ma version du tome 3

Tout est dans le titre . j'annonce aussi que je ferais un tome 4.

voilà:

L'empire

Chapitre 1: Le roi

Murtagh retournait vers Urû'baen, se rappelant sa rencontre avec Eragon. Il ne savait que faire; devrait-il rester le serviteur de Galbatorix jusqu'à sa mort ?
- Je ne veux pas rester sous l’emprise de ce roi, dit Murtagh à son seul compagnon, Thorn. Mais comment échapper au serment que j’ai prêté.
- Il n’y a aucun moyen, répondit le dragon rouge.
- Je voudrais tant qu’il y en ait un.
Après trois heures de vol sur Thorn, ils virent enfin Urû’bean.
Une pluie fine tombait sur la cité. Au centre, sur une montagne, le palais du roi se dressait, tel un arbre sous la tempête. Des murailles de soixante pieds de haut et vingt de large entouraient la cité sombre, éclairer par quelques lumières.
Thorn atterrit sur une terrasse sur une terrasse du palais.
Murtagh descendit de ce dernier en prenant soin d’éviter les pics acérés.
Trois soldats arrivèrent:
- Le roi vous attend, dit l’un des trois. Il veut un résumé complet de la bataille.
- Je vais me reposer dix minutes et j’arrive, dit-il d’une vois sombre.
Il se dirigea vers ses appartements tandis que Thorn alla directement voir le roi.
Murtagh entra dans sa chambre et s’étendit sur son lit. Il s’endormait quand il sentit une force mentale, familière, entrer dans son esprit: c’était Thorn.
- Dépêche-toi un petit peu !
- Oh ! Ça va ! grogna Murtagh.
Il se leva, s’approcha d’un tiroir, l’ouvrit et en sortit un petit flacon contenant du faelnivr. Il en bu trois gorgées, le liquide descendit dans son corps, répandant une vague de chaleur et d’énergie. Il enleva son armure, prit une tunique propre et sortit Zar’roc de son fourreau. Il observa la lame rougeoyante qui appartenu, autrefois à son père, Morzan.
- Allez, viens ! dit Thorn.
- J’arrive, répondit Murtagh.
Il sortit de sa chambre et se dirigea vers la salle du trône. Il croisait des domestiques qui s’écartaient brusquement sur son passage. « Ils ont peur de moi, pensa-t-il. Pourquoi ? Je ne suis pas un monstre. »

Il arriva dans une grande salle. Sur le sol, des fairths représentaient la vie du roi, depuis la naissance de son premier dragon jusqu’à la chute des dragonniers. Il y en avait aussi sur les murs. Du sol, partait de grandes colonnes en pierre noir.
Sur les côtés, des soldats armés de lance et de bouclier étaient près à intervenir s’il y avait un problème. Au fond, un trône magnifiques bordées de pierre précieuses. Sur ce trône était assis un homme. Un homme au regard malveillant, au visage robuste et déformer par plusieurs cicatrices. Un homme paraissant vieux et dont la cruauté était sans limite. Cet homme, c’était son roi; c’était Galbatorix.
A côté, Shruikan, son dragon noir. Ses yeux, rouges, fixaient Thorn. De très grands pics, gris, s’alignaient sur son dos. Murtagh s’agenouilla devant son maître et Thorn baissa la tête en signe d’allégeance. Le roi dit d’une voix monotone:
- A ce que je vois, tu n’as pas réussis à capturer ton frère ?
Murtagh ne répondit pas.
- Je te laisse une deuxième chance, pars et ramène-moi Eragon. Mais avant, raconte-moi la bataille et jure-moi que tu me l’amèneras.
Il raconta donc la bataille, son combat avec son frère. Il prit son temps, redoutant ce qui lui arriverait après.
- Bien, maintenant: jure moi que tu ramèneras ton frère.
Étant obligé d’abdiquer, ils jurèrent:
- Vel eïnradhin iet ai Shur’tugal !
- Vel eïnradhin iet ai Skulblaka !

