Une image vaut mieux que mille mots

Elenoy se trouvait près de Dras-Leona, ayant repérer un groupe de ra'zac non loin. Cela faisait trois jours qu'elle les poursuivaient discrètement et cette mission commençait à la mettre sur les nerfs. Elle aurait voulut s'en occuper personnellement, vu qu'ils n'étaient que cinq mais on le lui avait fortement déconseillé. A croire qu'elle n'était pas capable de s'en charger seule. La jeune fille se faufilait donc entre les habitants de la citée en prenant bien soin de rabattre correctement sa capuche sur son visage pour ne pas être reconnue par d'éventuelles personnes. Elle ne voulait pas avoir d'ennuis avec qui que ce soit, prenant déjà assez de risques en s'aventurant seule dans Dras-Leona, un territoire qui lui était complètement hostile. Baissant la tête et ne regardant que parfois devant elle pour ne pas perdre de vue les Ra'zacs, elle culbuta une personne. Elle tomba alors sur le sol violemment en poussant un faible cri de surprise. Elle se massa le bassin qui était douloureux à cause de la chute et leva les yeux vers la personne qu'elle avait tamponné.
- Pardonnez- moi je ne regardais pas où je mettais les pieds c'est de ma faute. J'espère que vous n'avez rien de cassé au moins.
La dragonnière ne voyait même pas à qui elle s'adressait. Le soleil se trouvait dans le dos de cet étranger, ce lui l'empêchait de distinguer les traits de son visage.

Non moi sa va Elenoy.
Quelque souvenir de cette époque revin a l'esprit du demi-elfe, il tendis la main et l'aida a ce relever, il ne voulait pas d'ennuie avec la seul qu'il avait toujours considérer comme une réelle amie, même étent devenue l'homme qu'il était maintenant.
Tu devrai faire attention ici, même si j'ai réussi a gagner leur confience, il n'ésiterons pas a te tuer, et de plus je doute que tu veuille un baiser comme la premiere fois qu on ces retrouver ici.

Elenoy prit la main que lui tendait Drizzt, ayant un peu de mal à le reconnaître. Elle le détailla du regard d'un air pénétrant, comme toujours. Elle avait du mal à croire qu'il ai encore changé. Mais elle n'était guère mieux avec un corps d'une jeune fille de dix-sept ans. Elle haussa les épaules pour lui signifier qu'elle n'avait pas peur de ce qui pouvait bien lui arriver ici.
- Tu me connais Drizzt, je n'en fais qu'à ma tête. Et puis je suis discrète alors je ne risque pas de me faire réperer, ajouta-t-elle en lui adressant un léger clin d'oeil. Tu sais j'ai beau être dragonnière, je ne m'amuse pas à être reconnue par tout les gens de l'Empire. En tout cas je suis contente de voir que tu es de retour parmis nous car je commençais vraiment à me demander où tu étais partit. Et pour finir avec toute cette agitation, il faudrait déjà que ce soit la seule fois où tu me donne un baiser. Oublierais-tu l'époque où tu étais le Phoenix ? J'ai beau avoir perdu la mémoire pendant un long moment, je me souviens désormais de tout.
La jeune fille esquissa un sourire malicieux dont elle avait le secret. Mais une chose lui échappait, comment se faisait-il qu'il ai gagné la confiance des hommes de l'Empire. Le Drizzt qu'elle connaissait haïssait ces gens.

Oyer Oyer, Chere urgal et ra'zac, nous avons ici une dragonniere, pas n'importe quel par contre, elle est Elenoy, maintenant, elle sera ce que vous appelerez votre chef, ou votre casgroute a vous de voir.
Drizzt lui adressa un clin d'oeil puis l'embrassa d un cou avant de disparetre et réaparetre un peu plus loin voir si les événement allait ce passer comme il s'était déjà passer.

