Une rencontre bien soudaine (pour ceux qui le desire)

L'exécuteur avait élue domicil à dans cette auberge de Teirm pendant le laps de temps qu'il y resterai. Mais pour le moment il chassé, le fils du forgeron d'en face de l'auberge avait tué la fille d'un marchand qui ne voulait pas l'épouser. L'exécuteur avait été engagé par le marchand, pour tué l'apprenti forgeron. L'exécuteur été donc allé à la forge, commanda un carquoi de fléche, puis au moment où le fils le lui tendit, L'exécuteur lui attrapa le bras et le lançat dans la rue.

-Codar à tué la fille d'un marchand, ce marchand me paye pour le tuer.

L'exécuteur sorti sa lame, mais à ce moment là le forgeron sorti une dague et la leva devant lui. L'exécuteur eut un petit rire moqueur avant de lui trancher un doigt qui était crispé sur la dague. Le garçon tomba au sol et en ce tenant le moignon où c'était trouvé le doigt.

-L'empire me vengera! cria le fils du forgeron, tout en pleurant tellement il souffrait.

-Ce petit tas de rats? Ils n'ont pas été foutu de m'attrapé en 75 ans de carriére et plus de 2 miles contract, c'est pas pour un petit forgeron miteux qu'ils vont faire quelques chose.

Et L'exécuteur lui trancha la tête et laissa les deux morceaux du corps du jeune garçon derriére lui pour rentrer dans l'auberge. Il prit un table à côté de Mearwyn sans le faire exprés, car pour lui, c'était une personne comme les autres. Sa table n'avait pas de piché d'eau comme les autres, voyant que celui de sa voisine était remplie. Il se leva et s'approchat de Mearwyn, prit e piché entre les ses mains et dit:

-Je peux?

Mearwyn regarda l'étranger pour un moment, elle avait vu ce qui c'était passé avec l'apprenti forgeron dans la rue et se souvint de ses mots: "-L'Empire me vengera". Elle decida donc, fesant partie de l'Empire, de faire une petite investigation suptile de cet étranger. Finallement, elle lui glissa le pichet.

- Pardonnez moi, je ne crois pas avoir eu la chance de vous connaitre.

Elle se leva et lui donna la main.

-Je suis Mearwyn, et vous?

Elle l'invita a s'assoire et lui offrit de quoi manger.

Gaby entra dans l'auberge de Teirm. Elle entendit vaguement parler d'un meurtre chez un forgeron voisin avant de hausser les épaules et d'aller s'asseoir à une table. C'était sa première sortie depuis des semaines. Depuis sa blessure en somme. Elle portait sa cape et sa capuche et alla vers une table du fond d'un pas fatigué. Elle n'avait pas encore reprit toutes ses forces alors, elle souhaitait beaucoup ne pas se faire attaquer.

Après s'être assise, elle vit un homme et une femme qui discutaient entre eux. Elle n'avait jamais vu la femme mais, elle reconnaissait l'homme sans problème. C'était L'exécuteur. Il y avait longtemps qu'elle ne l'avait pas vu. Elle se souvenait d'une fois où il lui avait sauvé la vie. Elle lui devait beaucoup. À coup sûr, le meurtre, c'était lui. Elle se commanda à manger et attendit patiemment que L'ex la reconnaisse. Il l'avait toujours fait de toute façon.

En attendant, elle regarda des soldats arriver dans la rue où s'était produit le meurtre. Ils battaient l'appel à témoin et, bien sûr, tout le monde quittait la zone. Ce ne serait qu'une question de temps avant qu'ils ne rentrent dans l'auberge.

L'exécuteur regarda la femme droit dans les yeux, car il l'a voyait parfaitement au travers de la capuche de son manteau, il ne voyait pas une menace directe, mais il trouvait cette invitation bien étrange, la femme l'avait certainement vu tuer le jeune forgeron. Et maintenant que les soldats venaient voir ce qui c'était passé il trouvé ça plus qu'étrange. Mais il accepta tout de même de s'asseoir, et se servit à boire, mais ne toucha pas à ce qu'elle lui donnait à manger.

