Ou sont-ils? (libre tout le monde venez)

Le mal, le bien, il s’affrontait depuis des années, la mort et la vie se côtoyait chaque jour depuis des siècles, étions nous vraiment des monstre pour détruire un si beau monde? Je le crains, malheureusement. Peu de personne restait en vie depuis la belle époque, les guerres se faisait de plus en plus nombreuse, c’était la vie de tout être vivant maintenant. Et surtout, c’était ma vie. Peu de gens avais encore le courage de sortir de chez eux, la mort les guettait partout, les villes que j’avais parcourut était presque toute déserte, même les soldats de l’empire n’osait pu sortir. Pourquoi, je l’ignorais. Moi, au oui moi, je restais la, lasse de voir se spectacle, il n’y avait pu rien a faire qui vaille la peine dans se monde.
-J’en ai assez. Avais-je criez.
Mais aucune réponse ne s’offrait a moi, je tellement voulus rencontrer une nouvelle personne, avec un sourire au coin des lèvres me demandent, (Mais pourquoi en avez-vous assez.) Je savais que cela n’arriverais pas, a par d’ancienne connaissance, personne n’osait venir. Je lançai une pierre dans la ville déserte, une ville fantôme, ou rien n’y vie, enfin, a l’extérieur. Une colère que je connaissais très peu m’envahi, celle d’être toujours seul, avec seulement ceux que j’avais jadis connut, une peur étrange, le temps ou l’on faisait de nouvelle rencontre a tous les deux coins de rue était-il vraiment révolu. J’entendis ma pierre tomber au loin, dans une éco, aucune vois pour la camoufler. Dommage. J’avais tant espérer, quitte a me faire courir par l’empire.

Hj : tout sa pour dire qu’il n’y a pu beaucoup de membre qui poste et je trouve sa dommage, se forum mérite de vivre encore longtemps, alors ancien et nouveau, venez poster dans ce topic, il le mérite bien le forum d’avoir un deuxième souffle de vie.

Daret était déserte à cette heure de la journée et Gaby trouva cela très bizarre. La ville n'avait jamais été silencieuse à ce point. Elle s'avança vers le milieu de la ville quand elle entendit un cri.

-J'en aie assez.

Elle s'avança silencieusement vers le milieu de la ville et vit un homme de dos qui lançait un caillou. Gaby n'avait aucune idée de qui il pouvait bien s'agir mais, il ne semblait pas vraiment dans son assiette. Elle décida alors de lui parler. Disant sans le savoir la phrase que l'homme rêvait d'entendre.

-Et, pourquoi en avez-vous assez?

Elle était derrière l'homme, appuyée sur un mur.

Par au delà des mots, les frontières des cités. La lancune reignait dans la doctrine des pays suivis par l'appréhension qui voyagait au travers du continen de l'Alagaësia comme un brume altérant le climat. Apportant ainsi une charge de plus dans un monde déja dépourvu par la guerre et le sang des grands ou des pauvres. C'est dans cette univers qu'un homme cacher dans de sombre habit foulait à nouveau ce monde où il avait grandit. Dans l'aube rougeoyante, l'épaisse couche de brume, grise et spectrale, émanait de l'eau, comme un feu magique brûlait la surface du liquide. Les pats de l'homme se meulaient dans la poussière des chemins battuent. Il n'avait pas posée les yeux sur le pays de son enfance, depuis son départ d'Urû'baen pour une nouvelle terre. Huite longues années où il avait pu enfin prendre le temps de réfléchir pour lui même, Huite années pour se refaire une vie. Le prince Daragon avait quiter se monde dépouvu de paix pour la retrouver. Il avait enfin pu rencontrer quelqu'un sans que les dispute de pays ne les sépare, elle se nommait Mélusine, les yeux d'un bleus éclatant, quelque fois cachés par ses cheveux sombre soyeusement s'intillant. Cette déesse au yeux du jeune homme lui avait donné un fils. Mais, élas, jamais un homme ne poura vivre dans le calme éternel. La peste lui vola son épouse et déssima ainsi tout le nouveau monde. Alors, dans un chagrin éternel, L'homme pris la mer avec son enfant sur le dos de son dragon, le regard inondé par l'humeur de l'océan atriter par la mort.
N'importe où dans le paysage, le passé se bousculait, Daragon savait qu'ici se trouvait quelques ruines. Au nord se trouvait Daret, une petite masse tortueuse qui apparaissait comme une silouhette contre la mur de brume bordant son flanc ouest. L'homme avait gagné en maturité et en sagesse, bien que l'amour d'un père en est toujours. Au coté du prince marchait une petite silouhette:
- ... Viens-Matias...
Bientôt, ils entrèrent dans le village retrouvant alors une cités désoler, vide... seul un homme se tenait debout devant quelques ruines, écoutant l'échos que la pierre qu'il venait de lancé contre le fer et la bois. Une jeune femme se trouvait à ses côter, mais, il ne semblait ne pas la connaitre. Pourtant cette Homme rapelait quelque chose à Daragon. Ils en approchairent alors...

