Celebrindal Archer Elfique
Nombre de messages : 356 Statut | Rang | Clan : Archer | Armée elfique Age du personnage : 30 ans Date d'inscription : 30/06/2006
| Sujet: Celebrindal Wilwarin [Validé] 16.07.12 19:39 | |
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Celebrindal Wilwarin
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• Âge du personnage :30 ans • Clan rejoint :Armée elfique • Race :Elfe
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>>> Aspect physique. • Physionomie : Celebrindal est un elfe tout ce qu'il y a de plus reconnaissable ne serait-ce que par ce tatouage sur le visage, commun à tous les Wilwarin. Jeune, une allure un peu fière et un visage agréable. Sa peau nette et ses yeux noisette lui donnent ceci dit un air sage. Sentiment accentué par ses cheveux longs et noirauds. Plutôt grand, il arbore un visage assez fermé. Sourcils très fins, yeux en amande, nez court et droit, seul sa lèvre inférieure vient pulper légèrement le tout terminant sur ses petites oreilles pointées vers le ciel et percées par quelques ornements. Fin et élancé, l'archer est plutôt bien dessiné mais ceci a peu d'importance. En effet, il se cache continuellement sous un amas de vêtement.
• Vêtements : Pour commencer, il porte aux pieds des bottes courtes en toile. Ses jambes sont couvertes par un pantalon assez serré du même produit bleu ardoise dont les genoux et tibias sont protégés par une armature brune en cuir. Le tout bouclé par une ceinture lui tenant fermement la taille. Pour le haut, Celebrindal porte une cotte de maille près du corps. De la même façon, un vêtement en tissu à haut col lui couvre l'abdomen et les bras jusqu'aux poignets. Par-dessus, d'autres gardes en cuir brun viennent agrémenter sa tenue au niveau des avant-bras et des épaules notamment. Pour terminer, une grand cape attachée au niveau de la poitrine par une chaînette noir et touchant presque terre lui part du haut du dos. Notons également quelques décorations eben et plumeuses lui donnant un style bien à lui, ainsi qu'un collier biscornu constellé d'aigues-marines de toutes tailles. >>> Aspect psychologique. • Psychologie : Plutôt sociable, le cavalier n'est pas très difficile à cerner. C'est un touche à tout qui aime partager et transmettre. Compréhensif, aimable et un tantinet charmeur, rares sont les gens qui n'apprécie pas sa compagnie. Il a une forte propension à l'empathie et se met facilement à la place des autres comme pour prendre sur lui une part de leur souffrance. Très impliqué dans ce qu'il fait, il déteste les gens qui abandonne et tente tout ce qu'il peut pour motiver les autres. Pourtant, il n'a pas que des qualités. Éduqué dans un cercle de proches très propre sur lui et aux attentes bien définies en ce qui concerne ses descendants, l'elfe vit dans la retenu et ne s'accorde aucun écart.
Doté d'un charisme prononcé, il se plait à transmettre son énergie parfois débordante. Ceci étant, Celebrindal est quelqu'un de très lunatique. Son humeur peut réellement changer du tout au tout en un rien de temps. Il tente tout de même de ne pas trop faire subir ça aux autres et préfère s'isoler lorsqu'il se sait dans un tel état. N'aimant pas trop les gens réservés et mélancoliques, il sait à quel point c'est désagréable.
Ces épisodes restent néanmoins plutôt rares et d'ordinaire, c'est une personne réfléchit, sûre d'elle, décideuse et dynamique.
• Particularités : En communion avec son environnement, l'elfe est un fin pisteur et un débrouillard hors pair en extérieur. Construction d'abris, confection d'arme unique, concoction d’élixir aux plantes, il connait énormément de chose sur la nature et la faune locale. Ami des bêtes, il est doué d'un talent particulier pour les approcher et parfois les apprivoiser avec aisance. C'est sans aucun doute un atout majeur pour les gens qu'il accompagne. >>> Biographie. • Histoire :
Mon nom est Celebrindal. Un citoyen du beau peuple issu de la lignée prestigieuse des Wilwarin. Je suis né il y a trente ans au coeur de cette immensité boisée qu'est Du Weldenvarden dans la belle cité elfique d'Ellesmera. Les Wilwarin. Une famille noble au fortes valeurs morales, encrée dans le royaume depuis la nuit des temps et réputée pour les capacités de ses dignitaires autant que pour la place qu'elle détient au sein du patrimoine sylvain.
LA DESTINEE
Mes parents m'ont chéri, couvert d'amour durant mes dix premières années. Eduqué par des gens droits et sociables, je suis longtemps resté protégé par ce cocon familial. Mais dehors, la guerre faisait rage et comme bon nombre de mes semblables, je devais l'affronter ou fuir. Ce n'est toutefois pas moi qui ai pris cette décision. Ma famille a toujours été une adoratrice pure et simple du royaume et elle jura fidélité au couronnement d'Elenoy.
