Eden Warlock Mercenaire
Nombre de messages : 20 Date d'inscription : 22/02/2014
| Sujet: Eden Warlock 24.02.14 10:56 | |
| ► Physionomie : - Pourquoi tu ne restes jamais avec moi ? - Parce que. - J’ai l’impression de n’être appelée que pour ton « bon plaisir ». - Je sais.
D’un mouvement lent mais ferme, le jeune homme retira le bras frêle et maigre de la jeune femme qui l’étouffait. Elle avait une fâcheuse manie de mettre ses mains dans les cheveux bruns et en bataille du jeune homme se qui l’ennuyait énormément… Puis, elle finissait tout aussi lentement sa course sur la joue toujours mal rasé de celui-ci. Cela l’exaspérait, encore et toujours. Il levait au ciel ses yeux d’or, peu commun, et retirait à chaque fois sa main. Il ne venait pas pour se faire caresser ! Car elle ne se contentait pas de cela, elle allait partout cette empotée ! Ses épaules carrés, son torse, marqué par les combats, ses bras musclés qui se crispaient toujours sous ce contact inutile à son goût et enfin sur son dos puissant. La pauvre jeune femme cherchait alors à lui faire plaisir en embrassant son nez légèrement relevé, puis sa bouche fine. Cela ne servait à rien, ses sourcils bruns se rencontrait et elle arrêtait. La pauvre femme sentait que cet homme lui échappait. Alors, elle en profitait pour se rincer l’œil. Il était grand pour la moyenne, et comme dit précédemment, bien bâti. Il était assez plaisant à regarder, en effet. Cependant, le plus marquant chez lui était incontestablement son air froid et parfois absent. Elle en avait des frissons dans le dos rien qu'à le voir franchir le seuil de sa porte, avec sa démarche fière de soldat. Les amies de la jeune femme trouvaient cela plaisant et distingué, et elles n’avaient pas tord. Tout de même, ce qu'il pouvait être agaçant ! Elle n'était qu'une de ses maitresses du moment, mais cela suffisait à la rendre jalouse. Son cœur rata un battement lorsqu'il la regarda de nouveau. Elle sentait que c’était la dernière fois qu’elle le voyait, et cela lui arrachait le cœur. Homme à femmes va !
- Leïla. - Hum ? - C’est fini. - Je sais… Aller, sors de chez moi…
► Vêtements : - Attends mon chéri, je vais t’aider à te débarrasser. - Maman, je peux le faire tout seul ! - Tiens ta langue, et laisse ta mère profiter de son fils lors de ses occasions trop rares !
Le jeune homme soupira et tendit nonchalamment son bras à la femme qui l'avait recueilli vingt ans plus tôt. Celle-ci ce mit à sourire de ses dents éclatantes, avant de commencer à enlever une par une les pièces de son armure. Eden soupirait d'aise. Que cela pouvait lourd ! L'homme était obligé de l’enfiler avant chaque campagne. il revêtait cette armure au couleur de l’empire avec son rang de lieutenant bien en évidence. Ce titre lui permettait d’être respecté de tous sur un champ de bataille, en tout cas, de ses hommes et c'était le principal pour lui ! Une fois terminé, sa mère se releva en souriant, avant de lui montrer la salle de bain. Il rit à gorge déployé avant d’y aller en trainant les pieds, joueur. C’était une habitude entre eux deux. Ils aimaient beaucoup se taquiner ! Sa mère le suivit, mais à présent, Eden se lavait tout seul alors d’un geste lent et avec un sourire enjôleur il ferma la porte derrière lui avant de retirer les restes de vêtement que sa mère avait laisser pour son intimité et se glissa dans l’eau avec bonheur.
Quand il en ressortit quelques secondes plus tard, ses vêtements de tous les jours étaient posés sur son lit, pliés, lavés et même recousus à certain endroit. Ainsi, une serviette sur les cheveux pour rincer sa tignasse, il enfila rapidement son pantalon léger, sa chemise ample et ses chaussures. Il mit de l’ordre dans ses cheveux pour faire plaisir à la maisonnée qui attendait de sa part, un minimum de tenu. Déjà qu’il ne voulait pas mettre les habits serrés et ridicule qu’il aurait normalement du portait, il faisait un minimum d’effort, en dressant sa tignasse. Le jeune homme soupira en voyant le résultat… Ce n’était pas franchement réussis mais tant pis. Il passa sa main sur ses joues mal rasés en sachant qu’il devrait sans occuper tôt ou tard et leva les yeux au ciel en se dirigeant hors de sa chambre.
