En route pour les Vardens! [libre]

Ilian poussa un puissant hurlement. Déconcentrée, Lonaela ne vit pas venir le coup de l’épée massive que l’urgal tenait entre les mains. L’elfe ne put esquiver à temps et la lame lui déchira l’épaule. Elle étouffa un cri de douleur. Tandis que la dragonne s’excusait, son frère l’emmenait à l’abris avant de repartir se battre.

*Oh, mais que m’est-il passé par la tête ? Il faudra bien que je me batte un jour…*

Lonaela ferma les yeux. Sa blessure lui faisait de plus en plus mal. Il valait mieux la soigner avant qu’elle ne s’infecte. Elle connaissait les mots qui pouvait refermer la plaie, mais elle ne pouvait les utiliser. L’elfe était trop faible dans ce domaine.
Elle se redressa et déchira un morceau du bas de sa tunique. Elle avait d’autres vêtements dans les sac que Esporian transportait, tant pis pour celui là, elle essayerait de le réparer plus tard. Lonaela serra la bande de tissu autour de son épaule. Elle se teinta aussitôt de pourpre. Au moins, cela évitera qu’elle perde trop de sang.
L’elfe grimaça. L’entaille était profonde, et son épaule semblait en feu. Elle serra les dents et se concentra sur une dune de sable, essayant d’oublier la douleur intense. Le combat continuait et les deux dragons maintenaient le contact mental, s'informant de temps à autre de son état.

Lonaela n'était pas en état de bouger. Ilian et Esporian avait tuer le dernier Kull et se raprochait de l'elfe pour la soigner. La dragonne remarqua un noeud au bras de Lonaela. Le Varden était en sueur. Ils se consentraient tous pour donné assez d'énergie a l'elfe blessée.

*-Est-ce-que ça va aller? Esporian je vais la transporter toi tu est trop fatigué.*

Ilian était inquiète car elle ne savait pas combien de temps Lonaela pouvait tenir dans cette états là. L'écaille verte sondat les alentours pour trouver un village et découvrit quelques consiences non lin de là.

*-suivez-moi je crois que j'ai trouver un village!*

Les aventuriers se mirtent en route.

Je survolait l'immensité du désert Hadarac. J'étais partit seul en laissant Mikes en mission à Gil'ead. J'aimais voler au dessus de tout ce sable. Le vent était fort et il n'était pas rare qu'une tempête de sable se crait. Je filai alors, telle une flèche, en essayant de rester devant la colonne de sable. Cela m'amusait beacoup mais le défi restait assez simple tout de même. Comme je m'inquiétai pour Mikes, je restai en contact mental avec lui.

J'entendis au loin des bruits de combat et sentit l'affreuse odeur des Urgals. Je vola vers dans cette direction. Les bruits se rapprochaient de plus en plus et je perçus un rugissement de dragon. Accélérant encore une fois, je passa au dessus d'une très très haute dune et vit le spectacle suivant :

Sur une grande surface gisaient au moin une centaine de Kulls, tous mort. Deux dragons qui paraissaient tous deux assez jeunes se tenaient à côté d'une jeune fille et d'un homme.
J'atteris non sans bruit et m'approcha doucement. En voyant la blessure de la jeune fille, mon esprit pris de l'avance sur moi. Je lui toucha le front du museau sans laisser aux autres le temps de protester. La magie oppérais déjà. Le sang arréta de couler et la blessure se referma. Reprenant peu à peu le contrôle de mon corps, je m'étonna de ce que j'avais fait. Utiliser la magie par instinct, tel était le pouvoir des dragons. J'entra dans l'esprit de tout le monde et dit:

* Bonjour, je me nomme Sruikan ! Euh... en guérissant cette fille, j'ai agi sans le vouloir mais je suis heureux de l'avoir fait. Comment vous nomez vous, tous ? Et que faîtes vous dans le désert ?