J'ai donc été envoyé en toute logique dans l'armée elfique. Les entraînements étaient longs et intensifs, mais quel bonheur retrouvé de rentrer à la maison et de voir ses proches le soir venu. Durant quelques années, j'ai appris beaucoup. Le respect des autres et de la hiérarchie. La rigueur et la ponctualité. Nombre de valeurs dont j'avais déjà les bases les plus solides. Mais j'ai aussi appris une des choses qui allaient me servir pour le restant de mes jours. Me battre. Et j'étais pour mes camarades un adversaire très coriace. Ce qui en définitive ne surprenait personne étant donné mon nom. J'ai d'ailleurs toute ma vie et encore aujourd'hui été jugé et surtout attendu au tournant grâce - ou à cause qu'en sais-je - de ce patronyme.
LA MILICE
Ma quinzième année a sonné la fin de mon apprentissage en tant que soldat sylvain. Je devais maintenant passer à l'étape suivante. Intégrer la milice. Cette division dont le rôle était de garder la ville. Des rondes, des surveillances, des pauses déjeuner, voilà ce qui rythmait la vie des miliciens. Le jour suivant mon inscription au registre de cette section, j'ai directement été envoyé à Tialdari Hall. Cette forteresse était tout simplement mythique pour moi à cette époque. Je n'en croyais d'ailleurs pas mes oreilles le jour où l'on m'a confié ça. C'était mon tour. Mon tour de voir la reine. Mon avènement. J'allais moi aussi jurer fidélité . Le moment était tellement important pour moi je j'ai même eu du mal à ne pas trembler lors de la cérémonie. Cette figure si importante m'impressionnait et me donnait des frissons. Voilà la personne que je devais protéger plus que ma propre vie.
Ma première année en tant que soldat de milice ne s'est pas déroulée à Ellesmera. J'ai été envoyé à Kirtan. Un petit village au sud à l'orée de la forêt. Véritable passage vers et depuis Du Weldenvarden, mon premier poste consistait à contrôler les personnes que mon supérieur m'ordonnait de contrôler aux portes du hameau. Mon responsable s'en ai d'ailleurs donné à coeur joie et son sourire vicieux et quotidien semblait me dire : "Tu es peut-être un Wilwarin, mais je te marche dessus et tu n'as rien à dire." Une tâche fastidieuse et quelque peu insipide lorsque l'on savait ce qui se passait à l'extérieur. Or, je n'en avais pas la moindre idée. Bien sûr, j'avais entendu beaucoup de choses, mais comment savoir à quoi s'en tenir. Rumeurs, bruits de couloir, légendes et bizutages gentillets, difficile de se faire avis. L'épisode le plus malheureux de ce premier job m'est pourtant resté gravé. Au sens propre comme au figuré.
Un soir de pleine lune, un groupe d'impériaux a tenté une intrusion. Pour la première fois confronté à la réalité d'un combat, je me suis fait ouvrir le dos et une cicatrice épaisse de deux centimètres et longue de vingt-cinq me rappelle tous les jours de ne jamais tourner le dos à un ennemi. Même à terre.
Ceci dit, cette année a été une bonne formation et je suis rentré au bercail plus déterminé que jamais à m'améliorer et a gravir les échelons au sein de l'armée. Ne serait-ce que pour honorer ma famille gavée d'excellents soldats et d'intellectuels érudits. Certains même vivent dans l'opulence du palais royal.
Après une permission d'un mois, j'ai réintégré la milice et ma seconde mission m'attendait déjà. Une garnison dans un poste avancé d'Ellesmera. Une tour de bois dans laquelle je suis resté deux semaines durant. Ce sentier n'étant emprunté par aucun voyageurs et bien loin des routes commerçantes, les ordres étaient clairs. Tirer à vue. Muni d'un arc, moi et mon partenaire devions abattre tout ce qui bougeait. Pour être franc, nous avons bel et bien eu recourt à nos armes, mais pas pour empêcher les envahisseurs de progresser. Nos cibles se sont résumées à des pigeons et autres lièvres constituant nos pitances quotidiennes. Nous nous sommes plusieurs fois demandés à quoi servait cette tour et si nous étions réellement utile ici. La seule vraie action dont nous avons été témoins a été un départ d'incendie dans l'édifice.
Lassé de cette charge, je suis rentré après quinze jours accompagné d'une lassitude sans nom. Moi qui croyait avoir un peu plus de responsabilités après ma première année dans l'armée, je m'étais grandement trompé car ma seconde affiliation a été encore plus ennuyeuse que celle d'avant.
Le temps passait et mes affectations diverses avec. J'ai fini par intégrer la cavalerie. Toujours dans la milice, ma mission consistait à effectuer des rondes la nuit dans la cité. Le tout à cheval. Cette tâche était très éprouvante et j'ai mis un sacré bout de temps à me faire à ce rythme nocturne. En contrepartie, j'ai développé un lien très fort avec la race équidé. Jamais sur la même monture, j'ai sellé la totalité des écuries d'Ellesméra. Je suis devenu par la même occasion un jockey hors pair tant en terme de dressage que de monte. Très crainte, la ville ne me donna que très peu de file à retordre et mes interventions se limitaient à m'occuper de délits mineurs. Vols, intrusions, agressions et dégradations. J'ai néanmoins trouvé un très gros avantage. Mes journées étant libre, je pouvais m'adonner à deux de mes passe-temps favoris qui, au fil des mois, sont devenus de véritables passions. Les chevaux et le tir à l'arc.
