Survol des docks avant l'atterissage et une rencontre

La ville fortifier de Teirm est en ébullition en ce jour d'été, les bateaux de pêche vont et viennent, les braconniers descendu de la crête pour travailler aux champs aux printemps et à la récolte, embarquent maintenant dans les bateaux distribuant ces même récoltent sur les bateaux dans lesquels ils vont servir comment gardes. La roue de la vie tourne dans la vie côtière de Teirm sans se préoccuper de la guerre saccageant le pays....

Enfin pas toutes à fait, les bateaux de l'empire on droit à une protection accrues à cause de la guerre, et toutes personnes surprissent à observaient cette protection ou a tenter de passer les barrages de sécurité sont violemment attaquer et pendu sur l'échafaud en plein milieu de la zone protéger, à une telle auteur que les citadins de Teirm les voient de loin.

Et justement depuis quelques minutes un homme vêtue d'un long manteau brun dont la capuche lui couvre le visage a pénétré dans l'enceinte même de cette place comportant 3 quais où de grand voiliers sont amarré et plusieurs ponton pour amarrer les esquifs servant à la protection de certains de ces gros voiliers.


L'exécuteur venait de recevoir il y a quelques jours qu'une dragonnierre se déplace tout particulièrement de son manoir à Teirm et ceux pour un colis qu'elle devait ramené à Uru-baen. De quoi attirer l'attention donc, il envoya une missive à un espion de Teirm avant de partir lui même pour la cité côtière. Une fois arrivé sur place son esprit lui appris tous ce qu'il fallait savoir sur les bateaux en ce moment à quai dans toutes la ville de Teirm. Pensant particulièrement à l'un de ces bateaux pour transporter ce colis L'exécuteur monta une opération pour le récupéré peu avant que la dragonnière ne mette la main dessus et ne faisant appel qu'à deux espions magiciens postés en ville.

Le tueur à gage s'était donc diriger d'un pas sur vers le barrage de sécurité Est de ce dock, Quand l'homme de garde se posta devant le tueur ce dernier lui décocha un coup du droit dans la mâchoire avant qu'il n'est eut le temps de poser sa hallebarde au sol. Les quelques soldats passant près de ce barrage s'agglutinèrent autour du tueur, épée, glaive, lance et masse d'arme à la main.
Le premier arrivé sur L'exécuteur tenait une lance, pointe dirigé vers l'épaule du tueur, ce dernier fis un pas de côté au dernier moment et attrapa la hampe au vol, fracassant le nez du soldat le poing dirigé vers le ciel. L'exécuteur planta d'un geste vif la lance dans le sol. Détourna le glaive d'un soldat d'un revers du poignet, lui cassa le bras et la main dans la foulé et son arme se planta dans le ventre de l'homme, éclaboussant les trois soldats derriére lui d'un mélange de sang, de liquide intestinal et de sueur.
L'exécuteur profita de la situation pour se propulser grâce à la lance planter dans le sol et se retrouva parraléle au sol, les deux mains accroché à la lance, et ses pieds bousculant le dernier soldats qui empala celui devant lui avec sans hallebarde. Une fois derrière les Impériaux il pénétra leur esprit et les tua tous avec un sort d'ancien langage.

Pendant ce temps il avait vue arriver l'Impérial de dragonnierre, qui lui tournait maintenant le dos. Une troupe de trois soldats retardataire se lancèrent sur lui, le premier reçus un coup de coude dans le crâne qui eut pour conséquence non seulement de le tuer, mais aussi de l'envoyer valser sur la parjure, L'exécuteur n'eut alors qu'à sortir une dague de sous son manteau et de transpercer le cou du premier soldat avec, son bras traverser avec la dague et vint se planter dans le cou du second soldat qui en avançant enfonça encore plus la lame dans son cou. L'exécuteur tourna sa lame et retira son bras de dans le cou du soldat.
Les deux hommes tombèrent mort.

Il entendit pendant un ce temps la parjure criait sur le mort:

-- Non mais fait attention où tu mets les pieds! Tu ne sais pas à qui tu as affaire!

L'exécuteur pris la phrase et dit:

-Il faut l'excuser, votre visite est connue de si peu de personne qu'il ne doit pas savoir qui vous êtes. Remarquez, ça ne doit pas lui servir à grand chose maintenant...

Le plan se déroulait à merveille...