► Psychologie :
-Oui, Eden est buté, et alors ? Il ne demande rien, juste la paix ! En quoi tu as besoin de venir toujours lui chercher des problèmes ? Lui, à au moins la maturité de te laisser tranquille, de ne point mettre les pieds dans ton héritage, alors qu'il pourrait essayer de te chercher des ennuis ! Tu as de la chance qu'il ne soit pas comme ça ! -Leaticia, je ne te permet pas de me parler comme cela ?! -Je suis ta femme j'ai tout les droits ! Toi seul es trop fourbu pour ne pas voir son grand cœur, sa force mentale face au difficulté, c'est un bon fils. Ce n'est pas le tiens, oui, mais il ne mérite pas que tu sois sûr son dos en permanence. Reste dans ta colère, dans ton fichu bureau et laisse le faire ce que bon lui semble. Eden ne te fera jamais rien tant que tu lui laisseras sa liberté.
Oui, la pauvre mère en avait marre de tout cet acharnement. Elle connaissait son fils mieux que quiconque ! Elle savait qu'il pouvait être bourru et tendre à la fois, parfois même jaloux. Il avait plusieurs fois piqué des fards en voyant des hommes beaucoup trop avenant envers sa jeune mère devenue veuve. En grandissant, il avait réussi à contrôler ces émotions mais Leaticia savait quand il était en colère, ému ou simplement bien. Eden était indescriptible ou le terme lunatique lui irait sûrement mieux que tout autre adjectif.
► Particularités :
Alors que son jeune élève récupérait lentement sa chemise pour la remettre, Artain laissa son regard se perdre sur les petites cicatrices qu'Eden avait sur le dos, certaines vieilles de son enfance avec ces parents biologiques et instables, d'autre du à son entraînement féroce ou aux quelques combats qu'Eden avait participé. Elles étaient petites certes mais bien là, le reste était juste des bleus. Oui, à croire que le jeune homme aimait être couvert de tâche douloureuse ou que tout simplement il avait un entraîneur qui ne lui laissait pas de repos. A cette pensée, Artain sourit. Oui, le jeune homme était blessé de toute part mais chaque bleue et chaque cicatrise étaient une erreur quelconque dans sa façon de se battre et le jeune homme finissait donc par ne plus refaire les mêmes erreurs. ► Histoire : - Citation :
- -Maman, pourquoi c'est pas toi qui t'es occupé de moi ?
-Comment ça mon petit loulou ? -Bah avant, il y avait l'autre dame que j'appelais aussi maman, mais elle n'était pas comme toi. -Oh mon tout beau.
Oui le jeune homme aurait préféré naître immédiatement dans cette chaleureuse famille. Bien-sûr sa richesse était un facteur de bonheur car malgré tout ce qu'on le peut dire avoir de quoi subvenir convenablement à sa famille est toujours un moyen de garder la paix dans un foyer ! Mais ce qu'Eden préférait par dessus tout c'était l'amour simple et brute qui se dégageait de ses deux personnes. Chaque plaies de son ancienne vie se refermaient à chaque marque d'affection et de tendresse. Tout cela changeait une vie. Finie la pauvreté, la famine, les coups sous la boisson, les insultes, le travail, toutes ces choses qu'un pauvre enfant de cinq ans ne peut pas encore comprendre. Bien-sûr à cette époque là Eden était beaucoup plus mature que d'autre noble et il s'en rendit vite compte pendant les rare fête qu'avaient organisés ses deux parents adoptif. Les filles n'étaient que de simple poupée où était passé les combattantes et femmes forts qu'il avait pu croiser dans les rues de son village natale ? Quand au jeune garçon, ils donnaient juste envie de se frapper le front toutes les deux secondes. Mais le petit garçon ne dit jamais rien, sachant que sa vie était devenu meilleur.