Elenoy se recula alors et fut surprise une fois de plus qu'il l'embrasse. Elle avait du mal à y croire. Mais elle oublia vite ce baiser pour se concentrer sur quelque chose de plus grave. Comme par exemple se tirer de ce pétrin dans lequel Drizzt venait de la fourer. Par réflexe, la jeune fille dégaina son épée et observa les ra'zacs et urgals qui s'approchaient déjà d'elle en imaginant mille façons de la tuer ou de tout simplement la livrer. Il fallait qu'elle réfléchisse vite à un plan pour s'en sortir sans compter sur l'aide de Drizzt.
- Alors si tu crois que je vais me laisser faire toi tu me connais très mal...
Le combat commença alors après ces dernières paroles. Deux urgals, plus téméraires ou plus fous que les autres se ruèrent vers elle pour s'occuper de son cas. Ce qu'il n'avait peut-être pas comprit, c'était que l'elfe était une dragonnière qualifiée et entraînée. Ayant anticipée une attaque dans ce genre, celle-ci se baissa à la dernière minute pour donner un coup de pied circulaire dans leurs jambes. Ils tombèrent au sol et elle en profita pour planter sa lame dans leur corps. Il y avait à peu près une trentaine d'urgals et de ra'zacs qui avaient "répondut" à l'appel de Drizzt. En voyant cela, Elenoy se mordit la lèvre inférieur délicatement.
- Alors là je sens que je vais pas te le pardonner ce coup-là... Dit-elle à l'adresse de celui-ci.

Ok OK!
Le vent soufla, le plans avait marcher, Elenoy le lui pardonnerait très bientot, 4 urgals était deriere elle, il comptait se batre au coter d Elenoy, Drizzt l'avait su, les autre eu Drizzt les tua tous en un claquement de doigt.
Tu vois, tu a tes serviteur, maintenant partons si tu veut.
Il savait déjà la Réaction qu'elle aurait.

Elenoy jeta un coup d'oeil derrière son épaule et apperçut les quatre urgals derrière elle. Ne sachant quoi penser d'eux, elle préféra se taire à leur sujet, même si leur présence dans son dos la gênait. Elle n'y comprenait pas grand chose. A un moment Drizzt faisait tour pour gâcher sa couverture et voilà qu'il l'aidait en tuant les ennemis qui s'apprêtaient à la tuer. La jeune fille le fixa dans les yeux et se retint de justesse de lui adresser un regard noir. Après tout, il lui avait fait un coup qu'elle n'était pas prête d'oublier, bien plus que les baisers et tout le reste. Elle hésita à le suivre, ne sachant plus trop comment se comporter face à lui.
- Oublierais-tu que je ne suis pas venue simplement pour visiter Dras-Leona ? Je poursuivait une troupe de Ra'zacs et j'avais pour mission de les suivre jusqu'à leur campement... Et dire que j'aurais put les tuer toute seule... Fichu règle ! Je préfère quant je fais comme je veux. Et puis je sais que je devrais me taire mais...
L'elfe s'approcha de Drizzt et leva une main, comme pour le gifler. Mais elle ne le fit pas et se contenta de taper du pied, frustrée.
- Oublierais-tu que tu es marié ou quoi ? Je ne veux pas t'ennuies avec qui que ce soit s'il te plaît. Alors à m'embrasser comme cela je me demande vraiment ce que tu cherches !

L'avenir nous le dira, mais pour l'heure, je sais que ma femme va être tuer par mon fils, et je sais qu'après cela, tu sera la seul en qui j'aurais confience. Sonde mon esprit tu vera que je dit la vériter, de toute manière, tu est la seul a qui j'ai toujours dit la vériter.
Drizzt se retourna, il savait qu'il y aurait bientot des maitre parjure pour remettre de l'ordre ici.

Elenoy lança un regard suspicieux à Drizzt. Comment pouvait-il en être sûr ? Elle se sentit légèrement gênée mais refuse même de le montrer. Elle ne supportait pas quand on la croyait faible dans de tels moments. La jeune fille s'approcha un peu plus de Drizzt et le regarda dans les yeux, cherchant une once de mensonge dans son regard. Mais rien à faire, soit il disait la veritée, soit il pensait tout simplement ce qu'il disait.
- Je n'ai pas besoin de sonder ton esprit pour savoir si tu mens ou pas. Je te connais que trop bien pour savoir quand tu me mens ou pas. Aparamment ce n'est pas le cas je l'avoue...
L'elfe secoua la tête pour chasser les idées qui lui venaient à l'esprit. Elle croisa alors de nouveau le regard de Drizzt et le voir se retourner ne lui inspirait pas confiance.
- Qu'est-ce qu'il y a tu as vu quelque chose ? Et puis une dernière question... Comment sais-tu que Lillith va mourir ? Ce n'est pas cohérent.

