rencontre (pv avec ShUr ThUgAl)

hj: oups j'avais pas vu... Je fait coment maintennent..?

hs : Reprenons notre Rp...

Almarane soupira.
- Oh, ça dépend. Mais cet Ombre là était une vraie pourriture ! Je le déteste, je le haie !!!

Almarane soupira en regardant le ciel.
- Quelle belle journée ! Idéale pour faire du Titano-surf... Dommage que nous ne soyons pas aux marais de Maknar.

- C'est très simple. Je t'explique : on va dans un endroit où il y a beaucoup d'eau, on invoque un Titan aquatique et on monte sur son dos pour surfer. Il y a même des compétitions à Maknar. D'ailleurs, c'est le seul endroit où le Titano-surf est connu.

Penser aux compétitions de Titano-surf rappella à Almarane la décadence des Elfes noirs. Autrefois, ils pouvaient invoquer de puissants Titans, mais aujourd'hui, leur pouvoir a diminué...
Almarane soupira.

Ils voyagerent ainsi toute la journée. Le ciel commencait a se remplir de ciel noirs et gris : il allait bientot pleuvoir.Au soir , ils s'arreterent pour se restaurer et se reposer.Quand le dragon de l'elfe se posa , ShUr'ThUgAl vut un sinistre eclair , puis quelques minutes plus tard , il pleuvait.Ils s'abriterent sous des arbres ...

Almarane incanta et les deux compagnons de route furent réchauffés par une flamme bleue qui ne semblait pas craindre la pluie.
Ils entendirent un bruit sinistre.
- Oh non, dites-moi que c'est pas vrai ! dit Almarane.
Malheureusement, ses prières ne furent pas exosés.
Un immense dragon à sept têtes surgit de nul part.
- UNE HYDRE !!! crièrent ensemble Almarane et Archibald.

- Explique-lui, Almarane, dit Archibald en partant à la rencontre du monstre.
Le dragon percuta violemment l'Hydre et les deux êtres commencèrent à se battre.
- Range ton arc et dégaine ton épée, dit Almarane. Les Hydres ne meurent que si on coupe toutes leurs têtes en même temps.

Le moignon de la tête trembla.
- Attention ! cria Almarane.
Elle sauta sur ShUr'ThUgAl, l'applatissant au sol. La tête repoussa d'un cou, passant juste au dessus des deux guerriers et se cognant contre l'arbre.
Almarane se releva.
- On arrivera jamais à lui couper toutes ses têtes. J'ai vu un ravin en arrivant. Repoussons-le jusque là.