[HRP]Oh ! SS est arrivé ![/HRP]


Lonaela était sur le dos d’Ilian quand un dragon couleur rubis fit son apparition et de son museau toucha le front de l’elfe. La douleur se dissipa peut à peu. Surprise et soulagée elle remua son bras. Son épaule était comme neuve. Elle eue un regard de reconnaissance pour celui qui l’avait soignée. Il se présenta :

*Bonjour, je me nomme Sruikan ! Euh... en guérissant cette fille, j'ai agi sans le vouloir mais je suis heureux de l'avoir fait. Comment vous nommez-vous, tous ? Et que faîtes vous dans le désert ? *

Ce fut le guerrier qui répondit :

- Je suis Galaad Pélëonort. Je cherche la réponse à une question dont personne ne connaît la réponse. Et vous, dragon aux écailles rouges?

Lonaela se présenta à son tour:

- Mon nom est Lonaela. Merci de m’avoir soignée bien que vous ne l’ayez pas fait exprès.

Le dragon aux écailles oranges regarda Sruikan de ses yeux gris teintés de bleu.

*Et moi je suis Esporian, son dragon. Je te suis reconnaissant d’avoir soulagé la douleur de ma dragonnière. *

[HRP] VIVE SS!! et désolé pour cette attente!! [/HRP]


Ilian commencait a avoir faim et l'Urgals avait une peau trop dure pour être manger.

*Bonjours, moi je m'appelle Ilian et je cherche les Vardens et aussi de la nourriture parce que j'ai faim pas vous ?*

La dragonne avait le ventre qui gargouillait, alors elle cherchat mentalement des animaux. Elle avait remarquer quelque chose non loin de là et décidat de prendre son envols. De la haut Ilian repérait plus facilement les proies. Elle dessendit droit sur un cerf bien dodu et lui plantas ses griffes argentées dans le ventre se qui l'achevat sur le coup. Les autres l'avait suivie aussi et mangeait avec elle. Esporian regardait faire sa soeurs et l'imitait.

[hrp]un cerf en plein désert ???^^[/hrp]

Assise à l’ombre d’un rocher d’une taille appréciable, Lonaela mangeait à part le pain et les fruits qu’elle avait apportés. Bien qu’elle sache que les dragons avaient besoin de viande pour vivre, elle ne pouvait supporter de les voir dévorer sauvagement une pauvre proie qui avait eu le malheur d’être repérée. Essayant de ne pas écouter le bruit de la chair fraîche que l’on arrache et l’odeur du sang, elle vagabonda dans son esprit, et imagina qu’elle marchait dans la forêt qui bordait la maison de Gartia, sa mère adoptive. Elle se souvint alors du parfum des fleurs sauvages et celui des arbres, le bruit de l’eau d’un ruisseau et du chant des oiseaux. Tout cela lui manquai. Elle caressa soudain le pommeau de son épée, puis en contempla les motifs, pensive.

*J’aime forger des armes, mais je déteste m’en servir…*

Elle soupira. L’elfe se trouvait ridicule. Il fallait bien combattre pour se protéger et protéger ceux qu’elle aime. Fermant son poing, elle se promit de faire des efforts dans ce sens.
Lonaela leva la tête et vit alors que tout le monde avait terminé son repas. Elle sentit la fraîcheur arriver petit à petit. Le soleil avait depuis longtemps commencé sa route vers l’horizon.

*Comme le temps passe vite ! *

L’elfe eut soudain l’impression de perdre son temps dans cet endroit aride. Elle avait hâte de se remettre en route et de le quitter. Rejoignant le petit groupe, elle leur annonça, d’une voix que le désert avait rendue sèche :

-Bon… j’étais ravie de faire votre connaissance, mais nous avons une longue route à faire pour trouver les Vardens. Nous ne savons toujours pas leur emplacement exact, mais nous volerons vers les Beors et nous continuerons les recherches. Voilà…donc nous partirons demain dans la matinée et si quelqu’un peut nous aider, nous accepterons avec joie qu’il nous accompagne.

Après ces mots, elle retourna dans son coin. Esporian la suivit.

*- Oh! Mais tu es bien irritée…que t’arrive-t-il ?

- Toutes ces étendues de sables, ce soleil qui tape sans relâche, cette chaleur étouffante le jour et ce froid intense la nuit …ça m’exaspère !

