Inspection et informations

Méfiante, Elenoy se crispa légèrement lorsqu'elle vit les gardes arriver en trombe dans la ruelle. S'attendant à devoir se battre, elle fut stupéfaite de comprendre que le parjure les avait fait venir uniquement pour dégager le corps sans vie de l'homme. Elle les laissa donc l'emporter en s'écartant légèrement sur le côté. L'un des soldats lui adressa un regard interrogateur qu'elle ne chercha pas à soulever. Détournant les yeux de la dépouille de l'humain, elle attendit patiemment qu'ils se soient éloignés. Leurs bruits de pas s'étant dissipés dans le tumulte de la foule, la jeune femme se détendit. Ses épaules s'affaissèrent de quelques millimètres et ses doigts lâchèrent la pression qu’ils exerçaient sur son bras droit. Néanmoins, elle avait du mal à saisir le geste de l’ombre. Une elfe à portée de main, ce n’était pas tous les jours qu’une telle occasion se présentait. Et de surcroît la reine ! Mais ça, bien entendu, il l’ignorait totalement et ce n’était pas un mal. Sinon, peut-être aurait-il agit autrement à son égard, ne la considérant plus comme une elfe qui aurait été envoyé simplement pour espionner les mages. Dans de telles circonstances, un revirement de situation était à prévoir. C'est pour cela que la dragonnière préférait ne pas dévoiler son identité au souverain empirien. Cependant, elle ne put rester silencieuse longtemps, s'adressant à l'ombre avec un calme déconcertant.
- Vous auriez pu leur demander de me saisir, souligna-t-elle en se mettant dos au parjure.
N'attendant pas spécialement qu'on lui réponde, l'elfe reporta son attention sur le mur qui avait volé en éclats lors de l'impact des deux hommes. Sans plus attendre, elle murmura quelques mots en ancien langage et les composants de la paroi se reformèrent. Il n'y avait plus aucune trace de la colision qui s'était produite tout à l'heure. Désormais, de la bataille il ne restait que le sang se mélangeant à la terre qui maculait le sol. Ne s'en préoccupant pas, l'élémentariste fit volte-face, se retrouvant devant Valendil. Inclinant légèrement la tête, l'elfe planta ses yeux bleus dans les siens. Elle chercha à sonder son regard mais n'y décela aucune émotion particulière. Cela la fit doucement sourire l'espace de quelques secondes. L'heure n'était pas à sourire, elle le savait et ce fut cette pensé qui l'effaça de la comissure de ses lèvres.
- Valendil... C'est ça ? Questionna-t-elle avec anodin, se souvenant du nom que le parjure avait donné en arrivant dans la pièce principale lors de la séance regroupant les mages.