***
- Citation :
- -Mon chéri, tu sais que papa est mort…
-Oui maman, je n'ai besoin de personne pour m'en souvenir. dit le jeune garçon de maintenant dix ans. -Ne soit pas aussi bougon ! Bon et bien… Pour nous, et, enfin voilà… Je vais me re marier.
Quelle merveilleuse idée ! Eden en serrait encore les dents. Ils avaient été parfaitement bien ensemble. Ils n'avaient besoin de rien et en tout cas pas d'un homme comme lui. Le jeune garçon ne dix ans ne sentait pas le même amour entre les deux adultes que celui qui avait pus lier, auparavant, ces deux parents biologiques. Il n'aimait pas voir les yeux de sa chère mère se voiler de tristesse ou encore la voir se faire humilier par les paroles de ce gros rustre ! Au fond, le jeune garçon se fichait complètement de ne pas être apprécié de cet homme, pour lui tout ce qui comptait était le bonheur de sa mère et rien d'autre.
***
- Citation :
Pour la centième fois, Eden para le coup meurtrier de son assaillant. L'épée de son ennemie était robuste et lourde. Eden, n'avait pus la porter que de rare fois mais cela lui avait suffit pour en prendre conscience. Il bondit en arrière, son maître devenait de plus en plus insistant dans ses attaques, il voulait voir où en était le jeune homme et à quoi il pouvait aspirer ou non. Reprenant sa riche épée en main, il continua à harceler Eden de coup, l'épée en devenait floue et invisible, son tranchant gris argenté n'était plus que serpent en mouvement. Les deux hommes suaient à grosse goutte, tout deux était bien décidé à mettre l'autre à terre ! D'un mouvement fluide et rapide, Eden réussit à désarmer son pauvre maître qui commençait à sentir les effets de l'âge et laissa l'épée tombait durement au sol. Les fines pierres incruster dans le pommeau firent de merveilleux reflet rouge et or autours d'eux. Eden sourit, en voyant le visage de l'homme se radoucir à son tours. Désarmé, Eden, dans un vrais combat, aurait pus le tuer en deux secondes. Le combat était à présent terminer. Le vainqueur marcha jusqu'à l'arme tombée au sol et s'accroupissant lentement, la ramassa dans le but de la rendre à son propriétaire immédiatement. Il l'admira encore un instant, oui c'était une belle et riche épée qu'il avait devant les yeux. Il la tendit gentiment à Artain, car tel était son nom.
Encore aujourd'hui le jeune adolescent se rappelait le jour de leur rencontre. En colère, oui, Eden l'était souvent, il était parti en trombe de chez lui. Ces fameux frère et sœur n'étaient que de vrais démon et son beau-père était le même que toujours rustre et inhumain avec la mère du jeune garçon. Bien-sûr, la jeune femme avait senti la colère du jeune garçon enflait en lui au fil de la conversation, en effet ces yeux devenait plus sombres, ses points se fermaient à répétition et il se trémoussait sur sa chaise. Ainsi sentant la guerre prête à exploser, Leaticia demanda à son fils d'aller lui chercher des plantes dans le jardin pour un futur thé qui serrait à coup-sur un délice ! Eden sauta sur l'occasion et ne se fit pas prier deux fois. Une fois dehors il laissa sa colère éclater dans la forêt aux alentours du domaine familial. Il criait de sa petite voie fluette en cognant dans le vide. Pas très classe mais cela le calmait toujours.
D'un coup, alors qu'il allait sûrement se casser la main contre un arbre, une main engloba son point et quand le garçon releva la tête, il se retrouva nez à nez avec un homme d'un certain âge le regard légèrement sévère.
-Puis-je savoir ce que vous a fait cet arbre, jeune garçon ? -Heu... Rien... -Alors pourquoi allez-vous le frapper ? -Pour... -Te défouler, hein ? Mais lui il n'a rien demander, ce n'est qu'un pauvre innocent se trouvant par mégarde en travers de ton chemin.