Je vien du futur, le Drizzt de cette époque est mort.
Il sortit son épée, atendit quelque seconde et frappa dans le vide, enfin, dans une choses qui ne ce voyait pas puisque du sang gicla.
Tu aurait été blesser cette fois, allé vien dans le bois, je vais tout t'expliquer Elenoy.

Elenoy ne cherchait même plus à comprendre. De plus, comment avait-il sentit cette chose alors qu'elle-même n'avait rien vu ? Elle posa une main sur sa tête et ferma quelques secondes les yeux pour essayer de reprendre son calme. Sans ajouter un mot, elle suivit Drizzt dans la forêt, n'ayant pas sa place dans Dras-Leona de toute façon. Lorsqu'ils furent enfin sorti de la ville et en sécuritée. La jeune fille se tourna vers son ami et le regarda droit dans les yeux, attendants des explications.
- Eh bien maintenant j'aimerais bien comprendre si cela ne te dérange pas. Je crois que j'ai loupé trop de choses à ton sujet et j'aimerais rattraper le retard si tu n'y vois pas d'inconvénient.
L'elfe passa rapidement une main dans ses cheveux comme elle en avait l'habitude. Elle se maudit de ne pas pouvoir stopper cette petite manie. Elle enleva alors rapidement sa main pour croiser les bras.

Très bien, dans le futur, enfin, mon futur, Lillith meurt des main de Morgan, moi si tu norait pas été la, j'aurait été pire que ce que je suis la. J'ai déjà commencer a changer l'avenir en empêchant que tu soit blesser. J'oubliais prèsque, après la mort de Lillith, un ans après, nous étions enssemble.
Drizzt la fixa, encor une fois, aucun menssonge.

Elenoy écarquilla les yeux lorsqu'il lui dit qu'ils allaient être ensemble. Elle chercha un seul petit détail qui pourrait lui montrer qu'il mentait mais rien à faire. Il disait toujours la vérité, ou alors ce qu'il pensait. Mais elle aimait Reiken, et personne d'autre. Comment cela pouvait-il être possible ? C'était tout simplement impensable. La jeune fille recula d'un pas, comme pour échapper à ce qu'il venait de lui dire.
- Mais... Tu sais parfaitement que c'est impossible. Tu aimes Lillith et moi Reiken. Et puis elle ne mourra pas, ce n'est pas croyable. Et puis... Oh tu m'embrouille avec cette histoire. C'est impensable voilà tout. Je suis fidèle à mon mari et je le resterais.
L'elfe se retourna et ferma les yeux pour ne plus croiser ceux de Drizzt. Son regard emplit de vérité, surtout après cela, la troublait quelque peu.

Drizzt toucha le dériere de la tête d'Elenoy, une seul image lui parvin, le corp mort de Reiken, portant les marque tipique des varden.
Voila la raison pour la quel cela est possible.

Lorsque l'image de son mari gisant, mort, lui parvint, Elenoy ne put retenir un faible cri de stupeur. Elle n'arrivait pas à y croire. C'était impossible comme tout le reste. Reiken n'était pas mort, elle en était persuadée. Cela n'avait pas de sens et pourtant... La jeune fille sentit des larmes commencer d'abord à humidifier ses yeux. Elles coulèrent lentement ensuite, pour finir par un flot de désespoir. Elle ne voulait pas y croire, ni même y penser. Mais l'image de son mari mort lui revenait inlassablement en mémoire.
- Non Drizzt... Arrête ça. C'est faux je ne te crois pas. C'est impossible. Il n'est... Il n'est.... Pas mort.
A ces derniers mots, l'elfe fondit en larme. Elle venait de perdre une fois de plus tout espoir de revoir l'homme qu'elle aimait plus que tout. Mais son esprit n'arrivait pas à assimiler cette"information". Pour lui, c'était un magnifique mensonge et rien de plus.