Fixant l'ombre avec intensité, Elenoy parcourait ses yeux d'un bleu impénétrable. A sa première réponse, elle ne put s'empêcher d'hausser un sourcil de surprise. Si, en effet, il avait pu, pourquoi ne pas l'avoir fait ? Cependant, elle ne chercha pas à comprendre les raisons qui auraient poussées le parjure à ne pas la livrer aux soldats. Avec précaution, elle se rapprocha d'un pas sans le quitter des yeux. Les bras toujours croisés, elle se tenait avec une dignité non feinte qu'elle arborait d'un naturel désarmant. Lorsqu'il lui retourna sa question, un discret sourire vint éclairer les traits de son visage. Elle comprit aisément qu'elle était démasquée. La prochaine fois que ce genre de plan se présenterait, elle ferrait en sorte de trouver un nom plus convaincant. Toutefois, elle n'était pas prête de révéler sa véritable identité au roi de l'Empire. Garder un peu de mystère sur sa personne était une sûreté qu'elle préférait avoir pour le moment.
- Il semblerait que oui, finit-elle par répondre avec amusement.
Même si sur l'heure, la dragonnière était dans cette ruelle en compagnie de l'empirien, elle savait qu'elle allait devoir rejoindre Dark dès que possible. Elle avait encore une mission à accomplir et ne pouvait décemment pas l'ignorer. Ces mages n'étaient toujours pas hors d'état de nuire et les dragonniers encouraient toujours un risque qu'elle devait arrêter. Et dire qu'on l'avait envoyé ici uniquement pour trouver des informations sur les intentions de l'Empire... Toute cette histoire avait pris une ampleur à laquelle l'elfe ne s'était pas attendu. En réalité, l'arrivée du souverain Impérial y était pour beaucoup. S'il ne l'avait pas obligé à quitter la pièce centrale, peut-être que les événements se serait déroulés tout autrement. Soupirant faiblement, le jeune bretteur reprit le cours de ses pensées pour entendre la question posée par le parjure. A ceci, elle baissa les yeux et ne put réprimer un rire cristallin. Reprenant un peu de retenue, elle porta une main à sa bouche afin d'étouffer son éclat de rire. L'appellation "jolie elfe" de l'Empirien l'avait à la fois surpris et amusé.
*- En tout cas je ne peux pas lui reprocher son manque de courtoisie même à mon égard, pensa-t-elle en adressant de nouveau un regard nébuleux à l'ombre.*
Alors qu'elle s'apprêtait à répondre de manière détournée, ne pouvant donner les vraies raisons de sa venue à Gil'ead, l'élémentariste en fut empêchée par l'arrivée d'un garde. Celui-ci venait d'entendre le mot elfe, ce qui avait dû causer une panique dans son esprit. Tournant soudainement la tête dans sa direction, elle le vit sortir une corne dans laquelle il souffla aussitôt. Le bruit qui s'en échappa se répercuta aux alentours, ce qui avertit tous les soldats se trouvant à proximité. Elenoy s'apprêta alors à partir lorsque Valendil la prit afin de la protéger du trait qui sifflait dans sa direction. Surprise par ce geste, elle se raidit par réflexe mais n'opposa aucune résistance. Levant les yeux vers l'ombre, elle se dégagea de son étreinte dès que le garde tomba à terre.
- Merci beaucoup, déclara-t-elle en parlant de la protection qu'il venait de lui offrir. Que comptez-vous faire maintenant ? Vous ne pouvez pas tuer tous vos soldats uniquement parce que je vous ai moi-même aidé tout à l'heure. Alors pardonnez-moi mais je ne puis rester plus longtemps en votre compagnie grâce à vos soins. Si je ne tiens pas à ce que vos soldats s'occupent de moi, je ferrais mieux de partir alors... Au revoir.
Sans en ajouter plus, elle s'éclipsa afin de quitter la ruelle. Regardant de chaque côté, elle perçut des bruits de pas vers la droite. Adressant un dernier regard en direction du parjure, elle partit alors du côté opposé pour échapper aux gardes.

