Poursuite...(refait -.-)(pour qui veut)

Un villageois, d'un peu plus de quarante ans, s'enfuyait à toute allure, effrayé. Il courait au dessus de ses forces, mais il ne pouvait pas se permettre de faillir. Les larmes bordaient ses yeux et pouvaient couler à tout moment. L'homme se dirigeait vers le Du Weldenvarden, espérant pouvoir s'y réfugiait.
Derrière lui, une ombre noir le poursuivait sur cheval noir, se rapprochant dangereusement, une longue épée aux reflets bleus dégainée et sifflant dans l'air. Le villageois se fatiguait, puis il ne fit pas attention à la pierre qui était par terre. Son pied se prit brutalement dedans et il s'écrasa par terre.
Le cheval fonçait droit sur lui, menaçant. On aurait dit La Mort...Le villageois tenta de reculer, mais le cheval était trop rapide; il allait être écrasé...Mais au dernier moment, l'étalon bondit au dessus de l'homme, lui frolant presque le dessus de la tête, atterrit dans un nuage de poussière et fit immédiatement volt-face au fuyard. Le cavalier était dos à la forêt. Le villageois tenta de s'écarter et de s'enfuire sans arriver à se remettre debout tant il paniquait. Le cheval frappa le sol de son sabot noir et dur tout en soufflant par les naseaux et faisant remuer sa longue crinière; il avait l'air d'être enragé.
Le cavalier mit agilement pied à terre. Une longue cape noire à capuchon cachait son corps et dissimulait son visage sous une épaisson ombre. Le poursuivant s'approcha lentement et dangereusement de sa victime, en faisant glisser la pointe de son épée sur le sol. La lame était tellement aiguisée qu'elle tranchait l'herbe rien qu'en passant dessus.
L'homme gémissait de peur.
Le cavalier se tint devant lui et ses yeux brillèrent dans l'ombre, se faisant encore plus menaçant:

"Pitié !" suppliait le villageois.

Le fuyard se releva et essaya de s'enfuir en courant, mais son poursuivant fut plus rapide et lui donna un coup de pied sec et puissant derrière le genou. Le villageois s'effondra par terre en hurlant de douleur; son genou avait été déboité par le coup. Il se tenait fermement la jambe et gémissait tant sa souffrance était insuportable. Prenant son courage à deux mains, il tenta de se traîner par terre, pour fuir l'inconnu. Ce dernier lui fit face. Le villageois tremblait:

"Misérable homme..." siffla le cavalier avec mépris entre ses dents.

Sa voix n'était pas celle d'un homme, bien qu'elle était plutôt grave et menaçante. Le poursuivant abaissa son capuchon, et se découvrit alors le visage sévère et dur d'une femme aux cheveux rouge sanguinolents. Elle semblait cruel et sans pitié à ce moment précis.

"Pitié...Pardonnez moi..." gint la victime, en pleurant de peur.
"Balivernes...! Vous m'avez provoquée, payez-en les conséquenses !" lui répondit-elle, menaçante.

Elle s'accroupit près de lui, et d'un mouvement vif et maîtrisé, elle lui éclata le nez avec sa paume. Le villageois tomba sur le dos en hurlant. Le sang coulait abondamment de son nez, et celui ci ne tarda pas à enfler sous le choc et le cartilage cassé. Skadia se releva et pointa la lame de son épée sur la gorge de sa victime alors qu'il se redressait assis, les larmes coulant sur ses joues. Elle lui releva la tête avec sa pointe de son arme, appuyant un peu et faisant perler délicatement le sang sous la pointe aiguisée. La jeune femme, pourtant belle, semblait violente et sans puissante, bien que son expression était dur et sévère, comme si elle était impassible face à ce qu'elle faisait, pourtant si inhumain.

"Misérable être..." dit-elle avec dégoût en desserrant à peine les lèvres.

Ses yeux noisettes étaient fixés sur le villageois. D'un mouvement quasi-parfait, Skadia l'attrapa par le cou et le plaqua contre un arbre, le soulevant un peu du sol, alors que le villageois était un peu plus grand qu'elle. La jeune femme avait une force presque incroyable pour une femme. Elle ne semblait même pas peiner à porter un homme plus lourd qu'elle. Elle resserra ses doigts autour de sa gorge. Elle le transperça d'un regard noir et cruel. L'homme tentait de lui retirer la main, mais sa poigne était trop forte:

"Je vous en supplie..." gémissait le villageois.

Allait-elle le tuer ou pas ? Elle se sentait bien de coeur à le faire, de toute façon, elle n'aurait pas de remords à ce geste.
Tout était désert.
Personne ne semblait être dans les parages pour sauver le villageois...