-Je suis L'exécuteur, et c'est loin d'être une chance de me connaitre. Tu n'as qu'a demander à Gabriella, qui vient d'entrer.

L'exécuteur dit le nom de Gabriella plus fort de maniére à l'interpeler, tout en l'a regardant.

Mearwyn le regarda, et puis regarda la femme dont portait le nom de Gabriella. Elle se souvenait avoir deja entendu parlé de lui, l'Executeur, par certains voyageurs qui avait passé son chemin quelques jours plutot, mais aucun détails n'avait été donné. Elle sentit un soudaint interret envers cet étranger.

-En effet, je me rappel avoir vaguement entendu parlé de vous par d'autres voyageurs. Quel besogne vous amène a Teirm?

Elle le savait, il avait comprit qu'elle avait été témointe du meurtre comis. Elle fit expres pour soulever ce sujet, question de satisfaire sa curiosité, et bien sur, comprendre pourquoi il avait tué le forgeron qui par hazard suivait l'Empreur.

Gaby leva son verre vers L'ex. Elle se leva ensuite pour aller vers lui. Il semblait en grande discussion avec une autre jeune femme dont elle préférait se méfier. Après tout, elle était chez les Vardens et était aussi dragonnière alors, il valait mieux rester sur ses gardes. Elle se mit à côté de L'ex et les regarda en riant doucement.

-Il faudra que tu me dises comment tu fais pour toujours me reconnaître. Pour ce qui est des ennuis, disons que L'ex en attire plus souvent qu'à son tour.

Elle regarda L'ex avec le sourire. Elle savait qu'elle n'avait rien à craindre de lui tant qu'elle ne se trouvait pas au bout d'un contrat.

-Tout va comme tu veux? Je ne t'ai pas revu depuis...longtemps.

En fait, depuis la bataille de Farthen Dur mais, elle n'allait pas le dire devant autant de monde.

L'exécuteur regardat Gabriella s'asseoir à ses côtés, et en pensant à leur derniére rencontre il s'aperçut qu'il avait tort, le fait que Gabriella le connaisse l'avait certainement sauvé la vie lors de la derniére bataille à Farthen dur.

-Sa va, sa va, je vais prendre un bon sac d'or quand l'ennemie du forgeron d'en face vera son corps étandut dans la rue, donc oui de vais très bien.

L'exécuteur se tourna vers la femme qui l'avait invité.

-Je suis le seul tueur à gage de toutes l'Alagaësia, les nomades me connaisse en effet, ils sont souvent visé par de petit contract. Je dois bien venir faire profiter de mes services les habitants de Teirm. Et vous que venez vous faire à Teirm?

L'exécuteur jeta un coup d'oeil par la fenêtre, les soldats regardait le cadavre, et écoutait le pére du mort qui était en larme.

L'annonce que l'Executeur était un tueur a gage la détendit un peu, elle pouvait donc se détendre en cette belle journée, ayant finallement une discussion interessante avec un étranger.

- J'ai toujours vécu ici, quoi que j'ai pris abris autres part aussi pendant certains voyages qui s'éprouvait plutot longue. Cela fait que quelques jours que je suis revenue.

Elle se tourna vers la nouvelle arrivée de la table.

- Et vous, c'est le travail ou le plaisir qui vous amene dans cette belle ville?

Elle vit que l'Executeur était aussi préoccupé par la scene qu'il avait créée plutot, elle vit les soldats, mais ne fit aucun geste vers la porte.

*Un tueur a gage, c'est vraiment interessant. Mais, comment peut-il vivre avec une concience aussi chargée?*

L'exécuteur se tourna vers les soldats qui regardait maintenant en direction de l'auberge: le forgeron avait dû le voir partir dedans au lieu de pleurer son fils. L'exécuteur posa un main sur son épée et se tourna de nouveau vers les deux femmes qui se questionnait sur leur venu à Teirm. Moins de cinq minutes plus tard les battants de l'auberge grincérent et laissérent passé les corps imposants de trois soldats de l'Empire. La salles tomba dans le silence le plus total tous s'étant tourné, vite ou moins vite, vers les soldats. L'exécuteur attendait, sagement sur sa chaise, dos aux soldats, souriant à Mearwin qui était en face de lui.