Moi qui avais demander que des personne arrête de ce terrer dans leur maison comme des lièvre dans leur trou, j’étais servie. Une vois au loin ce fit entendre, elle appelait une personne, Matias, cette vois, je l’avais déjà entendu au par a va, Daragon, il était mort d’après les rumeur des soldat de l’empire, la preuve qu’il ne faut jamais croire ceux sur le point de mourir. Le pas de l’homme et de son enfant était lent, juste ce qu’il fallait pour que je sois sure que c’était bel et bien le prince Daragon, des qu’il arriva assez près de moi, je me tourna en sortent mon épée du fourreau, et la pointa juste vis a vis l’œil de l’homme qui ne bougea pas.
-Toujours moins drôle de regarder qui arrive, vos mieux voir si ils ont les même réflexe qu’avant, content de te revoir prince.
Je rangea mon épée en souriant a Daragon, oui il était mon ennemis, mais il était aussi mon meilleur ami.


(Hj: désoler, mon post est cour, mais j'ai trop sommeille.

L’homme se dirigea en direction de Daret, à se qu’il voyait, ce n’était plus qu’un village fantôme où les ombres des anciens fouillait encore cette terre maintenant dépourvu de ses richesses. Sur un certain point, Daragon était heureux d’avoir quitté le continent pour un monde meilleur, mais à quel prix. Il était vrai qu’il avait fait la plus belle rencontre que le destin lui avait offert en cadeau, la preuve se trouvait à coté de lui en cette instant. La vie lui avait tant fait de présent avant de lui en reprendre la moitié, t’elle en est la justice de cette Terre. Cela avait prit six long mois ce dernier avant de pouvoir pardonner cette cruauté de la part du cosmos .
Daragon continua sa marche suivis de Matias, le soleil entamait ses derniers rayons avant de pouvoir prendre place dans les hauts cieux. La main placé sur le pommeau de son arme, il entra le premiers son jeune fils caché derrière lui. La première chose qu’il fut, ce fut de bloquer la lame d’une épée. Le sourire jusqu’au oreille, Daragon regarda son agresseur :
- Je vois que tes réflexes son toujours bon D… Drizzt!
Matias quant à lui resta immobile, regarda le dirigeant des rebelles obscure avec ses gros yeux bleus. Une petite mèche de cheveux descendu sur son front :
- Cela fait bien longtemps mon ami…

Gaby vit aussi qui était arrivé et reconnu le Prince. Voilà un impérial qui arrivait. Pour une Varden comme elle, ce n'était jamais bon. Elle commença à partir quand une petite main se glissa dans la sienne. Le petit garçon était venu la voir et la tenait par la main. Il la regardait de ses grands yeux bleu. Des yeux qui ressemblaient beaucoup à ceux de Troy. Comme son amour pouvait lui manquer.

Elle caressa la petite tête du gamin et écarta la mèche rebelle de son front. Il était mignon. Elle se pencha vers lui, l'embrassa sur le front et le dirigea vers son père.

-Retourne vers ton père, mon petit. Tu es un gentil garçon.

Elle partit en retenant ses larmes. Troy lui manquait et sa perte était cruelle. Elle voulait demander à Drizzt de le relâcher, de le laisser vivre la vie qu'il choisirait mais, elle se doutait bien que le Rebelle n'en ferait rien. C'était un homme cruel qui ne voulait rien de moins que de faire de la peine aux autres. Que pouvait-elle lui offrir en échange, elle n'avait rien. Elle ne pouvait rien échanger avec lui pour qu'il lui rende Troy comme avant. Son frère lui avait dit qu'il s'en occuperait mais, à date, il n'avait rien fait.

