Retour chez soi! Besoin de mission!(PV: Général rebelle)

Enfin, Orfink et Godor arrivèrent chez eux, après une très longue absence. Orfink était très heureux de pouvoir enfin se reposer chez soi dans son lit. Mais il ne fallait pas se réjouir trop vite, peut-être qu'une autre mission allaient lui être proposé, quoi qu'il en soi, Orfink acceptaient toujours les missions, espérant devenir un jour Freorh ou bien encore un commandant d'une certaine troupe, mais avant de passer à cela il lui fallait remplir cette liste: 1. Remplir ces fonctions de simple soldat honorablement. 2. Lui trouvé une nouvelle épée, car Sabroker n'était plus. 3. En apprendre beaucoup, beaucoup plus sur la magie.
Trois chose bien simple qui ferait de lui un bon combattant. Ils approchaient de Carvahall, Godor monta dans les nuages pour que les villageois ne puissent le voir, et dès qu'il était au-dessus de l'entrée du repaire, il piqua , à toute vitesse, il fonçait tout droit, si les villageois l'auraient vu, ils auraient pensés que se serait une étoile filante... En plein jour! Godor ouvrit grand ses ailes à une dizaine de mètres avant d'arriver au sol. Il se déposa légèrement, puis s'avança vers les 5 gardes qui gardaient l'entrée. Il le regardèrent un instant, le connaissant il lui firent signe de passer. Mais Orfink ne bougea pas, il déclara alors à l'intention des gardes:
-Vous faites preuves d'un manque de prudence inouï! Je pourraient bien être un soldat des Vardens ou de l'Empire déguisé... Maintenant, vous allez me demandez le mot de passe et ensuite vous me laisserez entrée!
Le garde le plus près de Godor et d'Orfink était apeuré, mais il leurs demanda tout de même:
-Quel est le mot de passe, monsieur?
Orfink leur communiqua et entra dans le repaire, le bruit des épées s'entrechoquant et le sifflement des flèches lui firent chaud au cœur lorsqu'il s'approchaient des terrains d'entrainement. Il ne voulait pas aller tout de suite s'entrainer, il voulait se reposer et attendre d'avoir un nouvelle ordre. Il passa devant le terrain, et descendit au sous-sol, là était ses appartements, avec les autres membres des Rebelles, la porte était faite pour un dragonnier et son dragon, la porte était énorme! Bien sûr Godor y passa sans difficulté, car il était encore jeune, bien qu'il grandissait sans cesse, il n'était pas encore assez grand pour se pencher. Ils déballèrent leurs affaires, et allèrent se coucher. Orfink dormit paisiblement, Godor aussi, leurs rêves étaient joins. Un bruit retentit et réveilla Orfink, il se leva et accouru vers la porte, l'ouvrant, il s'aper^cut qu'il n'y avait personne. Le bruit n'était en fait qu'un fruit de son imagination. Orfink se dirigea vers son lit, étant en train de se coucher, il pensa qu'il était temps de faire son rapport de mission à L'ex. Il avait bien hâte de faire son rapport, car sa mission fût assez bien rempli, pas parfaite, mais assez bien rempli. Il se leva de son lit, enfila son armure, mit ses dagues sur son dos, ainsi que sa lance, son arc-à-flèche et son carquoi. Il ne manquait qu'une seule chose, son épée, qui était maintenant dans un cadre dans sa chambre. Il sortit de ses appartements, accompagné de Godor, il montèrent rapidement les marches et aboutir devant la grande porte qui marquait l'entrée du bureau de l'ex. Il cognèrent trois fois et attendirent qu'il leurs ouvrent la porte...

Il y a trois long jours que L'exécuteur s'est enfermé dans son bureau sans en sortir, sans demander à boire ni a manger. Personne ne l'a vue arpenter les longs couloirs blanc et violet du repaire pourtant traverser de jour comme de nuit par les rebelles. Personne ne s'en inquiète vraiment car c'est ce qu'il fait à chaque fois qu'il revient de ses sorties pour des missions personnelles, ou communes aux rebelles.
Suite aux trois coups d'Orfink on entendit un grondement émanent de toutes l'antichambre dans laquelle il se trouve. Quand ce grondement prit fin les battants de la porte s'ouvrirent de manière à laisser passer un homme. Quand les battants s'ouvrirent. L'exécuteur est assis derrière un grand bureau de cinq mètres de long et de deux de large, grossièrement taillé à même un tronc de hêtre. L'exécuteur ne porte plus son long manteau qui lui aurait recouvert le visage. Cependant il porte toujours son habituelle tenue de cuire permettant de ranger une dizaine de dague. Devant lui, s'étend des centaines de parchemin corné, annoté, sur sa droite, sur un prolongement perpendiculaire à la table, un pot d'ancre et sa plume sont installé en-dessous d'une lampe à gaz. L'exécuteur ne leva pas la tête pour saluer Orfink et continua comme si de rien n'était d'écrire une missive à l'intention d'un détachement de soldat installé dans les dunes du désert de Hadarac qui lui font part de leur inquiétudes quant à la présence dans le désert de puissant sorciers.

