L'acide du doute [fini]

L'exécuteur marchait entre les failles brûlantes de ces plaines. Il marchait sans aucun but, juste pour s'occuper, pour marcher entre sur le sol saccagé par la guerre, en Alagaësia. Il sentait une conscience qui souffrait, il ne la connaissait pas. Qu'allait-il faire? Aider une personne qu'il ne connaissait pas? Lui qui disait se désinterrésser de la vie d'autrui? En même temps avec les nouveauté qui arrivé dans sa vie... de nouvel amitié, une dragonne.

*Aller, on verra bien, si ça se passe mal. Et puis, je ne suis pas obliger d'être très agréable...*

Alors L'exécuteur se dirigeat vers la personne qui souffrait. Il la vit, alongé sur le sol, envellopé dans un long manteau. L'exécuteur la prit le corp dans ses bras sans voir qui s'était et l'ammenat dans une maison abondonné. Il nettoyat le lit et la posa dessus, il l'examina quand le corps bougeat...

L'exécuteur s'aperçut que la femme était de nouveau en état. Il vit alors que son bras était plein de cloques donc des brûlure le long de son bras. Il s'approcha, passa sa main sur le bras de celle-ci et après que sa main soit passé les cloques et les brûlures laissérent place à une peau bronzé et douce. Cependant la peau restait chaude. Il compris que ce qu'il venait de faire ne servirait pas à atténué la chaleur corporelle importante de la femme. Il pourrait faire passer ceci mais il n'avait aucune envie de s'embêter a aller chercher une plante dans le coin.

-Qu'avez vous fait pour vous retrouver là?

Rey grimaça lorsque l'homme soigna sa brûlure. Cependant, elle savait qu'elle en garderait des séquelles. Lorsque l'Executeur lui posa la question, son visage se ferma.

- J'ai été frappée par ma folie.

Elle se releva doucement pour s'assoir sur le lit et regarda un instant son bras gauche. Les tissus avaient été reconstruits, mais elle sentait toujours quelques traces du liquide brûlant sur ses muscles et ses os. La jeune femme soupira.

- Je me suis brûlée avec l'acide des Plaines. Comme quand on se pince pour savoir si l'on rêve ou non.

Resmey resta un instant silencieuse et se mit à caresser la cicatrice de son oeil gauche avec sa main, vieux tic qu'elle n'était pas prête de perdre. Puis elle leva ses yeux d'onyx sur le jeune homme, le détailla un instant et pencha légèrement la tête sur le côté.

- Je vous remercie d'avoir pris de votre précieux temps pour une idiote. Comment vous appelez-vous ?

L'exécuteur resta de marbre quand elle lui dit dit qu'elle avait été frappé par sa folie. L'exécuteur savait que quand une personne disait cela c'est qu'elle ne voulait pas qu'on lui parle de cette"folie", L'exécuteur rit tout de même intérieurement quand la femme compara ses brûlure a un pincement.
Par la suite il ne rit plus, intérieurement come extérieurement.

-Je me nomme L'exécuteur. Et vous?

L'exécuteur prit bien la peine de ne pas dire que la femme en face de lui n'est pas une "idiote".

Rey s'étonna à peine du nom de son interlocuteur. D'ailleurs, elle le trouvait même attreyant. Enfin, ce n'était pas étonnant de la part d'un combattante chevronée (et bourrine) comme elle.

- Resmey Warand, dite la Traqueuse. Enchantée.

Elle fit le tour de la pièce du regard, puis posa sur l'Exécuteur des yeux inquisiteurs.

- Où sommes-nous, exactement ?

L'exécuteur ne montra pas qu'il était étonné que la personne ne réagisse pas à son nom. D'habitude les gens lui demande pourquoi se nom, ou de lui donné son vrai nom. Tandis qu'elle n'avait pas l'air effrayé, ou dégouté, au contraire elle aurait plutôt l'air d'être attiré par ce nom.

-Nous sommes dans une maison de chasseur, à un petit kilométre de là où je vous eis trouvé. Donc à la bordure des plaines. Enchanté.

- ...

La jeune femme se fit de nouveau muette, baissant les yeux sur son bras dans lequel l'acide se faisait encore un peu sentir. Elle se mit alors à fouiller dans sa besace noire pour en sortir un rouleau de bandages blancs et entreprit d'en couvrir son membre maintenant sain grâce aux soins de l'Exécuteur. Pendant qu'elle enroulait les bandes immaculées autours de son bras, elle posa une question qui pouvait faire basculer sa docilité si la réponse donnée par le jeune homme ne s'avérait pas la meilleure :

- J'espère que vous n'êtes pas de l'Empire.

