans ses bras et fit coller sa tête contre son torse. Pour par la suite caresser doucement son dos et ses cheveux. Il ne supportait pas la voir en larmes, de la sentir brisé. C'était lui qu'il l'avait mit dans cette état et il s'en voulait terriblement. En tremblant, il l'embrassa et dit sincèrement:

-Je te promet de te protéger et de faire mon possible pour éviter de te faire mal Laure. Je m'en veux tellement de te faire mal a ce point...

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