- Moi j’aime bien cet endroit… j’ai l’impression d’être… plus vivant.

- Je sais, Esporian, je le ressens en toi…*

Le premier a se présenter fut le jeune guerrier. Puis, vinrent les autres. Après ces premières discussions, Ilian proposa de manger. Nous partîmes donc à la recherche d'une proie. Après quelques minutes, nous revinrent avec un cerf(chez pas ou tu la trouvé ton cerf). Voyant que la viande allait manqué rapidement, je partis chasser une autre proie.
C'est vrai que pour nourrir deux jeunes dragons dragons et 1 dragon adulte, il fallait beacoup de quantité. Je suivis des traces fraiches d'une espèce de gazelle des déserts que j'attrapa sans difficultés. Puis, je retourna au campement. Nous étions entrain de manger quand je regarda Lonaela. Elle avait l'aire dégouter. *Normal, c'est une elfe*. Préférant ne pas en parler pour l'instant, je finissa mon repas le plus rapidement possible. Puis, j'alla m'allongé dans un coin. Quelques minutes plus tard, la jeune elfe se leva et nous dit:

-Bon… j’étais ravie de faire votre connaissance, mais nous avons une longue route à faire pour trouver les Vardens. Nous ne savons toujours pas leur emplacement exact, mais nous volerons vers les Beors et nous continuerons les recherches. Voilà…donc nous partirons demain dans la matinée et si quelqu’un peut nous aider, nous accepterons avec joie qu’il nous accompagne.

Sans hésiter, je lui répondis:

*Je vois à peu près où est le repère des vardens, je veux bien y aller avec toi. Mais, je partirai à l'entrer de la gorge. C'est dangeureux pour moi d'aller là-bas.*

Puis, j'attendis avec impatience que le départ soit annoncé. Je pensa qu'il fallait avertir mike.J'essaya donc de trouver son esprit. Une fois cela fait, je lui dit:

*Mike, j'accompagne des amis jusqu'au Béors. Je rentrerai donc plus tard*
*D'accord mais sois prudent !*

Je rompis le contact. La nuit tomba en silence sur le désert.

La nuit était calme dans le désert, les dunes progetaient de grands ombres sur les buissons dessécher. Le ciel brillait d'étoile. Ilian dormait profondément sur le sable doux.
Ce matin là, la petite troupe se mit en marche après avoir manger des restes d'hier. Esporian s'était bien remit de l'affrontement d'hier, il avait par endroit quelques blaisures mais elles étaient que superficielles. La journée venait de commencer et déjà un silence génant s'instalait peu à peu. Ilian entamat donc la conversation:

*-Dit moi Sruikan, quel âge a tu, sans indiscretion ?*

Ilian attendait la réponce du dragon rouge-comme-le-feu avec impatience. Elle le dévorait des yeux, et le trouvait très beau. Elle se refusat de le fixer trop longtemps, et regardat le ciel bleu-comme-l'eau qui était magnifique. Des nuages somnolait et parsemaient les dunes de leur ombre. le soleil tronnait dans le ciel comme le roi de ce monde. Cette journée s'anoncait rayonante, malgré le silence du matin.

hj: le problème c'est que j'ai que 8 ans et que toi tu en a 23 alors que je suis plus ancien donc logiquement, c'est moi le plus vieux !

Ainsi, ils partirent tous vers le Sud pour rejoindre les immenses Béors. Mais avant, il faudrait affronter le désert du Hadarac. Après avoir passé une bonne nuit, les compagnons s'étaient lever tôt et s'étaient envolé. Un soleil de plomb reignait en maître sur le désert. Pas un seul coup de vent, ou légère bise vint les raffraichir ni leur porter de l'air. Ils suffoquaient tous. Heureusement, le fait de vittesse accentuait l'air et le transformait en vent. Pendant plusieurs heures, ils volèrent sans rien dire. Mais Ilian ouvrit la parole.