Ces paroles touchèrent le petit garçon au plus profond de lui et il se calma aussitôt. Ainsi se passa leur rencontre et puis au fil des jours et des semaines le vieil homme se prit d'affection pour ce petit garçon lunatique et décida de lui apprendre tout se qu'il savait. Aussi bien dans l'art du combat comme de la stratégie, de l'art, de la poésie et bien d'autre compétence. Cependant il passa le plus clair de son temps à apprendre au jeune homme à méditer, se calmer, contrôler ces émotions qui prenait souvent le contrôle de son être. Artain était et serra toujours l'un des plus grands guides d'Eden, à chaque ennui, question le troublant, il se tournait vers le veillard qui était toujours là et de bon conseil.
***
Encore une attaque et encore une petite guerre comme une autre. Le seul travail d'Eden était d'embrocher homme après homme, sans réfléchir à rien. Simple. Ce jour-là, une petite équipe d'homme de l'empire avait été prit dans l'attaque d'un petit village allié aux vardens. Cela pouvait paraître un petit coup futile mais pourtant c'était utile. En effet, ce village gardé par quelques soldats ennemi du point de vue d'Eden était l'une des sources alimentaires et matériels des vardens. C'était donc une petite attaque permettant d’affaiblir l'armée adversaire. Son épée au point, le jeune homme faisait des dégâts comme tout les autres pour ainsi dire, il ne se détachait pas vraiment de la mêler grâce à sa force mais à des petites ruses dans sa manière de combattre. Eden trouvait toujours un moyen d'économiser sa force. Si certain de ces compagnons y allait de toute la force, lui déséquilibrait, fientait puis frapper. Bien-sûr, toutes ces petites galipettes pouvaient être considérée comme plus épuisantes qu'un bon coup, mais non. Pas pour le jeune homme. Et cela se prouvait à la vitesse de son souffle. L'attaque venait à peine de commencer que son compagnon de droite commençait déjà à respirer comme un bœuf, le jeune soldat quand à lui attaquer pour le moment avec comme seul partenaire l'adrénaline.
Alors que le combat battait son plein Eden prit le temps de regarder autours de lui et écarquilla les yeux d'horreur. Il y avait plus de perte dans leur troupe qu'inversement. Les vardens avaient su analyser leur attaque et pouvaient ainsi prévoir certaine de leur attaque. Alors qu'il essayait à son tour d'analyser un plan, des vardens se jetèrent sur lui en vague. Hurlant de rage, il porta un coup violent réussissant ainsi à décapiter un homme, puis repérant une faille dans la posture de son second assaillant mit un coup de pied tourné. Comme prévu le jeune homme tomba facilement à terre et Eden put lui transperçait le cœur avec faciliter. Il continua ainsi pendant une heure avant d'entendre un signal de retraite. Il commença donc à reculer et tout les gardes impériaux firent de même mais alors qu'il s'éloignait une flèche transperça le cœur de leur capitaine. Là, ils étaient comme on disait familièrement, dans la mouise...
Enfin réunit en sécurité, les vardens étant eux aussi retournés en lieux sur pour penser leur plais, les soldats impériaux commencèrent à jaser inquiet. Oui ils étaient très, très mal placés et la perte du capitaine ne faisait qu'empirer la situation. Ils n'étaient plus beaucoup, n'avaient plus de chef et un plan défaillant. Dans son coin, Eden réfléchissait. La ville n'était pas non plus gardé par trente-six milles soldats, il pouvait donc trouver une solution. Artain lui avait appris à faire face à ce genre de situation, il devait à présent se servir de tout ces conseils. D'une voie forte pour couvrir le brouhaha et ferme, il prit la parole :
-Combien sommes-nous ? [color:d550=006633]-Heu... On doit être une cinquantaine. -Et eux ? [color:d550=006633]-Deux fois plus, je crois. Qu'est-ce que t'as en tête, Eden ?
Le jeune homme sourit à son compagnon avant de se lever et faire les cent pas.
ls connaissent notre façon de combattre, il faut les surprendre. Leur faire perdre leur moyen. Faire diversion pendant qu'on fait tomber les portes de la ville ! Oui ! On a voulu y aller comme des bourrins ! [color:d550=006633]-ça avait toujours marché d'ici aujourd'hui. -Oui, bien-sûr, mais pour cette bataille on doit agir autrement et... Dans l'ombre.
