Une rencontre bien soudaine (pour ceux qui le desire)

L'exécuteur fut repris par un élan de rire, c'etait Mearwin qui le faisait rire encore une fois.

-Ecoutes, si tu sais lire, ah oui j'ai oublié que c'est l'une des choses qui régrésses depuis que Galbatorix est au pouvoir, avant, il y avait un grand nombre de lettré en Alagaësia, maintenant c'est une grande minorité. Donc si tu sais lire, vas dans les registres du chateau, lis les premiéres année du régne de notre despote et tu vera quelques lignes par-ci par-là sur un enfant que le roi aurait prit sous son ailes, comme si il l'avait élevé. Une dizaines d'années plus tard il est nommé un combattant tenant son savoir de Galbatorix et ayant tué toutes un village avec l'aide de quelques soldats. Ce jeune homme à été prié par le roi de faire ce qu'il veut en Alagaësia mais qu'il devrait répondre aux ordres du despote... eh roi pardon. Ce jeune homme c'est homme, alors si jamais je retourné dans les rang de l'esclavage alors oui certainement je serais haut gradé, surement bien plus que toi même vu mes connaissance.

L'exécuteur tourner depuis un petit moment autour de Mearwin, tel un rapace cherchant sa proie.

-Ensuite tu dis que l'économie est plus grande c'est cela? Alors vas à Urubaën et au lieu de frequenté les belles rues, comme tu as l'air de faire vu ton ignorance, et vas plutôt dans les rues où des orphelins mandie, où les femmes se prostitues. Ou encore dans les rues où les marchands d'esclaves sont assigné. Et reviens me dire que l'économie croît et que les villes sont sûr.

L'exécuteur continuait à tourné en regardant alternativement Mearwin et devant lui.

-Alors oui il y a un nombre d'insatisfait, un nombre plus grand que les satisfait qui sont de plus en plus riche sur le dos des mécontent de plus en plus pauvre et démunie.

Mearwyn regarda l"executeur qui lui tombait maintenant franchement sur les nerfs.

-C'est gens sont dans cet état car ils renissent l'Empire.

Ne se sentant plus oubliger a lui faire voire raison, elle decida de partire.

-Si je serait vous je regarderait au dessus de mon epaule, et a la prochaine bataille faites sure de bien regarder vos adversaires car celui qui vous donnera la mort sera moi.

Elle continua sont chemin, sortant ainsi de la ruelle. Elle remit sont capuchon sur sa tete et continua de marcher en ligne doite s'arretant a un marchand pout lui acheter une pomme qu'elle se mit a manger avec delice.

L'exécuteur ne comptait pas en rester là, il aimait bien faire se rendre compte aux empirien qu'ils se font totalement rouler dans la farine. Alors il courut derriére l'empirienne.

-Je suppose encore une fois que tu n'as jamais parlé avec une de ces personnes. Bien sur que non ce sont des paria. Mais sache que pour eux, puisqu'ils ne connaisse rien à rien, ils trouvent que l'Empire est bon pour eux. Et pour ton conseil, la derniére personne qui m'a dit ça est morte en m'attaquant par derriére comme un lache, le pauvre je l'ai laissé mourir dans la poussiére les entraille hors du corps la bille lui rongeant les entrailles, je croi qu'il a souffert. Je te souhaite de ne pas finir comme lui.

C'etait a son tour de ricanner par ce que l'Executeur lui racontait.

-Qu'est ce qui vous faire dire que je derait lache? Ne vous ais-je pas dit que vous me verrez sur le champs de bataille... Et quand je vous ais dit de regarder par dessus votre epaule c'etait un avertissement, une methode pour vous dire que vous etes surveiller, encore plus que vous l'etier avant. Elle prit une bouchee de sa pomme. Cesser de penser que tout les Empiriens sont des laches, je sais que certains d'entre nous le sont, mais j'en fait pas partie. Je voit la lacheter comme une source d'autodestruction, qu'elle peut seulement mener a la mort... Tant qu'a vous, arreter de me juger car vous me connaisser pas et vous ne savez pas de quoi je suis capable.

L'exécuteur se mit lui même à ricaner quand la femme commençat à parler.

