Rexia Dragon
Nombre de messages : 38 Age : 33 Localisation : Là où me le vent guide mes ailes. Statut | Rang | Clan : Monture ailée du capitaine de milice des Rebelles Obscurs. Votre Dragon | Arme : Dragonne de Kveykva, ne possédant que ses griffes, ses crocs, sa queue, sa crinière de pointes, et un jour, son feu. Age du personnage : Juste quelques semaines... Date d'inscription : 20/01/2012
| Sujet: L'Oeuf Rouge Perdu... [Validée] 20.01.12 14:32 | |
| REXIA
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• Nom : Un nom ? Pourquoi faire ? Ce genre de machins inutiles, c'est bon pour les deux-pattes. Moi, à ma naissance, je serais une dragonne, un simple prénom me suffira. • Prénom : Le dragonnier ou la dragonnière pour qui j'éclorais me donnera le prénom de Rexia. • Sexe : Future petite femelle.
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• Âge du personnage : Attendez... vous parlez de l'âge à partir du jour de ma ponte ? Si c'est le cas, j'ai un peu moins de 250 ans. Mais sinon, je n'ai pas encore d'âge, puisque je ne suis pas encore née. • Clan rejoint : Ça, ça dépendra du dragonnier ou de la dragonnière à qui je serais liée. • Race : Future dragonne quadrupède.
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>>> Aspect physique
• Physionomie : Je serais une magnifique... oui, magnifique, celui qui dira le contraire se prendra un coup de crocs dans le derrière... représentante de mon espèce, une grande dragonne quadrupède aux écailles tranchantes, en forme de losanges et d'un rouge éclatant et scintillant lorsque les rayons du soleil et de la lune viendront les frapper, faisant ressembler mes écailles à de gros rubis. J'aurais un museau ovale, avec des yeux d'une couleur d'ambre profonds dont le regard pourra être doux et amical envers mes amis et sombre et féroce envers mes ennemis. Parcourant ma nuque du haut jusqu'au bas, j'aurais une grande crinière de longues pointes acérées, taillées comme des pieux. J'apprendrais en grandissant à utiliser ma tête comme balancier, tel les humains se servant d'une masse d'arme pendant les batailles, pour y empaler mes adversaires.
• Vêtements : Les êtres de ma race n'ont pas besoins de vêtements... enfin, tout du moins, moi, je penserais que je n'en aurais pas besoin, et surtout je n'en voudrais pas. A quoi bon ? Les écailles des dragons sont brillantes et font déjà de nous des créatures magnifiques, nous n'avons pas besoin de fanfreluches inutiles qui ne servent qu'à nous tenir chaud et à gêner notre vol, et qui de plus se déchireraient sur notre peau rugueuse. De plus, la nature nous a naturellement équipé afin de cacher nos attribus aux regards indiscrets. Non, les seuls choses j'accepterais de porter en dehors de mon propres écailles, ce sera la selle de mon âme-jumelle, et, à la limite, une armure pour les batailles...
>>> Aspect psychologique
• Psychologie : Je serais une dragonne intelligente, rusée et très débrouillarde. Je serais aussi loyale, prête à tout pour mon dragonnier ou ma dragonnière... ce qui après-tout est normal. Ma plus grande peur, comme tous les dragons liés par l'ancienne magie à un être humanoïde, sera de perdre mon âme-soeur, et je serais prête à offrir jusqu'à ma vie pour lui. J'adorerais voler. Pour moi, rien ne sera meilleur pour se remettre d'aplomb que de me dégourdir les ailes, de ressentir la caresse du vent sur mes écailles, de l'entendre claquer à mes oreilles, surtout celui de l'été, lorsqu'il est bien chaud, dû au fait que je sois un reptile et que j'aimerais la chaleur. J'aimerais aussi observer la pleine-lune et les étoiles, ce qui pour moi sera le plus beau spectacle au monde. J'aurais trop tendance à foncer tête baisser et à aimer le danger, surtout quand il s'agira de combats aériens. Oui, je serais assez tête de mule. Je serais aussi une grande rêveuse, ainsi qu'une comédienne et une vantarde. J'aimerais faire ma maligne en crachant de la fumée devant toute une foule d'humains, pour les impressionner, ou pousser des grognements pour les effrayer. Dragueuse envers les beaux mâles lorsque j'atteindrais l'âge de m'intéresser aux dragons, j'aurais tendance à tomber facilement amoureuse, un défaut qui disparaîtra le jour où je le trouverais véritablement un compagnon, mais cela me sera profitable et me donnera une bonne arme envers les mâles, car j'apprendrais à me servir de mon charme pour obtenir ce que je veux. Blagueuse, j'aimerais me moquer de mes ennemis, et, de temps à autres, de mes amis ^^ J'aurais un coté sarcastique et je serais un peu... oh, juste un peu xD... gamine. Je serais cependant également très susceptible et rancunière, et je pourrais me mettre facilement en colère si on m'insulte ou si on s'en prend à mon compagnon ou à ma compagne du vent, et si vous vous y risquez, sachez que mes crocs seront très acérés et que je serais très gourmande {si vous voyez ce que je veux dire }. Je détesterais être ignorée. Je posséderais un caractère rebelle, un peu mâle-manqué, et je ne me laisserais pas marcher sur les pattes par qui que ce soit. J'aurais du répondant et je n'hésiterais pas à dire ce que j'ai sur le coeur, même lorsque cela devra m'attirer les foudres d'êtres plus puissants que moi.