Depuis que l'alerte avait été donnée, les citadins s'empressaient de rentrer dans leurs demeures respectives à la plus grande surprise d'Elenoy. Celle-ci ne savait pas par où aller, sachant pertinemment que l'entrée de la ville serait bloquée. Gardant son sang-froid, elle inspecta la rue dans laquelle elle se trouvait et aperçut un aubergiste en train de fermer son établissement. C'était sa chance, elle devait la saisir au plus vite. N'hésitant pas un seul instant, la jeune femme se rua vers l'auberge mais son gérant l'empêcha d'entrer en lui barrant la route de son gros bras. D'un oeil noir, il la dévisagea.
- J'vous interdit de venir ici, si ça s'trouve z'êtes l'elfe qu'les gardes cherchent, cracha-t-il avec méfiance. Dégagez si vous voulez pas que jm'occupe d'vous de suite.
- Ah bon ? C'est dommage je voyais ça autrement, répliqua la dragonnière, un sourire redoutable aux lèvres.
Ne lui laissant pas le temps de répondre, elle lança un "Thrysta" qui éjecta le tavernier à l'intérieur. Il percuta alors le mur et tomba derrière le comptoir, à l’abri des regards. Sous le choc, il s'évanouit et la jeune bretteuse fut ainsi s'abriter dans l'auberge. Regardant derrière elle, la respiration haletante, elle entendit un attroupement de gardes se rapprocher à toute vitesse. Elle partit alors à toute vitesse à l'étage pour s'y réfugier. Montant les marches d'escaliers grinçantes quatre à quatre, elle traversa le couloir qui était totalement désert. A première vue, tous les clients de la taverne l'avaient quitté pour trouver un endroit plus sûr. Mais contrairement à eux l'elfe, elle, n'avait pas ni le temps ni le loisir de choisir autre chose. En bas, quelqu'un haussa la voix avec frayeur.
- Le tavernier est assommé ! Il a l'air de s'être pris un méchant coup, s'exclama-t-on sans la moindre discrétion. L'elfe doit sûrement se trouver dans le coin les gars !
- Ouai on va la coincer, elle risque pas de pouvoir s'enfuir, renchérit un autre.
Puis, dans une cacophonie de métal, ils montèrent à leur tour les escaliers de bois. Arrivés en haut, ils se séparèrent en différents groupes afin d'inspecter toutes les chambres. Deux d'entre eux prirent la pièce du fond et ouvrirent la porte, leur épée à la main. Quelle ne fut par leur surprise de voir la fenêtre ouverte, une jeune femme en train d'escalader le mur d'en face. Il était trop tard pour l'en empêcher et ils durent demander à leurs coéquipiers de les rejoindre. L'un d'eux tenait une arbalète. Le trait fut net, précis et siffla sans un bruit. Néanmoins, il fut tiré à une seconde d'intervalle et manqua la fugitive à quelques centimètres près lorsqu'elle se hissa sur le toit.
*- Ah c'est dommage pour vous, se dit-elle en voyant la flèche ricocher contre le mur, à l'endroit exact où se trouvait son bras quelques instants plus tôt.*
Tel un félin agile, Elenoy se mit à sauter sur les toits. D'ici, elle voyait la porte d'entrée et tous les archers qui l'attendaient avec une impatience grandissante. Plissant le nez de mécontentement, elle bifurqua sur la gauche pour trouver un moyen de s'échapper. Cependant, où qu'elle allait, les remparts étaient criblés de soldats qui la cherchaient.
*- Elenoy, je viens à ton secours ! Déclara soudain une voix déterminée dans son esprit.*
*- Non Miremel ! S'écria-t-elle, la peur se lisant enfin sur son visage qui était resté obstinément calme. Tu risquerais de te faire tuer. Je vais me débrouiller.*
*- Hors de question, tout ce que tu vas faire c'est te faire capturer et je ne supporte pas cette idée.*
*- Fais moi confiance Mi'...*
*- Non pas cette fois, répliqua la dragonne. J'arrive tout de suite.*
Pendant cette discussion, la jeune bretteuse était restée immobile sur le toit d'une maison en contrebas. Sa présence n'échappa pas à quelques soldats qui étaient accompagnés d'un magicien. Le mage, qui devait faire parti du bataillon d'élite, eut vite fait de lui bloquer les jambes. Surprise, l'elfe voulut contre attaquer mais en fut stoppée net par un soldat qu'elle n'avait pas entendu monter grâce à des tonneaux se trouvant près de la maison. Celui-ci lui donna un coup avec le pommeau de son épée. La vision d'Elenoy se brouilla alors et elle tomba sans un bruit sur le sol. Avant de s'évanouir, elle entendit un grondement de détresse se répercuter dans son esprit.