L'air salé de la mer apportait sur la vile côtière de Teirm, les odeurs des poissons prisent en haute mer, et de ceux fumés dans les fumoires que certain poisonniers avaient sortient, profitant, de la chaude journée qu'offraient les étendards du soleil marin. La place central était bondé de gens venue faire leurs marchés, déblatérant de tout et pour tous. La voix de certains vendeurs et maraîchers vantant la fraîcher de leurs produits ou encore, la résistance, susplombaient la ville.
Daragon relaxait sur le balcon de sa cité,profitant des doux rayons que l'astre s'élevent lui prodigait. Le seigneur de Teirm, oui, parce qu'il était belle et bien devenue le gouverneur de la place après son long voyage, durant lequel son frère Céranthor avait trépacé dans l'autre monde, tuer par un certain homme surnommé: Valendil. Daragon en avait pleurer presque toute les larmes de son corps avant de s'asombrir dant un pofond sommeil d'épuisement. La reine lui avait laissé ce poste en conséquence de son histoire bien connue de l'Empire et d'ailleurs. Il en avait été bien surpris, étant donné que celle-ci était un Ombre, il avait bien remarquer son regard rouge sang et ses cheveux vermeille.
Maintenant, Daragon était là, à diriger la ville en son nom et à monter un ordre bien indépandante de cette reine rouge. Un sourire se dessina soudainement sur son visage, cette pensé lui traverssant l'esprit. Renverser cette baka dayiö ne serait rien, l'ordre, son ORDRE pourait rendre la paix sur toute ce continent maudit par le sang. Il en serait purger par le sang même qui l'a vu s'assombrire. Le son qui planait sur le marcher en dessous de la tour du gourverneur le ramena à ses responsabilité bien trop vite à son goût. Les responsabilité du gouverneur était pesant quelque fois, s'il ne faisait pas son travail, personne n'était là pour lui voler.
Tout d'un coup un étrange sensation que Daragon connaissait bien lui parcourut le corps, l'émanation de l'esprit d'un dragon, une sorte d'aura imposente de pouvoir. Au même moment, le gouveneur le vit, cette créature tout aussi imposante que son compagnon Semlin, l'embème même de son ordre. À cette instant-ci, il était encore inconscient de se dont-il se passait dans les entrepots, mais n'était pas loin de le découvrir. Il la vit attérir or des mur de la cité, un fine silouhette comme un mirage sur le dos. Un parjure! Les dragonnier n'avait pas l'habitude de se dévoiler aussi promtement. Daragon sauta par dessus la bastingarde, atterrissant sur ses pieds comme un félin:
-LETTA!
Les vilageois furent surprient de voir un homme tomber d'aussi haut et de rester intacte. Il avança sans rien dire, gardant tout son serieux, laissant les murmurs derière:
-....Mais, vous avez vu ça?????????
- trente toise!!!.... imposible qu'il soit encore en vie.....
-Se doit être un.... il nous regarde......
Un nouveau sourire lui fendit le visage, quel ignorant. Il parcourut les première allés adjacente au marché publique. Puis, soudainement il vit qu'une femme criait sur un garde entraint de tomber mort sur le sol:

- Non mais fait attention où tu mets les pieds! Tu ne sais pas à qui tu as affaire!

Daragon eu juste le temps de la voir crier de injure au mort, qu'un homme marchant en sens inverse de lui, lui fonçit dedans, trop occuper à répondre à la femme, ne regardant pas devant lui.

-Il faut l'excuser, votre visite est connue de si peu de personne qu'il ne doit pas savoir qui vous êtes. Remarquez, ça ne doit pas lui servir à grand chose maintenant...

L'inconu recula, comme ramené vers l'avant, en rentrant dans le gouverneur de Teirn. Daragon ne sentit rien, restant comme si de rien n'en était, pendant que l'autre se reprenait. Le regard inquisiteur du seigneur s'abatit sur l'homme surpris, comme s'il était subitement conscient de la personne auquel il venait de bousculer, un sourire hipocrite lui fedant les lèvres.

[Hj édité: je veux dire que L'exécuteur ne s'enfuie pas avec le paquet, et ne peut donc pas te bousculer et tomber au sol. Je disais aussi que ce n'est pas moi qui est tué Ceranthor, c'est Valendil.

HJ: Prévenez moi quand les changements seront fait, que je me mette à la réponse

L'éxécuteur a écrit:

[Hj édité: je veux dire que L'exécuteur ne s'enfuie pas avec le paquet, et ne peut donc pas te bousculer et tomber au sol. Je disais aussi que ce n'est pas moi qui est tué Ceranthor, c'est Valendil.

C'est fait, disont que ton texte était à si perdre... drôle de plume