• Particularités : Je serais une bonne chasseuse et j'apprécierais ce sport, cependant je respecterais les lois de notre mère-nature, et ce n'est pas pour autant que je chasserais et que je tuerais sans raison, pour le simple plaisir. Je ne tuerais que pour manger, ou pour me défendre, ou pour défendre ceux en qui je tiens, bien que mon pêché mignon, ce sera la gourmandise. J'aurais l'habitude, lorsque je m'ennuierais et que je n'aurais rien d'autre à faire, de me lécher mes griffes, ce qui chez-moi deviendra vite une sorte de tic. J'aurais sous l'oeil droit trois petites écailles vertes, formant une unique petite tache de naissance, le seul souvenir que me laissa ma mère avant de rejoindre nos ancêtres. Mes larges ailes de chauve-souris seront légèrement plus longues et fines que la normal des autres membres de ma race. Cela les rendra plus fragile et ne me donnera pas une excellente endurance, mais fera de moi une dragonne très rapide et agile en vol, me donnant de grande facilités dans les airs, me rendant extrêmement silencieuse et faisant de moi une excellente chasseuse.
>>> Biographie
• Histoire : J'ai été pondu il y a deux-cents-cinquante ans de cela, de l'union d'un grand et puissant dragon de qui j'hérita la couleur de mes écailles, du nom de Ronno, et d'une majestueuse et féroce dragonne aux écailles d'émeraude, nommé Xyria. Mon oeuf vit le jour dans une des grandes grottes en haut d'une des plus hautes montagnes du Beors, à une époque où les nains avaient encore de nombreuses cités à l'extérieur de leurs galeries. C'était une nuit fraîche d'automne, et mon père était agité, stressé, il faisait les cent pas devant l'entrée de la caverne dans laquelle vivait la dragonne de son coeur. A l'intérieur, on pouvait entendre les cris de douleurs de celle-ci. Le mâle était inquiet. Il aurait temps aimé pouvoir être auprès d'elle, pouvoir l'encourager, pouvoir peut être même trouver un moyen de l'aider. Mais il savait qu'il ne pouvait et ne devait pas entrer : il serait inutile, ne ferait que la stresser davantage, et de toute façon, elle le lui avait formellement interdit. Les cris cessèrent un petit moment, laissant place au bruit de la respiration rapide d'un ellatement. Le dragon s'avança lentement, commença à entrer... son imposante patte se posa sur le crâne d'un cerf qu'il avait attrapé le matin même pour sa femelle, qui craqua sous son poids, et à l'intérieur, celle-ci poussa un grognement féroce pour lui ordonner de reculer. Le travail n'était pas terminé ! Les cris reprirent de plus belle. Il passa à nouveau quelques minutes, puis il y eut à nouveau une accalmie, puis ils recommencèrent, et se calmèrent pour la troisième fois, puis reprirent, puis se recalmèrent... et là, ils ne reprirent pas. A l'intérieur de la grotte, le silence n'était plus rompu que par le faible bruit du vent qui se faufilait à travers les nombreuses galeries... le mâle se risqua alors à pénétrer dans la grotte : il se faufila par le grand trou qui marquait l'entrée, et s'avança vers la fond. Là, il trouva sa compagne, confortablement couché sur le coté, les pattes avant croisées, installée contre la parois de la caverne, penché sur ce qui ressemblait à quatre grandes gemmes, deux verte d'émeraude, comme elle, une petite d'un vert un peu plus foncé, et la petite dernière, d'un magnifique rouge rubis, comme lui. Les oeufs étaient posés en équilibre contre le rond et confortable ventre de leur mère. Celle-ci cessa un moment de souffler le puissant feu qui ronflait à l'intérieur de son ventre sur eux, et leva ses yeux d'ambre vers ceux de son compagnon. Leurs regards se croisèrent, et il s'avança vers son aimée pour lui donner une longue lèche affectueuse sur le