-Nous cherchons l'homme qui a tué l'apprenti forgeron d'en face.

La plupart des regards de l'auberge se tournérent sur L'exécuteur, les autres ceux qui ne l'avait pas vu,le regardérent peu de temps après comprennant que c'était lui. L'exécuteur souriait encore plus, on pouvait même voir dans ses yeux une lueur de malice. Il sorti de l'intérieur de sa cape un morceau de parchemin usé. Puis se leva lentement de sa chaise, une main sur l'épée l'autre tenant le parchemin.

-C'est cette homme qui vous as tué le forgeron d'en face.

Et L'exécuteur donna le parchemin au soldat qui avait parler, maintenant qu'il était près de lui. Celui-ci ouvrit le parchemin: c'etait un croqui de L'exécuteur avec au-dessous quatre ligne de récompense les plus glorifiante ainsi qu'un bon nombre d'or pour qui le raménerais, mort ou vivant. L'homme leva la tête et commençat à sortir son épée. Hélas pour lui, quand celle-ci fu sorti de son fourreau une dague lui était déjà planté dans la nuque. Les deux autre avait eut le temps de sortirent leurs épées et s'étais jeté sur L'exécuteur, qui avait prit l'épée du premier mort et bloqua avec celle-ci les deux autres, puis, sans autres explication, planta une dague dans la gorge des deux soldats. Il la rangea et et repris son avis de recherche avec sa dague qui était toujours sur le premier mort. L'exécuteur revint s'asseoir à la table où Mearwin et Gabriellat l'attendait. Les autres client du bar se disputant pour sortir le premier.

-Nous disions quoi déjà?

L'exécuteur avait reprit un air naturel.

Gaby s'était légèrement tourné pour que son visage soit caché quand les soldats entrèrent. Elle regarda ensuite L'ex faire son petit numéro en secouant la tête de dépit. Il fallait toujours qu'il cherche à attirer l'attention des autres. Elle ne manqua pas de lui en faire le reproche quand il revint se mettre près d'elle et de l'autre femme.

-Il faut toujours que tu attires l'attention, L'ex. Quand apprendras-tu à être plus discret? Là, tu peux être sûr que ce n'est pas trois soldats qui vont rentrer la prochaine fois mais, une escouade complète.

Elle n'avait pas tôt fait de finir sa phrase qu'une vingtaine de soldats s'engouffra dans l'auberge et les encercla. Elle ne pu s'empêcher de soupirer de dépit. Qu'est-ce qu'elle disait déjà? Elle tourna doucement son visage vers l'homme à ses côtés et murmura une réponse bien sentie.

-Merci bien, L'ex. La prochaine fois que je voudrai attirer l'attention, je me promènerai avec une pancarte.

L'exécuteur rit, il aimait l'humour de Gabriella. Il avait fait ça pendant toutes sa vie, il savait qu'il s'en sortirait, très bien, peut-être que Gabriella elle auras plus de mal que lui. Il se servit cependant encore un peu du contenu de la cruche et bu son verre.

-De quoi as-tu peur? Tout ces hommes sont en train de vivre leurs derniéres heures, ils ne pourront pas te reconnaitre où que tu ailles. Moi, tu me connais, je ne te ferai pas de mal tant que tu n'es pas au bout d'un de mes contract et tant que tu reste loin de mes activité. Mais maintenant il faut savoir si on peut avoir confiance en cette femme qui nous a si gentillement accueillis à sa table.

Le soldats qui se trouvaient derriére lui commençait à le pousser avec le bout de son épée pour qu'il se léve.

-Si tu ne veux pas tombé raide mort, arréte.

Mearwyn avait assisté au spectacle que l'Executeur venait de faire, et maintenant plusieurs soldats les encerclait visant a intimider l'Executeur. Elle se leva et comanda au soldat au soldat qui poussait l'executeur de son épée d'arreter son geste.