Lorsqu'elle se réveilla, Elenoy était attachée par les poignets par de solides anneaux de fer. La seule mince lumière qu'elle percevait lui venait de l'extérieur de la cellule, filtrée par les barreaux de la porte. L'endroit était humide et glacial, ce qui provoqua des frissons qui parcoururent le dos de la jeune femme. Des éclats de voix s'élevaient de l'autre côté de l'entrée mais la prisonnière avait du mal à comprendre le sujet de leur discussion. Tout ce qu'elle entendait n'était que charabia incompréhensible. Soupirant faiblement, elle chercha à briser ses chaînes par la force. Cependant, elle était épuisée par les événements de la journée. De plus, depuis qu'elle avait dû espionner le groupe d'Empirien qui avait conduit ses recherches jusqu'à Gil'ead, elle n'avait pas put se reposer convenablement. Alors briser des anneaux qui avaient déjà résistés à de nombreux captifs avant elle... C'était tout à fait impossible.
*- Si seulement j'avais fait plus attention au lieu de rabaisser ma garde... Tout ceci ne serait pas arrivé, ne put s'empêcher de penser l'elfe. Je ne peut pas croire que cela va se terminer ainsi.*
Soupirant profondément, elle tenta une seconde fois de se libérer. Cherchant les mots en ancien langage qui lui serraient utiles, elle pesta en ne se souvenait de rien. Ils avaient dû la droguer pendant qu'elle était inconsciente. Pas moyen non plus de contacter Miremel ni Dark: la jeune bretteuse était livrée à elle-même. S'avouant silencieusement vaincue, elle baissa la tête. Ses cheveux tombèrent en cascade, cachant l'expression de rage qu'arborait son visage. A la tempe, on pouvait voir la contusion formée à cause du coup qu'elle avait reçut de la part du soldat. Du sang s'en était écoulé et avait formé une ligne sinueuse qui descendait jusqu'à son cou.
Au bout d'une heure ou deux dans le silence le plus complet, l'élémentariste perçut un bruissement derrière la porte qui s'ouvrit à la volée. Un homme tenant un plateau chargé seulement d'un pichet d'eau entra dans la cellule. Malin ça... Comment pouvait-elle boire avec les mains attachées ? Aucune logique. Levant la tête, Elenoy adressa un regard noir au soldat qui le lui rendit en toute impunité. Profitant du peu de mouvement dont disposait la captive, il s’approcha, un sourire goguenard aux lèvres.
- Alors on croyait pouvoir s’échapper hein ? Mais pour qui vous prenez-vous, vous les elfes ? Demanda-t-il, n’attendant même pas de réponse à sa question.
- Pas pour des gens arrogants en tout cas, répliqua-t-elle, provoquant ouvertement le garde.
Celui-ci n'apprécia guère et commença à s'avancer. Toutefois, la jeune femme fut la plus rapide et étendant la jambe droite, elle lui donna un violent coup dans le tibia qui fit basculer son adversaire. L'homme se releva alors, ayant renversé la cruche pendant sa chute. Lui adressant un sourire amusé, un sourcil haussé, l'elfe le regarda quitter la geôle avec un malin plaisir. Peut-être allait-elle en payer les conséquences plus tard mais elle n'en avait que faire. Et apparemment, le soldat n'en dit mot à personne car tout le long de la soirée, elle n'eut aucune autre visite de ce genre. Fatiguée, la dragonnière finit alors par s’endormir même dans la position peu confortable dans laquelle elle se tenait.