Murtagh retourna dans sa chambre, se mit sur son lit et pleura, il pleura tout.
Le monde, le roi, son frère. Pourquoi tant de malchance dans ce monde ? Pourquoi ?
- Contrôle-toi, dit Thorn doucement
- Non ! Je n’en peux plus. Laisse-moi !
Le dragon se retirât de son esprit avec regret. Murtagh laissait sa colère éclater dans son coeur. Tout ça, c’était de la faute du roi.

A suivre.

(hj: Juste pour dire que je trouve ça super, enfin juste un truc: dans le tome 1, on dit que Galbatorix ne veut pas qu'on raconte son histoire et que Brom pourrait avoir de gros ennui si ça se savait. Alors pourquoi mettre des fairths racontant sa vie dans la salle du trône?)

Tout simplement parce que je considère qu'il peut raconter sa vie au impériaux. la suite c'est bientôt. Sinon, merci de ta remarque , j'avais un peu oublier.

Chapitre 2: La libération

Sur les bords de la rivière Jiet, se dressait le campement des vardens. Des tentes avaient été dressées pour pouvoir loger les nains et les elfes qui arriverait dans deux semaines. Eragon, accompagné de Saphira, se promenait dans le camp, regardant les gens s’entraîner à l’arc, à l’épée ou tout autre maniement d’une arme. Les hommes qui ne s’entraînaient pas s’occupaient de leur cheval ou nettoyaient leurs armes. Malheureusement, les vivres baissaient très rapidement et la famine commençait à se propager. Eragon pensât à Murtagh, puis à Oromis et enfin à Roran. Il lui avait promis qu’ils partiraient dans deux jours libérer Katrina. Une journées s’était écoulée: ils partaient donc demain. Mais il avait oublié de demander à Nasuada la permission.
Il courut vers la tente de Nasuada en se maudissant de ne pas lui en avoir parler plus tôt. Saphira lui dit:
- Tu aurais dû lui parler d’abord avant de promettre à Roran.
- Pas la peine de me faire la leçon, répliqua-t-il. Tu aurais dû me le rappeler !
Ils arrivèrent devant une grande tente. Eragon demanda à un des gardes si il pouvait parler à Nasuada. Le garde répondit en souriant:
- Tu as de la chance, il y a à peine cinq minutes elle était en réunion.
Eragon entra à l’intérieur et raconta à Nasuada leur projet pour sauver Katrina.
- Non, dit Nasuada. Je ne peux pas prendre le risque qu’ils te capturent.
- Mais..., commença Eragon.
- Si nous te perdons, il y aura trois dragonniers de l’autre côté et aucun du nôtre
(Sauf si tu préfères mourir, dans ce cas là, il y en aura deux).
Je suis désolé pour ton cousin mais il devra y aller avec des urgales, ou des elfes ou encore des nains.
- Je comprends ton inquiétude mais je dois y aller, les Ra’zacs ne pourront rien contre moi, Saphira et Roran.
- Eragon, je suis plus que désolé, mais tu dois comprendre ma réaction. Je n’ais pas le choix
- C’est bon, j’ais compris. Je n’irai pas.
Il sortit de la tente, furieux, quand Saphira s’incrusta dans son esprit:
- Elle a raison, tu n’as qu’à laisser Roran. Je suis sûr qu’il se débrouillera très bien avec une escorte.
- L’escorte ne suffira pas et je n’ai pas envie de perdre mon cousin. J’ai déjà perdu Brom et Murtagh.
- Dans ce cas là, force le à ne pas partir.
- Je ne pourrai pas, il ne voudra pas m’écouter. Et d’ailleurs, continua-t-il, j’irai avec lui qu’elle ne le veuille ou non.
- Réfléchis avant de te lancer tête baisser. Pense à ce que Brom ou Oromis t’aurait dit.
- Ils m’auraient dit de ne pas abandonner mes amis. Donc nous partons demain, comme prévu.
- Bien, moi je suis fatigué donc je vais me coucher.
- Moi aussi
La nuit était tombée peu après être sortit de la tente de Nasuada. Le calme s’était installé. Eragon se dirigea vers la tente qu’il partageait avec son cousin. Saphira se mit en boule devant la tente, ne pouvant pas entrer. Eragon lui dit bonsoir et ajouta:
- Je t’aime
- Moi aussi petit homme.