Ainsi en quelques heures et heureusement ils avaient la nuit pour être tranquille, Eden monta un plan avec ces hommes. C'était impressionnant à quelle point on pouvait trouver de tout parmi les soldats d'une armée ! Un ancien petit voleur de rue, un ancien boucher et encore plein d'autre profession leur donnant soit la minutie, force et plus comme allié dans un combat. A minuit, ils étaient tous prêt. Certes ce n'était pas la façon la plus noble de gagner une partie mais ils n'avaient plus le choix et le jeune homme était prêt à tout pour partir triomphant ! Avec le petit voleur de rue et le boucher, ils partirent en silence en avant. Toutes défenses avaient un point faible quelque part. Trouvant très rapidement les échappements des égouts de la ville, les trois hommes se plongèrent jusqu'à la taille dans l'eau boueuse et... Horrible, avançant comme un seul homme. Le petit voleur passa ensuite en premier dans les rues pour commencer à faire des dégâts parmi les gardes qui essayaient de dormir au pied des rempares. Il était rapide le chenapan, boucher prit la suite et commença à égorger de sa force tout les soldats fraîchement averti. Grâce à cette diversion, Eden put filer sans attendre vers les rouages d'ouverture de la porte de la ville. Alors qu'il était enfin en train de gravir les escaliers menant aux escaliers le signal d'alarme de la ville retentit à tout les environs. A présent, ils n'avaient plus que quelque minutes devant lui ! Sans sourciller il mit à terre les vardens venant à sa rencontre, ils étaient nombreux mais Eden réussit à mettre à profit son environnement. Si ce n'était pas simple pour lui de se battre dans des escaliers, il en était bien sûr de même pour ses assaillants. Il n'eut donc aucun scrupule à les déséquilibrer, les marches pointu faisant à elles toutes seules le travail. Très rapidement il se retrouva dans la tour de « contrôle » et repérant le levier permettant de monter les herses banda ses muscles. A présent il n'avait plus d'autre choix, ce n'est pas avec la ruse qu'on ouvre cette horreur.
Quelques minutes plus tard et pas mal de transpiration, le reste de l'armée impérial avaient enfin réussit à rentrer dans la ville. Les vardens étaient assailli de tout côté, il devait protéger la ville mais surtout les habitants. Bien-sûr Eden n'était pas venu pour tuer les villageois mais juste faire fuir les vardens. M'enfin il n'allait pas se plaindre de cette avantage. Avec un sourire triomphant il se mêla à ces hommes de la nuit et se battit de tout son être jusqu'à être recouvert de sang des pieds à la tête. Maintenant, ils avaient tout pour réussir !
***
-C'est FAN-TAS-TI-QUE, mon chéri ! Tu dois être tellement heureux ! -Tu sais mère, au fond, ça me fous les choquottes. Je me suis juste servi de mes neurones, cela ne prouve pas que j'en suis vraiment capable en permanence... Cette nuit-là, le plan est tout de suite apparut devant mes yeux mais peut-être que la prochaine fois ça ne serra pas le cas ou pire encore, je mènerais mais hommes vers une mort certaine à cause d'une erreur ! -Eden, rien que tes doutes prouve que tu en es capable. Tu sais réfléchir et faire face à la réalité. Ne te pose pas trop de question et aborde ce titre de capitaine avec fierté !
Le jeune homme sourit doucement à sa mère. Elle avait raison mais au fond de lui les doutes étaient toujours présent. Il avait bien-sûr accepté cette promotion, il aurait été fous du contraire mais il se jura de toujours faire face à toutes les options dans le seul but de perdre le moins d'hommes possible tout en réussissant toutes ses missions.
► Famille : -Maman, pourquoi c'est pas toi qui t'es occupé de moi ? -Comment ça mon petit loulou ? -Bah avant, il y avait l'autre dame que j'appelais aussi maman, mais elle n'était pas comme toi. -Oh mon tout beau.
