Et si l'agneau se changeait en loup ? [Bon RP svp]

Si dans la pâleur de la nuit, et dans la lumière d'un quartier de lune, vous distinguez une jeune fille aux cheveux blonds presque blancs, tombant raides sur ses épaules dénuées, monter un étalon à la robe sombre, ne la défiez pas.

Eluna arrêta Brume d'un sifflement à peine audible. Une brise glaciale éleva sa chevelure derrière son dos, mais elle ne frissonna pas. Elle n'était pourtant vêtue que d'un simple chemisier dont les courtes manches retombaient sur ses bras minces et blancs. Elle avait opté un pantalon de toile léger, certes moins valorisant, mais tellement plus pratique qu'une robe. A ses poignets, le même serpent argenté qu'elle avait reçu dix-huit ans plus tôt, à sa naissance, s'enroulait et appuyait sur sa peau.
D'un geste plus élégant que jamais, et en une seconde, elle sauta de sa monture pour retomber sur le sol froid et dur d'Urû'baen. Quant ses bottes touchèrent le sol, aucun son ne retentit. Seul un nuage de poussière s'éleva dans l'air et retomba rapidement.
Eluna avait changé, elle devait l'admettre. Sa douceur et son innocence, elle les avait jetés au plus profond d'elle même. Son regard, autrefois si clair, était à présent d'un pourpre sombre de dureté. Oui, tout en elle était dur. Sa peau était blanche, presque lumineuse. Ses formes, plus élancées.
Cela faisait quatre mois entiers qu'elle avait disparue. Pendant son voyage, elle en avait appris plus sur elle que en dix ans. Ses sens étaient maintenant surdéveloppés ; elle pouvait sentir un de ces ignobles Urgals à plus d'un lieu. Sa vue était perçante, son ouïe attentive. Sous ses doigts fins qui tenaient la bride de Brume, elle percevait le moindre défaut de couture, la moindre égratignure du cuire. Son visage ne transgressait aucune expression ; ni nostalgie, ni tristesse, ou même ni joie de retrouver sa ville natale.
Elle plissa les yeux, ses cils noires et épais se rencontrant presque. Une seule chose la perturbait, la réaction de ses proches. Urû'baen n'avait pas changée, toujours aussi sombre et malsaine. Parfaite pour son nouveau départ. Elle avança de quelques pas d'une démarche à la fois silencieuse et gracieuse. Aujourd'hui, Luni était belle, mais d'une beauté froide et enflammée en même temps. D'une beauté dangereuse. Soudain, en une fraction de seconde, elle se retourna. Quelqu'un la suivait, elle ne pouvait en douter.

Voilà une année que le jeune homme était arrivé dans ce monde don il ne connaissait que les bases, les voyages dans le temps étaient durs à anticiper, de combien d’année avait-il bien pu avancer, dure à dire, mais il n’avait pas lieu de s’alarmé en cette fraiche nuit. Le jeune homme de 17 ans était couvert de sang frais, un urgal avait essayé de lui tendre un traquenard, ceci avait été bien organisé pour un seul urgal solitaire, mais pour un homme telle que Drizzt, c’était quasi impossible de le tuer seul, même si le Drizzt que l’on pouvait voir aujourd’hui ne semblait pas appartenir a ce temps. Reste que le jeune homme avait pu sans aucun mal évité le piège et les deux coup d’hache double dans son dos et répliqué par la suite d’un seul coup de pied au visage de l’urgal, c’était tout a fait normal qu’un simple coup de pied ne dérange pas un homme presque deux fois la taille de Drizzt, mais la lenteur de l’urgal était flagrante, le jeune homme pouvait évité tout les coups de la hache de son adversaire avec une grande facilité, et entre temps il réussi a sortir son arme la plus imposante, un Fuuma Shuriken et pu enfin mettre fin a ce combat médiocre en tranchant son adversaire a la vertical. Ce qu’il dit a la fin de ce combat était évidant, mais tout de même il le dit

-Sängh!

Quelque minute après il était assit dans un sentier près d’une pierre, un tissu a la main droite et son arme dans l’autre a l’essuyé et une seule penser a tête.
*Quel gâchis, t’utiliser pour un simple urgal, si seulement j’aurais pu seulement l’assommer au premier coup, mais non, il on la tête trop dure.*
Le jeune homme fini d’éponger le sang sur son arme, celui sur ses vêtements il s’en foutait, cela ne paraissait pas trop, du rouge sur du noir, sa reste noir, il aurait toujours pu s’essuyé le visage, mais trop tard, il devait s’éclipser, une vois féminine s’adressait a une autre femme et avec l’allure que le jeune homme avait en ce moment, ces deux femme si elles n’étaient pas plus pourrait le prendre pour un vulgaire voleur ou un assassin. En un instant il avait disparut de son emplacement et était dans le haut d’un arbre, pas qu’il est utiliser un pouvoir, mais sa vitesse était telle que personne n’étant pas habituer de voir ses mouvement ne pouvait le voir ce déplacer, surtout dans la nuit. Drizzt ne s’avait pas vraiment comment, mais il remarqua que la femme a la chevelure blonde ce doutait que l’autre femme arrivait, et avec la phrase de l’autre femme, ce ne pouvait pas être un rendez-vous, donc elle pourrait très vite repérer l’intrus a la seime de son arbre surtout avec le presque qu’inaudible son que les quelque goute de sang faisaient en percutant le sol 5 mètre plus bas. Le jeune homme prépara 4 de ses Shuriken, s’il était repérer, il préférait attaquer le premier.

HJ : OH M*RDE ^^. J'avais pas vu ta réponse Malthinae, désolé.

Un sourire froid s'étira sur les lèvres d'Eluna. Elle laissa sa sœur pénétrer dans son esprit et avança elle aussi lentement en sa direction. Dans la pénombre, elle ne savait pas trop si Malthinae remarquerait son léger changement physique. Elle corrigea :

- Tu veux plutôt dire, qui on peut rencontrer.

Un léger rire sortit de sa gorge. Quand Malthinae fut assez proche. Eluna exerça une légère courbette sarcastique en signe de respect et ajouta :

- Mademoiselle la seconde du Roi.

Malthinae elle aussi changeait de jours en jours. Elle paraissait plus femme, plus mature. Mais la même teinte rouge dans ses pupilles s'enflammait. Tout en la contemplant, elle continuait de sourire. Sa sœur était une des rares personnes qu'Eluna admirait. Une fierté de sang en quelque sorte. Son sourire s'évanouit en une fraction de seconde et sa mâchoire se crispa.
Un minuscule bruit, qui n'était ni celui du vent qui frotte la poussière, ni celui d'une feuille qui tombait d'un arbre l'avait interpelé. En réalité, sa semblait bien venir de l'arbre. Ne vérifiant pas que sa sœur l'avait aussi remarqué, elle s'approcha d'un pas léger, presque un flottement de l'endroit.

- Descendez ! ordonna-t-elle.

Qui donc se permettait de les espionner ?! Elles ne se voyaient même pas pour une mission.