-Je me contente de juger ce que je vois, vous n'êtes pas capable de parler correctement, et j'emmet des hypothéses, comme tu l'a dis la majorité des empiriens sont lâche et ceux qui ne le sont pas en débutant dans l'Empire le devienne vite. Tu parles des personnes qui me suivent c'est ça? Tu en voie beaucoup? Remarque sur vos registre il doit encore en avoir un ou deux en vie, je crois que vous les trouverez à deux lieux au nord de Teirm. J'ai du en décapité un je suis désolé, il faisait trop de bruit avec une jambe en moins, l'autre c'est son coeur qui à battu deux ou trois fois au bout de ma lame. Ce serait bête qu'il y est plus de mort. Tu ne trouves pas?

Mearwyn en avait assez.
- C'est drole comment vous tordé mes mots pour qu'ils vous plaise, mais j'ai plus aucune intension de rester ici et decouter vos plaintes sordides. Elle jeta le coeur de sa pomme par terre. J'ai un travail a faire, et j'ai l'intention de m'y mettre. Si je serait vous je partirait d'ici, je vous laisse une chance prenez la.

Sachant qu'il ne la prenerais pas au serieux, elle continua le chemin qu'elle avait commencer. Lors-ce qu'elle passa a coté d'un marchand elle vit que celui-ci se fesait volé par un homme d'age mature. Elle passa a coté de l'homme beaucoup plus grand et beaucoup plus bati d'elle et lui demanda poliment de remettre les biens volés au marchand. Lors-ce celui-ci refusa elle sorti sa dague et lui redemanda de maniere menacante. L'homme lui rit a la figure, comme l'Executeur l'aurait probablement fait, et sortie son épée.
Mearwyn attendit qu'il fasse son erreur, puis l'homme attaqua en dirigeant l'épée sur sa tete, un mouvement qu'elle arreta net et facilement avec sa dague. Elle sortit ensuite son fouet avec l'autre main, qui se mit tout de suite a s'enrouler autour des jambes de l'homme se qui le fit basculer. Elle mit ensuite son pied a sa gorge, liberant ses jambes de son corps endolorit par le choc. Elle se pencha et lui chuchota quelque chose a l'oreille, puis elle sorta son épée et lui trancha la gorge de maniere lente.
Elle se retourna vers l'Executeur, n'ayant plus son air sereine, et lui fit un sourrire macabélique. Elle continua alors sa route, laisant le corps de l'homme dans la rue.

L'exécuteur souriait en voyant la femme essayait de le défiait il trouvait cela très divertissant, quand Mearwyn se retourna d'un air hautain comme l'ayant surpacé, celui-ci s'abaissat en une très belle révérance, sauf que sa tête restait bien levé vers la femme en signe de défie. Puis quand elle se fut éloigné il s'approchat du corps et vit qu'il était bien mort, mais à vrai dire il n'en avait rien à faire. L'auberge dans laquel il s'était installé n'avait subi aucun dégât, et pour tenir la langue du tenancier il n'aurat qu'à la lui coupé ou lui faire au choix. Il prit donc le chemin de l'auberge et s'installa bien tranquillement dans son lit en ayant coupé la langue de l'aubregiste.

Mearwyn avait, pendant plusieurs heures, fit sa tourné jusqu'a ce que son ventre se mit a gargouiller, elle prit donc le chemin du retour. Elle entra dans l'auberge la plus proche de sa maison en ruine et s'assit a une table. Lors-ce qu'elle fut servit de nourriture et d'eau elle se mit a faire ses plans pour la reconstuction de sa maison. Son repas étant terminé, elle constata qu'il fesait maintenant noir. Ne se sentant pas fatiguer, elle se dirigea vers l'exterieure et marcha jusqua sa maison. Elle s'assit en face de l'emplacement pendant plusieurs minutes, sa tete se remplissant de souvenirs, les bons comme les mauvais.
*maman... papa...*
Une larme se mis a couler le long de sa joue, et la scene de la mort de ses parents jouait dans sa tete. Elle s'avait reveiller un matin par plusieurs cries, et avait descendu dans la cuisine pour retouver son pere armé et sa mere en larmes. Elle se souvenait de baiser que son pere deposa sur son front, et la protection de sa mere lors-ce que des hommes entrèrent dans leur maison avec la tete de son pere. Un des hommes tua sa mere, et s'avait ensuite aprocher d'elle, un autre homme allait l'abattre quand celui-ci l'empecha, ils quitterent ensuite la maison..
*pourquoi m'a-t-il pas laissé mourrir...*
Elle resta assise la pendant des heures, nayant aucune intention de partir bientot.