La "nouvelle" mère fit un câlin à l'enfant de cinq ans qu'elle venait, à peine, d'adopter avec son époux. Tout deux, avait du mal à faire un enfant, ils décidèrent ainsi, d'un commun accord d'adopter un orphelin. Cet orphelin pourrait ensuite s'occuper de leur héritage, une fois leur beau jour finis. Oui, mais, par pitié, les deux nouveaux parents adoptèrent, "cet" enfant. A présent, allongé dans un grand lit en soie, il avait été auparavant, fils d'une bien malheureuse famille. Son père biologique avait finis dans l'alcool sous le coup de la pauvreté. La jeune mère, car c'était bien le cas de le dire, elle était très jeune, ne sut pas comment apporter de l'amour à son fils. D'après les brefs confession d'Eden à ce sujet, les deux parents adoptives comprirent vite que la mort des deux parents c'était fête de manière brutal. Pour le moment, Eden avait été capable de raconter la mort de sa mère, décédé, suite à des coups violent et impulsif de son mari. L'alcool ne donne vraiment rien de beau… Quand au père, il fut condamné comme un meurtrier et mourut comme tel. Cela, les deux nobles le surent en ayant le dossier d'Eden dans les mains au moment de son adoption. Eden, lui, était à présent heureux. C'était un bon petit enfant qui avait, à présent, deux parents complètement normaux ! Sa mère adoptive était une femme douce mais un peu collante. Elle lui faisait toujours des tonnes de bisous, chose étrange et nouveau pour un enfant n'ayant jamais connu cela. Son père, quand à lui, était un homme tout aussi bon qui jouait parfois avec lui dans la cour. Cependant, il était souvent loin pour le travail. Tout deux, étaient fort beaux, avec leurs habits de luxe et leur grande toilette. Eden pouvait les regarder, parler, du coin de l'oeil, pendant des heures.
***
-Mon chéri, tu sais que papa est mort… -Oui maman, je n'ai besoin de personne pour m'en souvenir. dit le jeune garçon de maintenant dix ans. -Ne soit pas aussi bougon ! Bon et bien… Pour nous, et, enfin voilà… Je vais me re marier.
Choquante nouvelle, pour un jeune garçon venant tout juste de perdre son père. Il ne dit rien, ne bougea pas, tandis que sa mère quand à elle entendait un geste, une parole du jeune garçon, mais non. Rien. Il était devenu muet à ce sujet. Les jours et les années passèrent, ce fameux beau-père se retrouva être un homme sévère et bourrus. Que pensait-il d'Eden ? Rien, ce petit garçon de pacotille n'était rien qu'une vermine à ses yeux. Il ne comprenait pas, l'amour que pouvait lui apporter sa femme. M'enfin, l'homme n'avait plus à ce soucier de cela, puisque la jeune femme avait réussit à lui donner deux enfants, bien biologique ceux-là ! Les deux vrais héritiers se retrouvèrent donc en tête de l'héritage, laissant à Eden que quelque pacotille de malheur que sa mère ne voulait pas céder à qui que ce soit autre que lui. L'homme sévère que pouvait être, le nouveau mari de la femme, était grand, plus grand que le précédent mais maigre. C'était un homme de bureau et non pas un soldat à solide carrure. Il en imposait que par son regard froid et plein de haine qu'il n'adressait, particulièrement, qu'à Eden. ► Description : Pour la centième fois, Eden para le coup meurtrier de son assaillant. L'épée de son ennemie était robuste et lourde. Eden, n'avait pus la porter que de rare fois mais cela lui avait suffit pour en prendre conscience. Il bondit en arrière, son maître devenait de plus en plus insistant dans ses attaques, il voulait voir où en était le jeune homme et à quoi il pouvait aspirer ou non. Reprenant sa riche épée en main, il continua à harceler Eden de coup, l'épée en devenait floue et invisible, son tranchant gris argenté n'était plus que serpent en mouvement. Les deux hommes suaient à grosse goutte, tout deux était bien décidé à mettre l'autre à terre ! D'un mouvement fluide et rapide, Eden réussit à désarmer son pauvre maître qui commençait à sentir les effets de l'âge et laissa l'épée tombait durement au sol. Les fines pierres incruster dans le pommeau firent de merveilleux reflet rouge et or autours d'eux. Eden sourit, en voyant le visage de l'homme se radoucir à son tours. Désarmer, Eden, dans un vrais combat, aurait pus le tuer en deux secondes. Le combat était à présent terminer. Le vainqueur marcha jusqu'à l'arme tomber au sol et s'accroupissant lentement, la ramassa dans le but de la rendre à son propriétaire immédiatement. Il l'admira encore un instant, oui c'était une belle et riche épée qu'il avait devant les yeux. Il la tendit gentiment à Artain, car tel était son nom.