Le lendemain matin, Eragon, Roran et Saphira se levèrent très tôt. Le soleil ne s’était pas levé. Eragon scella Saphira, il prit des vivres et les fixa à la scelle. Il prit son arc, emprunta une épée à l’armurerie. Roran, lui, prit son marteau et une petite épée.
Ils montèrent su Sahira. Roran monta derrière son cousin et s’accrocha aux lanières qui servaient à rester en place lors de dangereuses acrobaties.
Saphira décollât, prit de l’altitude et se dirigeât vers Dras-Leona.
- C’est étrange comme sensation, dit Roran
- Oui, mais une fois que tu y seras habitué, tu aimeras ça.
Environ une heure plus tard, ils virent le mont Helgrind. Saphira se posa au pied de la montagne. Eragon et Roran descendirent d’elle. Le soleil s’était levé pendant le voyage.
- Montons en haut, dit Eragon. Mais soyons sur nos gardes.
Ils commencèrent à monter, la montagne, doucement. Eragon étendit son esprit pour repérer les êtres vivants. A sa stupéfaction, il ne trouva aucune trace de vie. Pas un petit insecte, pas même un brin d’herbe. L’ascension était pénible. Arrivés au sommet, ils virent un sombre et étroit tunnel. Saphira leur dit:
- Je ne pourrai pas vous suivre, j’attendrai en bas, appeler moi si vous avez un problème.
Après l’avoir écouté, ils s’engouffrèrent dans le tunnel et disparurent dans le noir.

Ils progressaient lentement dans le tunnel qui était de plus en plus étroit. Eragon dit:
-Garjzla !
Une petite lumière apparut dans sa paume et éclaira le tunnel. Ils arrivèrent à une bifurcation. Le tunnel se divisait en trois autres. Lequel prendre ? Eragon étendis une fois encore son esprit et réussit à trouver un être au bout du chemin de droite. Mais il n’arriva pas à l’identifier. Ils prirent donc le chemin de droite qui montait en pente raide. Plus tard, ils arrivèrent encore à deux bifurcations. Ils allèrent à gauche et enfin tout droit. Débouchant dans une petit salle éclairer par quelques torches fixer aux murs, Roran poussa un cris. Katrina était attaché à un pur, à coté, les restes d‘un homme à moitié dévoré gisait par terre. Eragon relâcha sa magie et la lumière sur sa paume s’éteignit. Puis, il s’approcha d’elle et s’écria:
- Jierda !
Les anneaux qui emprisonnaient Katrina s’ouvrirent et elle tomba dans les bras de Roran. Elle était évanouie. Roran remarquât qu’elle avait de nombreuses cicatrices. Son visage était pâle. Elle respirait faiblement.
- Il faut partir d’ici en vitesse, dit Eragon.
Ils s’apprêtaient à partir quand ils entendirent un bruit dans le tunnel. Eragon sortit son arc et encocha une flèche, visant la sortie du tunnel. Roran sortit son marteau.
Ils attendirent deux minutes. Quand ils virent à la sortie du tunnel, un Ra’zacs.

A suivre

voilà, dites mois vite ce que vous en pensez ? le chapitre 3 arrive demain

Si tu veux que ton histoire colle avec les faits connus, tu devrais intégré l'extrait publié sur internet: http://www.eragon-shurtugal.com/extrait-tome3.pdf

ma suite n'a pas à coller avec la vrai vu que c'est la mienne et non celle de christopher paolini.

Moi, je dis juste ça comme ça, tu fais ce que tu veux c vrai qu'un peu d'originalité ne fait pas de mal (pour un fois que je suis d'accord avec les profs).

lol !

Le problème c'est que j'arrive jamais à trouver le petit truc qui va rendre ma disserte originale surtout en anglais ou en Allemand (surtout en Allemand)

la suite, je la poste lundi soir

Eh bien, a lundi! *regarde à gauche, regarde à droite* Ya vraiment que nous deux sur ce topic.

Belle histoire Sruikan! Je la suis depuis au moins 5 bon jours en attendant la suite!!! Vive la suite