*-Dit moi Sruikan, quel âge a tu, sans indiscretion ?*
* Eh bien, j'en ai 8. Et toi ? *

Il est vrai que cette question m'intéressait, la dragonne verte comme l'émeraude paraissait jeune, certe mais son visage n'était plus celui d'un dragonneau. Donc, j'attendis qu'Ilian me réponde avec un peu trop d'impatience à mon goût...

HRP:c'est pas bien grave!!^^!!

*-J'en ais 23 mais je suis jeune pour un dragon!*

Heureuse d'avoir trouver un sujet de conversation, Ilian répondit avec joie à la question du dragon rouge-comme-le-feu. Elle esperait que les autres si joignent mais ils avaient un air fatigué. Le soleil était haut dans le ciel, sa chaleur nous assommait malgré le vent dans nos écailles. La faim commencait a se montrée dans le ventre d'Ilian.

*-Je vais voir s'il n'y a pas de proies dans les environs.*

Elle piquat vers le sol et se mit à la recherche de gazelles que Surikan avait trouver hier.
Les autres aterrirent sur le sable chaud, la petite troupe était essoufler du voyage et en profitèrent pour faire une pause. La dragonne ne tarda pas revenir bien charger.

Ilian revint avec son repas dégoulinant de sang. Esporian s’élança alors à son tour au-dessus des dunes brûlantes à la recherche d’une proie. Il voulait appliquer les techniques de chasse que sa sœur lui avait appris la veille.

Lonaela quant à elle s’éloigna du groupe. Elle sortit sa gourde but une quantité raisonnable d’eau. L’elfe ne mangea pas grand chose. Le spectacle qu’offrait son dragon qui était en train de dévorer vif deux pauvres grands lézards du désert lui avait coupé la faim. Elle baissa soudain la tête. Le soleil, encore haut dans le ciel, semblait lui embraser ses joues, son nez ainsi que ses oreilles pointues déjà roussies par l’astre solaire. Elle résista à l’envie de se gratter : cela ne fera qu’empirer les choses. Elle retourna ensuite à la selle d’Esporian posée sur le sable chaud, ouvrit une des sacoches qui y était accrochée, et sortit une large bande de tissu bleu clair. L’elfe la déchira de ses mains fines en essayant de l’abîmer le moins possible et enroula les bandelettes obtenues autours de son visage. On ne voyait à présent que ses profonds yeux bleus ainsi que une partie de ses cheveux dépasser des tissus, la moindre parcelle de peau étant couverte par le voile protecteur.

Elle eut un petit sourire de satisfaction, et observa les trois dragons. Ces trois magnifiques créatures s’étaient sans le vouloir placés côtes à côtes dans l’ordre croissant. Le puissant et rougeoyant Sruikan aux écailles de rubis était le plus éloigné de l’elfe. Tout près de lui se tenait la jolie, vive et agile Ilian dont les écailles d’un vert lumineux semblait envoyer une note positive dans l’atmosphère. Enfin, à deux pas de sa sœur, le jeune Esporian dont les écailles étaient d’un orange flamboyant se léchait consciencieusement une patte. Tous les trois semblaient absorber les rayons du soleil, puis les projeter sur le sol, créant ainsi des multiples taches de couleurs se superposant parfois pour en créer d’autres. C’était tellement beau que Lonaela oublia quelques minutes le lieu dans lequel elle se trouvait.


Ils volaient depuis déjà quelques heures. L’elfe parlait très peu, contrairement à Ilian et Sruikan qui, d’après ce quelle pouvait voir, semblaient s’apprécier. Elle regarda devant elle les immenses Beors qui se rapprochaient peu à peu et se sentit soudain toute petite. Son pied glissa sur les écailles d’Esporian, et le dragon grogna. Elle avait, sans le faire exprès, éraflée une de ses nombreuses blessures en train de cicatriser.

*- Oh, excuse-moi Esporian !
- Pas grave. *

L’elfe sentit le jeune dragon peinait à suivre le rythme de ses aînées. Elle allait leur demander de ralentir, mais Esporian lui assura que ce n’était pas la peine. Lonaela soupira puis demanda à Sruikan :

*Au fait, sait-tu quand nous arriverons ? *