L'acide du doute [fini]

L'exécuteur eût un sourire en coin devant l'excuse de la traqueuse. Car c'était justement pour ce jeu de mots que son nom à été trouvé.

-Il n'y a pas de mauvais jeu de mots, mon nom est pour ce que je fais, j'exécute des contracts, pour ces clients. Je tue des gens pour ses personnes.

L'exécuteur vit quelque chose de différent sur le visage de Rey, que sur celui des autres personnes à qui il parlé. Il comprit que c'était dû au non étonnement sur le ton de la voix de L'exécuteur.

Cette fois, les lèvres de Resmey se formèrent en un sourire mystérieux, pas vraiment carnassier mais pas docile pour autant.

- Intéressant. Très intéressant. Et ça vous rapporte gros ?

La question n'était pas réellement intéressée, puisque la Traqueuse n'était pas de nature avare. Rey avait un esprit étrange où toute logique conventionnelle est inexistante, aussi il serait difficile d'expliquer pourquoi cette question était importante à ses yeux. Yeux qui, d'ailleurs, détaillaient en même temps le visage de l'Exécuteur.

L'exécuteur observa le sourire et le regard de la femme toute en étant très circonspect. Il voyait bien que la femme n'était pas vraiment intéressait par le travail. Mais son premier sourire était cependant plutôt étrange.

-Sa pourrait, mais le plus souvent j'abaisse les prix pour mes clients puissent vivre après mon meurtre, après avoir exaucer leurs vengeances. Et puis l'argent ne m'intérressent pas vraiment, je pourrais vivre en ville et ne pas avoir besoin de travailler. Mais c'est plus un certains plaisir du meurtre qui me fait travailler.

A cette dernière phrase, le sang noir de Rey ne fit qu'un tour. Bien sûr, elle connaissait des personnes qui aimaient se battre et tuer leurs ennemis (et comme ces personnes n'étaient pas de l'Empire, leurs ennemis se résumaient donc au camp opposé), mais des gens qui tuaient d'autres sans qu'ils soient leurs ennemis, c'était...

- ...génial !

La réaction était certes inattendu, mais il a déjà été dit que la Traqueuse avait un esprit étrange donc le fonctionnement échappait à tous. Elle se mit en tailleur sur le lit avec un regard à la limite de l'émerveillement envers l'Exécuteur.

L'exécuteur ne sursauta pas quand la femme sauta en crian "géniale", il commençait à comprendre quelque chose, qui lui était plutôt étonnant, et plutôt à son gpût, il avait peut-être trouvé une personnes qui aimait les même chose que lui. C'est ce que donné comme impression la réaction de Rey. Car L'exécuteur, n'aurait peut-être pas réagit comme elle, mais aurait eut le même sentiment.

-Pourquoi as-tu quitté Galbatorix? J'ai dû le savoir mais je l'ai maintenant oublier.

Le visage de la Traqueuse se referma à cette question, retrouvant sa froideur habituelle, accentuée par sa peau très blanche.

- Le roi m'avait prise auprès de lui à cause d'une... caractéristique que je possédait. Il voulait se servir de moi comme une arme qui pouvait tuer plusieurs personnes sans les toucher, et sans même utiliser la magie. En attendant que mon "don" se développe, il m'avait donné la tâche de bourreau, dans une petite cour où je m'occupait de décapiter ceux dont il m'avait donné l'ordre. Je ne le cache pas : j'aimais ce passe-temps. Cependant, quand une amie - la seule - m'a ouvert les yeux sur ce qui se passait au-dehors de la capitale où je vivais, mes convictions ont changé. Malheureusement, Galbatorix s'en aperçut lorsqu'il me voyait de plus en plus hésitante dans mes mises à mort. Il m'a alors envoyée aux fers, et j'ai fini torturée, comme beaucoup d'autres.

Son visage était grave, sa voix à la fois rauque et monotone et ses yeux ne brillaient plus. Elle expliqua qu'elle avait réussi à s'échapper en tuant le plus d'empiriens possible, puis elle disparut dans la nature. Lorsqu'elle redonna de ses nouvelles, elle pourchassait les membres de l'Empire et les massacrait sans pitié.

- Mais c'est lorsque j'ai réussi à démembrer un parjure et son dragon qu'on me reconnu sous le nom de la "Traqueuse".