Sans attendre plus longtemp, Orfink perçu une présence de le bureau de l'ex, il entra. Voyant que l'ex travaillait à son bureau, il se dit qu'il valait mieux lui parler tout de suite que d'attendre. Alors Orfink prit la parole:
- Bonjour chef! Je suis revenu hier de la mission que vous m'avez confié. J'ai les documents que vous m'avez demandé de trouver, cependant, il y en avait un qui n'était pas dans la chapelle de Dras-Leona. Mes soldats ont fouillé en vitesse les autres armoires, mais aucune ne fesait rapport à ce que vous m'avez demandé de vous apporté. Moi même, je n'ai aucune idée de ce que cache c'est documents, monsieur.
Orfink lui remit les 12 documents, le treizième n'était pas là. Chaque document avait le même insigne, une sorte d'épée planté dans le coeur d'un vautour souffrant des flammes que lui lançait un dragon. Orfink la trouvait assez belle, aucune n'était tâché de sang, en effet, la mission avait été brève, après tout, les soldats de l'empire était beaucoup plus nombreux et tapait sur les portes pour rentrer dans la pièce, il fallait faire vite pour ne pas se faire démolir! Et enfin Orfink reprit la parole:
-Je suis désolé mon chef, j'ai échoué...
Laissant la phrase en suspent, Orfink regarda l'ex attendant qu'il relève la tête...

L'exécuteur s'adossa à sa chaise et pris d'un aire distrait les papiers que lui tendent Orfink. Il avait déjà eu connaissance du contenu de la moitié mais il ne le fit pas remarquer et prit le temps de lire et de comprendre la signification du reste en grattant son menton sans s'en rendre compte. Au bout d'une dizaine de minute de lecture interrompue par quelques mots griffonner sur un papier il daigna enfin levait les yeux vers Orfink qui reste stoïque devant son bureau.

-J'ai été informé de ton échec par un des magiciens incorporé dans la cité de Dras-Leona. J'y est déjà renvoyé deux hommes qui ont un plan pour rentrer dans la chapelle sans se faire remarquer. J'espère en revoir au moins un avec le document souhaiter bien que surement obsolète quand il me sera rendu.

Le regard du tueur est insistant et il sentait que son interlocuteur a du mal à le soutenir. Le but de cette tirade est donc atteint.
L'exécuteur se leva et contourne son bureau, Orfink en profite pour détourner son regard. Le tueur se posa sur un coin du bureau et continua.

-Tu n'est pas sans savoir que depuis quelques temps nos milice sont sans cesse détecté et éliminé par les empiriens ou par des nomades. Ça devient intolérable et je compte bien y remédier en formant un nouveau corps de milice plus puissant et plus efficace que l'ancien. Pour cela j'ai déjà former une dizaine de magicien qui s'incorporeront d'eux même dans les rangs des nouvelles milices. Le nombre de milice en circulation sur le territoire va être diminuer mais leurs effectifs vont être augmenté et deux autres milices seront mis au repos forcer dans nos murs pour une période que je déterminerai plus tard. Il me faut donc à la tête de ces milices des hommes dont l'efficacité solitaire est réduite comparé à d'autre mais dont les capacité et leur loyauté ne sont plus à remettre en cause.

L'exécuteur se retourna et s'étendit de tout son long sur le bureau pour prendre la plume et un morceau de parchemin. Il écrivait dessus tout en disant:

-C'est pourquoi je vais te nommer chef de milice, tu dirigeras donc quarante hommes qui devront agir contre l'empire, les vardens et nos potentiels ennemis sans se faire prendre, ils n'auront aucune aide de notre part pour se nourire et se loger. Quarante et un hommes et un dragon qui agiront sans prendre mes ordres directement, mais qui agiront comme je l'ordonne sans discutions. Il faudra bien sur que Godor fasse attention à ne pas se faire voire.

Orfink avait détourné le regard, couvert de honte, mais lorsque l'ex lui dit qu'il était chef de millice, il dirigea rapidement ces yeux vers l'ex. Surpris, il regarda Godor par l'entrebaillement de la porte. Il était tout aussi que Orfink de cette nouvelle. Orfink se raprocha de L'ex et lui tandit la main, celui-ci la serra et lui passa un papier. Orfink s'apprèta à sortir, mais il se dit qu'il valait mieux demandé à l'ex si il y avait quelque chose d'autre...
-Y a-t-il quelque chose d'autre, chef?
Orfink le regarda, pas dans les yeux tout de même, mais il fixait son visage d'elfe...