L'exécuteur fut un peu surpris par cette question. Déjà elle lui demander dans quel camp il est? Déjà elle lui demander si elle pouvait avoir confiance en lui? Mais cette question lui fit penser à tout les renseignement qu'il avait sur les personnes qui détestait l'Empire. Et c'est alors qu'il comprit pour quoi il avait ticqué quand il entendit le nom de la femme. Elle tué toutes les personnes qui font partie de l'Empire. Alors il sourit.

-C'est une question dont la réponse est porteuse de conséquence. Surtout quand c'est vous qui l'a posé. Traqueuse. Je dirais que si on s'était connu quand j'avais un vingtaine d'années vous m'auriez tué. Maintenant que j'ai vu ce qu'a fait Galbatorix à ce pays, je me suis engagé dans un autre groupes, qui le combat.

Son bandage finit, elle vérifia s'il n'était pas trop serré puis sourit à son tour.

- Alors tout va bien. De toute façon, je n'aurais pas pu vous tuer il y a une vaingtaine d'année puisque j'étais moi-même aux côtés de Galbatorix.

Elle étira plus largement ses lèvres. Pour une fois, c'était pas un sourire moqueur, ni carnassier, c'était juste un sourire comme on peut en voir sur la plupart des visages. Heureusement pour elle, ce sauvetage lui avait fait oublié ce pourquoi elle s'était infligé cette brûlure par l'acide. Déjà qu'elle avait rarement bon, moral, ce n'était pas la peine qu'elle replonge dans la dépression.

L'exécuteur rit quand la femme lui dit qu'il y a une vingtaine d'année elle n'aurait pas pû le tuer. Elle l'avait mal compris. Il n'avait pas dit il y a une vingtaine d'année, mais quand lui avait une vingtaine d'anné. Elle n'aurait encore moins pû le tuer car, L'exécuteur en était presque sûr elle n'était pas née.

-Excusez-moi, c'est que, justement, il y a vingt ans, vous auriez surement pû me tuer, sur ordre de notre despote. Car il y a une vingtaine d'année, je m'opposé déjà à Galbatorix. Je disais, quand j'avais vingt ans, à peu près. Sa reviens à dire, il y a quatres vingt ans. Et par contre, là je ne penses pas non plus que vous m'auriez tué, parce que je ne penses pas que vois soyez nez, il y a 80 ans. D'ailleurs je penses que sinon je l'aurais sû.

[navrée, j'avais mal lu ^^']

La jeune femme prit une expression interloquée et faillit bin tomber à la renverse :

- Vous avez plus de 100 ans !? Je sais que d'habitude on dit ça aux femmes, mais... Vous ne les faites pas.

Ses cellules grises se mirent à réfléchir à toute allure.

- Vous ne pouvez être un humain, dans ce cas. Ou alors un dragonnier, à la limite.

[hj: c'est rien, c'est même mieux comme ça.]

L'exécuteur sourit en voyant la tête de la femme. Et encore quand elle lui dit qu'il ne faisait pas sa centaine d'années.

-D'après l'approximation de Galbatorix j'ai 102 ans. Je suis un elfe, recemment emmerdé par une dragonne. J'ai changé la taille et la forme de mes oreilles pour me fondre dans la masse humaines. Bon, mes clients commence à comprendre que je ne suis pas complétement humain, car le plus souvent leurs parents m'ont engagées dans leurs jeunnesses à eux. J'ai même entendut des personnes dire qu'en faites je ne suis pas le seul L'exécuteur.

L'exécuteur parlait d'une voix rauque et lentement, de cette maniére on ne pouvait pas croire qu'il commencer à devenir plus humanisé.

- Je vois...

Le ton qu'avait l'Exécuteur ne la surprit pas plus que le nom de celui-ci. En fait, ce qui aurait pu l'étonner, ce sont des noms joyeux et des voix chantant les mots qu'elles prononçaient. Rey était assez étrange de par son comportement et ses goûts. Une Varden à moitié du côté obscur, qui l'aurait cru ?

- Vous avez parlé de "clients". Quelle tâches exécutez - sans mauvais jeu de mot, bien entendu - vous pour eux ?