L'exécuteur ne souriait plus. Il se doutait que la femme n'aimait pas parler de cela. Mais il trouvat cela très instructifs. A la fin du récit il se souvint qu'il avait appris que la femme avait été torturé. Mais il n'avait pas sû pourquoi. Il préféra orrienter la conversation sur quelque chose, de plus attrayant".

-Je n'aime pas tant que ça le démembrements, surtout des dragons de dragonniers. Je l'ai fait qu'une fois, et sa ma suffit. Le dragonnier qui hurle, sa gache tout enfin je trouve. Je préfére tué d'abord le dragon, et m'occupé du dragonnier par la suite. Ou alors le poison sur une lame, le dragonnier et le dragons ne comprennent pas ce qui se passe.

Bien que surprise du tournant de la conversation, Rey accepta sans broncher de changer de discution. Ca l'arrangeait. Elle haussa les épaules, sans pour autant abandonner son visage impassible.

- Chacun ses goûts. J'aime les morts sanglantes. Le poison, ce n'est pas ce que je préfère, mais j'en connais un que j'utilise fréquement parce-qu'il permet une mort lente et douloureuse.

D'ailleurs, il était heureux que Rey soit la seule à posséder ce "poison", car sinon l'Alagaësia sombrerait plus encore dans le chaos qu'elle n'y est déjà.

L'exécuteur restait grave.

-Qui te dis que le poison n'est pas sanguinaire. Certains poison détruisent les muqueuses de la personne, et du coup les organes son remplis de sang, qui ressort pas où c'est possible. Et puis ce n'est juste que pour les dragons souvent le dragonnier je le tue à l'épée, où lors d'un combat ou d'un grand coup le décapitant.

Rey soupira doucement en haussant une nouvelle fois les épaules avec impassibilité. Quelle étrange discussion ils avaient là. Heureusement que personne ne viendrait les déranger, sinon on les prendrait pour de fous. Ce qui était à moitié vrai en ce qui concernait la jeune femme.

- Enfin... Chacun a sa manière de faire. Peu importe nos préférences, l'important c'est qu'on y prenne du plaisir. N'est-ce pas ?

L'exécuteur compris qu'il avait réussit à faire oublier que juste avant ils parlaient de quelque chose dont Rey ne voulait pas parler.

-C'est effectivement ce qui compte.

L'exécuteur ressentait de plus en plus la conscience de Rey et elle lui rappelait une personne, qu'il appréciait puisqu'ils faisait un métier à peu près semblable.

-Excuse-moi, mais je ressens dans ce qui émanne de toi comme une ressemblance avec une personne que je connais. Donc je me demande... Connais-tu Evangeline?

L'exécuteur ne savait pas trop comment dire ça. Il fut donc plutôt directe.

Rey entr'ouvrit les lèvres de stupéfaction. Elle adorait sa petite soeur plus que tout et était heureuse de toutes ses réussites, mais la Traqueuse devait avouer qu'elle avait un peu de mal à suivre le mouvement.

- Evan, encore elle... Oui, bien-sûr que je la connais. C'est d'ailleurs l'amie dont je vous ai parlé dans mon... récit. (elle soupira) Dois-je comprendre que vous l'avez rencontrée ?

L'exécuteur eût un petit plaisir quand il vit que Rey ne s'attendait pas à cette question. Elle ne s'attendait pas à ce qu'il connaisse Evangeline.

-Oui, je devait tuer un homme qu'elle recherché. J'ai juste eu à l'attendre. Puis, j'ai tué l'homme, et on à un peu simpatiser, et recemment on s'est revu, à Carvahall. J'ai l'impression que sa ne te réjouï pas. Ais-je tord?

- Peu importe.

La jeune femme fronça légèrement les sourcil et ramena ses genoux contre elle pour les encercler de ses bras. Ses yeux sombre et aussi profond que le vide infini restèrent rivés sur un point invisible, leur propriétaire s'étant une foix de plus murée dans le mutisme. Elle sentit alors son bras gauche la brûler fortement, ce qui fit revenir ses pensées à cet... "accident". Elle s'était elle-même infligé cette souffrance, comme pour vérifier si, oui ou non, elle évoluait dans un simple cauchemar...

L'exécuteur resta lui aussi dans un silence buté et long. Pendant une heure ils restérent ainsi. L'exécuteur s'était levé au bout de cinq minutes et s'était mit devant la seul fenêtre de la piéce.
A la fin de l'heure L'exécuteur revint s'asseoir sur la chaise.

-Il y a une herbe, qui mise en créme peu t'apaiser ton bras.