[size=18]LA LEGION
Une nouvelle année est passeé et à maintenant dix-huit ans et quelques mois, l'heure était venue pour moi de passer la seconde. Après un rendez-vous avec un haut fonctionnaire militaire, j'ai été propulsé directement dans la légion. Là, plus question de rondes, de patrouilles, de surveillance, de postes avancés. Plus question de rester bien caché dans l'immensité de la forêt. C'était les missions extérieures, les troupes, les ordres de chefs de file et les campements qui m'attendaient.
Cinq ans. Une demi décennie durant laquelle j'ai véritablement appris tout ce que je sais aujourd'hui. Lorsque je ne livrais pas de bataille, je m'usais les doigts à chasser non pas pour deux personnes, mais pour cinquante. Tailler des flèches par centaines et confectionner des arcs robustes. Battre la campagne à dos de cheval pour transmettre un message à un autre régiment. Brosser les montures de quinze cavaliers tous les trois jours. Monter des tantes, allumer des feux et construire des tables de fortune avec du bois et des cordes pour que nos dirigeants puissent étendre leurs cartes et élaborer les plans d'attaques qui allaient nous sauver la vie. Mes partenaires sont devenus des frères, mes chefs des pères et mes ennemis de véritables proies dont ma pitié disparaissait à petit feu au fil du temps. C'est à cette époque que mon aversion envers l'empire s'est développée jusqu'à son paroxysme. Non pas les impériaux eux-mêmes, les personnes, mais bien cette idéologie et cette façon d'agir qui me faisaient froid dans le dos.
J'approchais de mes vingt-quatre ans lorsque je suis rentré chez moi. Je ne suis pas jamais revenu en cinq ans, mais mes apparitions se limitaient à quelques jours. Là, on m'offrait un mois. Un mois pour me ressourcer et attendre mon prochain poste : Le commandement d'une infanterie de cavalier. J'allais rejoindre une nouvelle fois un régiment de cinquante soldats dont quinze cavaliers, mais cette fois-ci à un grade tout autre. Terminé l'employé de service. J'étais en charge de la coordination des elfes à chevaux. Je recevais mes ordres du chef de file et les transmettais à mes subordonnés. Second dans la hiérarchie avec les trois commandants de l'infanterie à pied, ce statut d'intermédiaire me plaisait et me rendait très fier. Tout comme l'on été mes parents juste avant mon départ.
Cela fait maintenant cinq ans et six mois que je détiens ce poste. Je suis à la lisière de mes trente ans et les journées sont longues, se suivent et se répètent. Le train-train quotidien commence à me peser et j'aimerais réellement qu'on me rappel pour m'offrir un peu de repos et une autre situation. Ceci dit, j'aime servir mon peuple et je pense avoir déjà prouvé ma loyauté.
• Famille : Père et mère nés à Ellesmerra, le guerrier n'a aucune origine douteuse. Sa vie familiale est tout ce qu'il y a de plus enrichissant. Pour la plupart guerriers talentueux ou érudits respectés, certains Wilwarin vivent même à Tialdari Hall et conseillent la reine en personne. Celebrindal vit dans la retenu et l'encadrement d'un patrimoine familial relativement guindé d'où ne s'extirpe aucune folie. >>> Arme de prédilection/ >>> Question subsidiaire. • Comment avez-vous connu le forum ? : top site
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Elenoy Reine des Elfes et Maître Dragonnière
Nombre de messages : 4551 Age : 31 Localisation : Question à laquelle je ne veux pas répondre Statut | Rang | Clan : Maître Dragonnière | Reine des elfes | Varden Votre Dragon | Arme : Miremel | épée elfique + lance rétractable Age du personnage : 24 ans en apparence Date d'inscription : 29/06/2006
| Sujet: Re: Celebrindal Wilwarin [Validé] 16.07.12 21:16 | |
| Pour moi c'est oui comme tu es ancien. Tu as le droit de garde ton personnage après tout ! Rebienvenue sur le forum, je valide ta présentation =). Amuse-toi bien parmi nous | |
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Balmung Dragonnier
Nombre de messages : 703 Age : 30 Localisation : Dans un coin reculé Statut | Rang | Clan : Elfe | Dragonnier et ambassadeur des elfes | Vardens Votre Dragon | Arme : Kite | Mes épées: Sol et Skölir/un arc Age du personnage : 129 Date d'inscription : 06/08/2006
| Sujet: Re: Celebrindal Wilwarin [Validé] 17.07.12 11:40 | |
| Rebienvenue Celebrindal, ça fait plaisir que certains anciens se souviennent encore de nous | |
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| Sujet: Re: Celebrindal Wilwarin [Validé] | |
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