Etant coincée dans les cellules de Gil'ead, Elenoy en avait profité pour dormir un peu et ainsi rattraper le sommeil dont elle avait besoin. Cela faisait maintenant six jours qu'elle n'avait pu fermer l'oeil, même pendant la nuit. En effet, l'attroupement de soldats qu'elle avait suivit n'avait cessé de bouger pour rejoindre la cité impériale. Contrainte, la jeune femme avait prit le rythme sans rechigner. Mais à force, elle avait besoin d'une pause et son emprisonnement fut l'occasion rêvée. Bien entendu, elle aurait préféré un endroit plus adéquat pour se reposer au moins pendant deux ou trois heures. Pendant ce laps de temps, personne ne vint la déranger pour on ne sait quelle raison. Lorsqu'elle reprit conscience, l'elfe se sentait beaucoup mieux. Non seulement elle avait récupéré un peu de force mais ses pensées étaient aussi moins embrouillées qu'à son arrivée. En effet, au loin elle percevait une présence qui ne cessait de répéter son nom avec inquiétude. Secouant la tête, il lui fallut un certain temps pour comprendre de quoi il pouvait bien s'agir. L'esprit toujours un peu confus, elle tenta de joindre la dite présence.
*- Miremel ? Se risqua-t-elle à demander en espérant ne pas se tromper d'interlocuteur.*
*- Tout juste petite elfe. Je suis soulagée de te savoir réveillée, cela fait des heures que j'essaye d'entrer en contact avec toi sans succès, expliqua la dragonne avec une angoisse non feinte. Comment te sens-tu ? Tu n'as mal nul part ?*
*- Eh bien... On m'a frappé à la tête tout à l'heure et j'ai l'impression que quelqu'un à côté de moi s'amuse à répéter ce même geste sur mon crâne. A part ça tout va bien je te rassure. On avait dû me droguer mais l'idiot qui est venu tout à l'heure a renversé le pichet d'eau. C'est sûrement là dedans qu'il mettait la décoction.*
*- Dans ce cas je viens te chercher immédiatement et...*
*- Non ! La coupa sèchement la dragonnière, cherchant par-dessus tout à protéger Miremel. Si tu franchis ne serait-ce que les remparts de la ville, tu vas te faire assaillir par les archers. Je ne veux pas qu'il t'arrive quoi que ce soit par ma faute. Je ne le supporterais pas ! Je vais tenter de m'évader alors je te rejoins d'ici une heure tout au plus.*
Interloquée par la réponse de sa partenaire, la dragonne ne répondit rien. Elle resta alors là où elle se trouvait, à cinq cent mètres de Gil'ead, cachée dans une étroite paroi rocheuse. Elle aurait souhaité la jeune bretteuse, celle-ci s'en doutait. Mais cela encourait un risque trop grand pour Miremel qui aurait vite fait de se faire tuer une fois arrivée dans la citée. N'ayant pas retrouvé encore sa magie, Elenoy soupira faiblement. Moins de temps elle passerait ici, mieux elle se porterait.
C'est alors qu'un bruit dans les couloirs attira son attention. Quelqu'un venait d'ouvrir la porte menant aux geôles, sûrement pour rendre visite à l'un des prisonniers. Les sourcils froncés, la jeune femme chercha à savoir ce qui amenait cette personne ici. Mais pour le moment, aucun bruit ne pouvait lui donner pareil renseignement. Restant sur ses gardes, elle s'apprêtait à agir si elle voyait la porte de sa propre cellule s'ouvrir.

[hrpg: quelque problème personnel pas encore réglé.Je vais faire de mon mieu pour posté régulièrement]

Darklegolas avait évacuer la maison quand la garde avait sonner.Quittant les lieux tranquillement,pas comme certain mages,il commencait a s'inquiété de ne pas voir sortir Elenoy.Il remonta un peu les marche pour avoir une vue d'enssemble de la foule et vit que la jeune elfe se fesait enmené par une troupe de garde Impérial.L'ombra aurait bien voulu intervenir mais il y avait beaucoup trop de mages pour pouvoir intervenir et en plus la nuit allait bientot tombé sur la ville.Darklegolas préférait les ténèbre pour agir.Le soir venu,le jeune Ombre se concentra pour retrouvé l'aura magique d'Elenoy.Darklegolas repéra l'aura de l'elfe,elle se trouvait dans une cellule dans une des prison de la ville.Le jeune Ombre se éléporta devant l'entré de la prison et ce concentra de nouveau.Une autre aura puissant été présente en plus de celle de sa coéquipière.L'Ombre sortit son arme et ce téléporta dans les cachots.Il apparut dérrière le mystérieux individu,lui mit son mantibule démoniaque sur l'épaule pour qu'il se retourne puis il le saisit a la gorge et le souleva tout en le menacant avec son épée.

-Je t'interdis de la touché.

Darklegolas avait prononçait ces mots tout en fusillant le drole d'individu avec les yeux.