museau. Ils venaient d'avoir leur première portée... C'est ainsi que nous avons été pondu, mes trois frères et soeurs et moi-même. Tendis que, confortablement installé à l'intérieur de notre solide coque protectrice, nos embryons se développaient lentement, nos parents s'occupaient de notre bien être, et préparaient notre venu... notre mère ne bougeait plus. Elle restait toujours à l'intérieur de la caverne, à chaque heure du jour et de la nuit, couchée sur nous quatre, à nous réchauffait avec sa chaleur corporelle, ou, de temps à autre, nous faisant prendre une bonne douche de son souffle ardent, afin que nous restions à la température minimum obligatoire pour notre survie. Et, pendant ce temps, notre père s'occupaient de son bien être à elle. Contrairement à la femelle, qui était sauvage, lui il était lié à un humain et participer activement à la mission de maintenir la paix dans le royaume d'Alagaësia, mais il trouvait toujours le moyen de passer le plus de temps possible à s'occuper de sa petite famille, surtout le soir, ou entre deux entraînement. Il se chargeait de chasser pour sa compagne, et aussi de mètre de la nourriture de coté pour que le jour où ses quatre petits dragonneaux braillards et affamés sortiraient de leurs oeufs, ils aient de quoi de se mettre un véritable festin sous le croc. Notre père, lorsqu'il passait simplement du temps avec nous, aimait nous raconter souvent les histoires de la confrérie des dragonnier, ainsi que des nombreuse aventures que lui-même avait vécu aux cotés de son âme-soeur. Nous entendions, et, grâce à un lien magique qui lit les parents à leurs dragonneaux, comprenions tout à travers nos coquilles, et malgré mon jeune âge, je fus vite séduite par cette vie. Je rêvais lorsque je m'endormais qu'un jour je me lirais à un deux-pattes, afin de vivre une vie d'aventures avec ma propre âme-jumelle. Mais malgré tout-cela... malgré tous les efforts qu'ils firent pour nous permettre de survivre, ils ne nous virent pas éclore. D'ailleurs, les quatre oeufs ne survécurent pas tous, et moi je devrais éclore sans connaître mes parents... Cette nuit là, c'était la pleine lune... pas un nuage, les étoiles brillaient de mille feus... rien qui ne pouvait laisser imaginer à un mauvais présage... il tombèrent sur mes parents durant leur sommeil, les prenant en lâche, à une trentaine contre deux... le coeur des hommes était aisément corruptible par l'argent, la pire de leurs inventions... une guilde de braconniers, des humains sauvages sans fois ni lois, découvrirent notre nid. Un combat féroce s'en suivi. Plusieurs hommes se firent tués, mais finalement ils eurent le dessus, sans doute à cause de leur nombre et de leur attaque en traître... notre père fut le premier à être tué, se prenant un puissant coup d'épée dans le coeur. Notre mère dura plus longtemps, rendu encore plus féroce par l'instinct maternel qui la poussait à empêcher les hommes de mettre la main sur nous. Malheureusement, dans sa rage envers les bipèdes pour protéger ses petits, elle griffa, mordit, frappa, cracha... et, sans s'en apercevoir, fut la responsable de la morts de trois d'entre-nous : elle écrasa accidentellement les oeufs, tendis que les humains l'asticotaient avec leurs lances et leur arcs... et finalement, ce fut la fin : après que l'un d'eux ai réussi à lui couper une aile avec un grand coup de hache, ils la firent reculer jusqu'au bord de la montagne, et elle fit une chute mortel de la montagne de feu. Les braconniers, heureux de leur victoire, se dépêchèrent de prendre le dernier oeuf encore intact, le mien, et s'enfuirent avant d'être découvert par les Chevaliers pour me vendre au marché noir. Mais ma mère, malgré sa terrible chute, ne mourut