Gaby regarda les deux hommes avec une grande lassitude dans le regard. Elle prit la main du petit et l'emmena vers son père. Ses yeux n'avait pas dérougit depuis son anniversaire mais, il ne contenait plus de larmes. Elle les avait toutes versées. Sa voix était brisée quand elle parla de nouveau.

-Que veux-tu en échange pour me rendre mon fiancé comme il était, Drizzt? Le garçon doux et gentil avec qui je commençais à parler mariage.

Elle rendit le petit à son père. C'était un adorable bambin. L'un de ceux qu'elle avait espéré avoir avec Troy.

-Il nous a attaqué le jour de mon anniversaire et il m'a enlevé mon fiancé.

Le regard de l'homme se remplit de tristesse au même moment que son frère d'arme lui posa la question qu'il avait t'en redouter entendre: "... ou est la mère de ton enfant?...".
Il resentit comme un coup de poing sur le coeur et se récofforta en carressa les cheveux de son bambin. Daragon le regarda par son regard vitreux qui retourna à Drizzt:
- Malheureusement.... E.. elle n'est plus de ce monde. Elle ma été volée de corps et âme...
Il voulu changer très vite de sujet, alors se fut la jeune dragonnière qui fut son prochain sujet:
- En effet Drizzt... je vois que tu na vraiment pas changer pendant ces huit années... toujours aussi mesquin...
Le sourire qui lui monta jusqu'au orreille fit disparaitre les dernière larmes:
- .... cette fois-ci tu as vraiment choisis...

Aux derniers mots du prince, le regard de Gaby se chargea de colère. Comment un homme qui disait avoir aimé sa femme pouvait-il rire du malheur d'une femme qui a aussi perdu l'être aimé? C'en était trop. Gaby se rapprocha doucement de l'homme et, sans l'avertir, lui flanqua une gifle retentissante. Elle les regarda ensuite tous les deux avec mépris.

-Seuls les lâches se moquent du malheur des autres. Quoi, vous n'êtes pas au courant? Les elfes noirs se préparent à nous envahir. Leur armée est deux ou trois fois plus grande que la population totale de l'Alagaësia.

Elle leur tourna le dos et partit rejoindre sa dragonne. Si seulement c'était à Drizzt qu'elle avait pu donner une gifle. Il l'aurait sans doute plus mérité que l'autre. Mais, il se serait dérobé comme tous les autres lâches de son espèce. Elle s'éloigna des autres. Il était dommage que ce mignon petit bambin soit le fils d'un homme cruel. Elle arriva très vite au abords du village abandonné et attendit sa dragonne.

À son dernier mot, Daragon reçus une giffle de la par de la dragonnière, il se flatta la goue de la main droite:
- J'avoue que celle-là je l'ai peut être mérité... mais qui elle est pour me prendre pour un homme sans coeur... mais peut importe... ce disait-il l'air pensif.
L'homme la regarda disparaitre à la croisée des chemins. Sa démarche imposait la grâce, même en se moment importunant. Le prince regarda son frère d'arme:
- C'est ta réfflexion pas la mienne.... moi je crois plutôt qu'un homme doit changé pour le mieu...
Il fit signe à Matias qu'il pouvait allé jouer, le pêtit garçon ne ce atta même de la reponse de son père et parti aussitôt à la rencontre du jolie papillon qui venait de lui passer sous le née:
-... Alors, les chose on vraiment empirés depuis mon départ de l'Alagaësia!?

-Alors, c'est bien se que je pensait... la grande puissance revint.... Ils ont apporté la peste au pays où je m'était établit, ce sont eux qui...
L'homme serra si fort ses poing, que du sang commençait à s'écouler des plait où ses ongles avait entailler la peau. Au même moment tout cicatrisa dans un mélange de terre humide et démoglobine:
-... ils m'ont volé l'une des seul personne à qui je tennait... dis toi Drizzt que s'ils se montre le bout de leurs née se ne sera pas de simple dragonnier aussi pauvre en pouvoir qu'un simple nain, mais les crocs accéré de ma lame, la fournaise de mon dragon et la colère d'un homme à qui l'ont lui a volé le peu qu'il possédait encore....
Le regard du prince s'asombrit, ses yeux n'inspiraient plus qu'au néan, d'une noirceur éternel. SE fut à ce moment que Daragon vit Drizzt se diriger en direction de Gabriella, toujours aussi malintentionner qu'avant...