- Laissez le un instant...

Elle le regarda, visiblement intriguer, et se rassit. Un silence tomba dans l'auberge, mais on pouvait entendre un petit ricannement de la part de l'Executeur.

- Vous m'interessez... Votre vie dépend du nombre de contrats qu'il vous ait donné, du nombre de gens que vous tués, et votre conscience en est clair. Quoi que cela soit macabre, j'admire ce trait que seulement peu possède. Elle regarda les soldats qui avait toujours leurs l'épées a la mains. Tout cela, et vous riez quand meme dans la face de ces soldats, dans la face de l'Empire, donc l'Empreur, celui qui vous a laisser vivre librement jusqu'a ce point. Dites-moi, pourquoi devrais-je dire a ces soldats de vous laisser vous et votre amie en vie? Vous avez une chance, expliquer vous.

Gaby regarda la femme, puis L'ex puis, les soldats avant de secouer la tête de découragement. Et dire qu'elle ne voulait pas attirer l'attention, c'était raté. Pendant que L'ex prenait son temps pour répondre, l'un des soldats agit très vite et enleva la capuche de Gaby. Celle-ci sursauta et envoya sa dague dans la gorge du soldat.

-Non mais, il y a pas de gêne. Pourquoi ne pas me déshabiller au complet tant qu'à y être.

Les soldats devinrent nerveux. Ils resserrèrent le cercle autour du trio. L'un d'eux, l'officier sans doute, fouilla dans les avis de recherche qu'il avait dans une sacoche sur lui. Il en tira un et le lut à haute voix.

-Rechercher pour récompense. Dame Gabriella, dragonnière des Vardens.

Gaby le fusilla du regard et l'homme se tut. Il eut cependant un grand sourire. Il pensait peut-être se faire de l'argent. La jeune dragonnière se tourna alors vers Mearwyn pour lui répondre.

-Je crois que vous avez votre réponse. L'ex, je ne crois pas qu'il serait de bon ton de rester ici. Alors, tu ouvres la voie et je te suis. Après tout, c'est toi qui nous a fichu dans ce guépier.

Son ton calme et serein éveillèrent la méfiance des soldats.

L'exécuteur ricanait dans son coin, il sentait depuis le début qu'il ne pouvait pas faire confiance en cette femme, maintenant il était sur de son appartenance. Quand le corps du soldat tomba avec un bruit sourd L'exécteur n'exquissa pas un mouvement pour voir le cadavre, mais un léger sourire apparrut ses lévre.

-Ne t'inquiéte pas Gabriella, dans un instant. Avant je vais répondre à cette femme.

Il se reservit un verre et le but.

-Ma vie ne dépend pas du nombre de contract que j'exécute. Je suis un elfe, je peut largement subvenir à mes besoin en chassant ou en mangeant des fruits comme mes congénaire. Vous parler de Galbatorix, qu'il m'a laissé vivre jusque ici librement? Laisse moi rire, tout d'abord demande à ceux qui le connaisse depuis un bout de temps, qui est L'exécuteur, l'expérince raté comme ils disent. Si Galbatorix me laisse faire ce que je veux c'est parce qu'il sait que ses meilleurs hommes ont de fortes chance de mourir face à moi. Et pour finir, j'ai un nombre incalculable de ce que tu peut appeler chance. Mais si je dois convaincre quelqu'un ici de nous laisser partir ce n'est pas toi. C'est ces soldats qui nous entoure, car si ils ne nous laisse pas partir, ils vont mourir, et ça, autant pour eux que pour moi, ce n'est pas bon. Pour eux ça parait évident, quant à moi, si ils ne meurent pas maintenant je pourrais peut-être avoir un contract sur eux plus tard.

L'exécuteur venait de sortir une bague d'une des poches les plus caché de son habit, une de celle decerné pour laisser passé leurs posseseur n'importe où à Uru-baen, et L'exécuteur commença à s'amuser avec, la faisant tourner entre ses doigts.