pas sur le coup : le dernier souffle de vie qui régnait en elle lui permit de voir passer les hommes avec moi. Ce fut alors un de ces moment où l'instinct des dragons mettaient en marche la puissante magie qui coulait dans leurs veines : elle se mit à chanter, dans un langage tellement ancien que seul les plus anciens mages elfe le connaissaient, et qu'il leur été même interdit de l'utiliser, un long chant mélancolique et emplit d'une magie unissant en elle-seule les ténèbres et la lumière. Les braconniers furent maudit. Ils moururent tous dans l'année qui suivit leur crime dans d'étranges accidents, et mon oeuf fut d'un coup emplis des sorts qui liée un dragon à son cavalier. Il m'est depuis impossible d'éclore temps que je n'aurais pas trouvé l'élu bipède qui partagera mon âme et ma vie. Son chant finit et ses dernières forces ayant été consumer pour l'invocation de celui-ci, elle sentit une immense fatigue s'emparer de son être, fermât les yeux en me souhaitant bonne chance, et mourut. J'ai passé le temps qui aurait dû être mon adolescence si j'avais vécu à l'état sauvage dans mon oeuf et sur les routes, ou même à travers les mers, traversant d'un bout à l'autre toute l'Alagaësia et les pays environnants. Je passais de mains en mains et on m'échangea, me vendit, me perdit et même me volât au nombre incalculable de propriétaire à qui j'ai appartenu, autant brigands, gentilhomme, soldats, villageois, même parfois des Urgals, mais pour moi aucun ne semblait apte à devenir mon dragonnier ou ma dragonnière. Une rumeur se mit à circuler à travers le pays, racontant qu'un oeuf de dragon rouge ayant était volé avait été mis sur le marché, perdu des dragonniers entre les mains des braconniers. Mais cette rumeur devint un murmure, ce murmure devint une légende, cette légende devint une légende urbaine. Les gens n'y crurent pas, ou oublièrent, l'existence de l'Oeuf Rouge Perdu. Aujourd'hui, je suis toujours dans mon oeuf, approchant de mes deux-cents-cinquante ans, et me faisant toujours échanger, vendre, etc... je sens qu'un jour je finirais par trouver l'âme-soeur qui me convient, mais quand ne dépend que de mon actuelle propriétaires, un sale vieil homme alcoolique et malodorant, nommé Léonardo, qui passe sa vie sur les routes, les objets qu'il vend... beaucoup d'objets volées... et moi-même à l'arrière de sa charrette. Il me prend pour un simple jolie caillou rouge qu'il pourra vendre à bon prix...
• Famille : Toute ma famille est morte... ma mère, mon père, tués dans leur caverne par des hommes qui voulaient faire des boucliers de leurs écailles, des manches de couteaux de leurs griffes, des colliers de leurs dents, et vendre leurs os et leur sang à des sorciers. Quand à mes frères et soeurs de ponte... tous écrasés lors de la bataille, je suis la dernière survivante. Je suis orpheline avant même d'être née... mais je garde cependant l'espoir que le dragonnier ou la dragonnière pour qui je sortirais de l'oeuf formera un peu ma nouvelle famille.
>>> Arme de prédilection
• Description : Mes crocs puissant, mes griffes tranchantes, ma queue dévastatrice, ma crinière de pointes acérées, et un jour, mon souffle ardent... ai-je vraiment besoin d'autres armes que celles que la nature m'a offerte ?
• Acquisition : Avec le temps, après mon éclosion, lorsque je grandirais...
>>> Question subsidiaire
• Comment avez-vous connu le forum ? Je faisais autrefois partit de ce forum, mais j'ai due le quitter pour des... raisons personnelles. J'espère donc pouvoir revenir, et recommencer à zéro, tout en m'excusant de l'avoir quitté.
• Quelque chose à ajouter ? [Code bon, Elenoy] et que le vent gonfle vos ailes !
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