Lilandil avait tous vu. A cheval son son étalon, encapuchoner tel un vagabond cherchant a caché sont visage, il attendait de voir ce qu'allait faire la jeune femme.
Son cheval s'ébroutai d'impatience.
Pourtant, l'Ombre était plus discret que jamais. La jeune femme ne l'avait pas vu, le villageois non plus.
Le seigneur parjure aurait voulu voir la jeune femme tué cet homme, mais il trouvait cette mort beaucoup trop courte, sans souffrance.

Il talona alors l'étalon, sortant de l'ombre et dit:

- Si j'était toi, je ne ferais pas ça ... commença-t-il

Skadia ressera sa poigne, enfonçant ses doigts gantés dans la gorge de sa victime. Aucun bruit, même pas le chant d'un oiseau... Elle avait senti une présence froide durant sa poursuite, mais elle n'y avait pas fait attention, trop occupée à pourchasser le villageois. Alors qu'elle suspendait l'homme contre l'arbre, elle sentit à nouveau la présence, mais plus proche cette fois-ci. Cette froideur était reconnaissable parmis milles autres présences. Un frisson électrifia son échine. Elle sut alors qui surgissait.
Très vite, l'inconnu se montra, comme elle l'avait ressenti par la froidure de ce qu'il dégageait.
Elle tourna lentement la tête, d'un air las en direction du cavalier. Celui-ci était d'une taille relativement petit pour un homme: elle devait sans doute le dépasser de plusieurs centimètres, mais Skadia savait bien qu'il fallait toujours se méfier du physique. Dailleurs, c'était l'erreur faite par le fuyard. Elle transperça l'inconnu du regard:

"Bien le bonjour messire Ombre..." dit-elle d'une voix grave.

L'épée de Skadia était montée vers le sol, mais prête à trancher la chair si besoin était. Kaüsa rua et s'ébroua, menaçant, soufflant bruyamment par ses naseaux. Il frappa le sol du sabot, soulevant un fin nuage de poussière et de sable.
L'attention de la sorcière se repporta vers le fuyard qu'elle allait peut être tuer.
Ce pauvre malheureux allait sans doute mourir, si personne ne venait l'aider, car aucune de ses plaintes n'avaient l'air de toucher le coeur froid de Skadia...

- Pourquoi tuer tout de suite ? demanda l'Ombre
Tu as beaucoup de chose à apprendre sorcière.
Sache que la pire des mort est celle infligé par la souffrance. explica-t-il

Lilandil se rapprocha lentement de l'homme afin de distinguer son visage.
Malheureusement, il ne le connaissait pas.

Lilandil regarda le nouveau venue avec intérêt.

- La pire souffrance est celle infligé au coeur. explica Lilandil.

Ardiegal apparut à toute vitesse entre les 3 protagonistes
"ien voila quelle que chose d'étrange une réunion de chien de l'empire alors que je ne voulais voir que l'un d'entre vous,domage je reviendrait plus tard faite comme si je n'étais pas la enfin essayer du moins..." puis l'elfe disparut aussi vite qu'il était arrivé en jettant un regard intéressé à Skadia et un autre remplit de haine à Lilandil.

Lilandil s'était retourné pour voir l'inconnus. Il était repartie aussi vite qu'il était venue.
L'Ombre ne pus s'enppêcher de dire

- Tel est la phrase des laches remplie de peur ...

Puis, il se retourna vers Skadia.

- Tu cet homme, si tu le désir ... apres tout ... la morts est une journée qui mérite d'être vécue... dans ce cas ce serait plutôt une soirée... dit-il dans un ton d'irronie

On ne voyait pas Ardiegal mais les autres entendirent sa voix:
"Okay je vous attend, je suis toujours pret pour un duel conte undes chiens de l'empire"
Puis il apparut aux yeux de tous

A la vue de Léonidas, Ardiegal parut soulagé. Il lui dit:
"Merci pour on aide, 3 contre 1 j'avais vu un peu grand" puis il vient se placer à coté du nouvel arrivant et se mit en postition de combat.

HJ:euh tu as visé quel ombre, parce que il y a que ça comem ennemis lol
Ardiegal sortit son épée et chargea une autre ombre en visant lui aussi le coeur. il espérait que l'arme de léonidas allait uer l'autre du premier coup.

L'Ombres réagissa vite.
Il inquenta, et un mur de flamme apparurent entre les Ombres et les soldats.

* Pourquoi faut-il toujours que cela ce passe de cette façon ...* fit remarquer Lilandil à Kazan

Lilandil posa sa main libre sur le pommeau de Grilldraco et invoqua les lames de phénix.
L'épée a deux lames flamboyèrent.
S'il le fallait, il serait pres a combatre.

Ardiegal se jeta sous Lilandril et voulut lui porter un coup que l'ombre esquiva, Ardiegal finit par dire:
"J'aime bien ton épée, chien de l'empire"