-Un jour, il faudra que vous me racontiez comment vous l'avez eu, en votre possession. -Bientôt, bientôt, jeune impatient.
► Aquisition :Acquisition : Les pieds trainant, fatigué, Eden arriva, malgré tout, à l'heure. A chaque fin de mission, il revenait comme si de rien n'était à ses rendez-vous habituellement avec Artain, et ceux, malgré la fatigue. Il s'assit mollement sur les racines d'un arme et bailla au corneille en attendant. C'était bien une première pour lui, habituellement le vieux fou était tout de même là, et pour le plupart du temps en avance ! C'était étrange, beaucoup trop étrange au gout du jeune homme qui rentré juste de campagne. L'adrénaline tout fraichement utilisé, était prête à re faire surface à tout moment ! C'est pour cela, que le jeune soldat se retrouva à soupirer, bruyamment, de soulagement en voyant le vieux maître apparaître. Celui-ci souriait faiblement mais marcher tout de même avec force sur ses vieilles jambes. Eden accourus vers lui pour lui proposer son aide. Le concerné le repoussa d'un coup dans les côte.
-Je n'ai pas besoin de ta pitié, jeune petit oisillon ! Un peu de respect tout de même ! Il me reste une certaine fierté. -Maître, vous n'avez plus 20 ans malgré tout. -Assis et tiens !
D'un geste nonchalant, Artain tendit son épée à Eden. Ne comprenant point se qui se passait, il la prit sans demander son reste et en profita pour se rincer l'oeil. Quelle belle arme c'était ! Artain souriait avec bienveillance. Oui, ce jeune petit impétueux en ferait meilleur usage que lui. Il était devenu beaucoup trop vieux pour le combat, les champs de bataille, enfin tout ce qui était réservé à la jeunesse ! Malgré tout se qu'il pouvait dire, le vieux bougre sentait bien que ses forces d'an tant l'avait quitter. Il arrivait presque plus à se battre pendant plus d'une dizaine de minute avec son arme sans la trouver trop lourde et en risquant de s'évanouir. Il avait pourtant chercher à le cacher à son jeune élève, mais celui-ci voyait tout et cela, le vieux maître avait pu sens rendre compte en comprenant qu'Eden retenait, à présent, ses coups.
-Fais en, bonne usage, mon petit et n'oublis jamais tout ce que j'ai pu t'apprendre ! -Mais… Mais… Maître ! Elle est à vous ! Je ne peu accepter ! -Ne fais pas l'idiot ! Tu sais très bien que je suis à présent trop vieux pour tout cela ! Tu en ferras meilleur usage que moi ! Eden… Je n'ai moi même plus assez de force pour m'en servir. A toi, elle te servira à quelque chose. Ne me fais pas l'irrespect de refuser mon présent ou je vais te faire comprendre comment je m'appelle !
Eden courba la tête en acceptant. Il serra le pommeau de l'arme dans sa main, en prenant conscience de l'importance du présent. Cette arme avait été le compagnon de combat de son maître pendant des années ! Lui ayant ainsi permis, de gagner maint et maint combat. Oui, Eden était fier d'avoir cette arme et jamais, jamais il ne laissera quiconque l'avoir en main autre que lui ! ► Comment avez-vous connu le forum ? Je le connais depuis longtemps :3 | ► Si vous commencez le RPG, souhaitez-vous une aide ? ... | ► Souhaitez-vous être parrainé ? Si oui, avez-vous une préférence ? ... | ► Quelque chose à ajouter ? Que vos lames restent acérées !! |
Dernière édition par Eden Warlock le 07.07.14 15:48, édité 6 fois | |
|